Sujet: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Sam 2 Fév - 18:25
cinaed everett adler-monroe
∞ NOM : adler-monroe, noms respectif de sa mère et de son père. s'il a longtemps porté celui de sa génitrice, à la mort de celle-ci Cinaed fut placer chez son père, homme marié père de deux enfants, et adopta son nom par pur commodité. malgré tout, rejoignant la famille en tant que bâtard officiel, Cinaed à toujours tenu à garder le patronyme de sa mère disparu, se faisant souvent surnommé comme tel. ∞ PRÉNOM(S) : cinaed everett, mais détestant son prénom, la plupart des gens qu'il fréquente l'appelle monroe, ou ed. ∞ ÂGE : : trente-deux ans. ∞ STATUT DU SANG : sang-mêlé, né d'une père sorcier de sang-pur et d'une simple moldu. ∞ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : à conventry, angleterre, le premier aout 1965. ∞ STATUT AMOUREUX : il se considère célibataire malgré l'attirance qu'il ressent pour la jeune brune qu'il héberge illégalement. ∞ EMPLOI : joueur de quidditch professionnel à la retraite, monroe s'est récemment reconverti en professeur, et enseigne maintenant le vol sur balais. ∞ BAGUETTE :faite de bois de cèdre, elle mesure trente centimètre et contient un ventricule de coeur de dragon, spécialisée dans les sortilèges. ∞ PATRONUS : un imposant vautour. ∞ ÉPOUVANTARD : le corps sans vie de sa mère étalée sur le bitume, comme dans ses souvenirs. ∞ GROUPE : like a wizard. ∞ CRÉDITS : tumblr.
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∞ L'AVIS DE VOTRE PERSONNAGE SUR LE RETOUR DE VOLDEMORT : Je l'emmerde. Purement, simplement, du fond de mon cœur et du plus profond de mon âme. Il m'inspire bien sûr, plein d’autres sentiments. Il me fascine dans un sens, si puissant qu'il peut être, si terrifiant, comme personne d'autre ne pourrait l'être vêtu de la même robe. Il m’effraie aussi, rien de sert de mentir. Je ne suis pas fou, je ne suis pas bête, et comme toute personne censé je le crains c'est sûr. Gamin, on m'a effrayé à coup d'histoire d'horreur, sur son retour, sur sa monté au pouvoir. Autour d'un feu de camps, j'ai appris à redouter ce si tristement célèbre Seigneur des Ténèbres. Aussi aujourd'hui, ces cauchemars devenant réalité, je ne peux m'empêcher de l'appréhender, lui et ses sbires. Mais au plus profond de moi, ce n'est ni la fascination, ni la crainte qui l'emporte ; c'est une bonne dose d'exaspération, d'irritation, face au bordel qui apporte avec lui. Dans les couloirs de Poudlard, je tente tant bien que mal de protéger les quelques nés moldu, harcelé sans cesse par les partisans de notre bon vieux Voldy, tentant de garder un minimum d'ordre dans les couloirs de l'école. Mais c'est une lutte vaine, tant son influence est grande, et tant les morveux prennent à cœur les supplices qu'ils font endurer à leur congénères.
∞ CE QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES : Des fous. Partisans d'une quête démentielle, voué à un très certain échec, je me suis toujours refusé à prendre part dans leur lutte chimérique pour mon propre bien. Je suis bien contre les Mangemorts, contre Voldemort et le foutoir ambiant en ce moment, mais je ne pas encore assez fou pour me lancer contre lui, pour réellement agir. Je ne suis pas lâche, encore moins peureux, mais se tenir à l'écart de l'Ordre du Phœnix ne relève pas de la faiblesse mais du simple bon sens, de l’instinct de survie qui nous anime dans ces temps sombres. Malgré tout, j'admire ceux qui ont l'audace de se joindre aux troupes de l'Ordre, ceux qui ose défier les forces du mal, qui se battent vraiment. Leur bravoure et leur persévérance sont épatantes, mais, au fond, je ne peux m'empêcher que malgré la noblesse de leur combat, les chances de remporter sont faibles par rapport aux risques qu'ils prennent.
∞ TON PERSONNAGE FACE A LA SITUATION ACTUELLE : Je tâche vainement de vivre comme avant, de continuer d'enseigner et de faire régner l'ordre dans mes cours. Ignorer les Mangemorts, les discriminations, la violence instaurée par le régime de Voldemort. Je n'ai pour ma part pas grand-chose à craindre des Mangemorts, étant un sang-mêlé lambda, ils n'ont rien à me reprocher. Mais malgré tout, l'atmosphère qui pèse à Poudlard n'est est loin de ce qu'elle a pu être lors de mes début un an plus tôt. Pesante, les couloirs grouille de petits malin, sang-purs au regard méprisant, s'amusant à martyriser les gamins soit disant "inférieur", et ce toute légalité. Je ne crains peut-être pas pour moi, mais pour ceux à qui je tiens ; les sang-de-bourbes et les membres de l'Ordre du Phœnix, pour ceux qui sont réellement menacé par la situation actuelle, tâchant de les protéger comme je le peux, de près ou de loin.
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SPACEMEN∞ PRÉNOM : léa. ∞ PERSONNAGE :personnage inventé. ∞ PAYS : france. ∞ COMMENT AS-TU CONNU PI : bazzart. ∞ TON AVIS SUR PI : je suis amoureuse je m'étais déjà inscrite, mais n'avait jamais terminé ma fiche ; mais me voila de retour (pour vous jouer de mauvais tour ) en force, plus motivée que jamais ∞ UN DERNIER MOT : si quelqu'un cherche un lien, n'hésitez pas à me mporner car je n'aime pas particulièrement arriver sur un fo sans personne donc si vous avez la moindre idée n'hésitez pas ∞ CÉLÉBRITÉ PRISE : écrire ici.
Dernière édition par Cinaed E. Adler-Monroe le Mar 30 Juil - 11:14, édité 7 fois
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Sam 2 Fév - 18:25
PROLOGUE grief does not changes you, it reveals you. ◊
Fleurs à la main, je pénétrais dans le cimetière à pas las. Ce chemin, je le connaissais par cœur, tristement gravé dans ma mémoire, impossible à oublier. Ce passage j'aurais pu le prendre les yeux fermé, tant je l'avais arpenté au fils des ans. A une vingtaine de mètres du portail, une petite pierre tombale sommaire, sans prétention, seule sépulture que j'avais pu offrir à sa nouvelle occupante. Gravé dans la roche abimée par le temps capricieux de Conventry, en lettre capitale : Charlotte "Charlie" Monroe. Je déposai le bouquet de rose dégarnie que j'avais acheté pour l'occasion au pied de la pierre. « Salut maman. » déclarais-je doucement, vérifiant d'un coup d’œil que j'étais tout seul dans cette partie-là du cimetière. « Bon anniversaire. » Vingt-cinq janvier 1997, elle aurait eu cinquante-neuf ans aujourd'hui. Je riais doucement, l'imaginant aujourd'hui, la soixantaine en marche, maudissant tous les dieux de l'avoir laissé vieillir, enchainant les chirurgies esthétiques bon marchés, seule qu'elle aurait pu se payer avec son maigre salaire de secrétaire. Mais mon sourire s'effaça vite, réalisant que cette image ne resterait qu'un rêve, qu'elle était bien morte, enterrée six pied sous terre, et que jamais je ne la verrais vieillir. Que cela faisant maintenant près de vingt-et-un ans qu'elle était partie. Vingt-et-un ans qu'un abruti l'avait renversé alors qu'elle rentrait du travail, abruti qui n'a même pas pris la peine de s'arrêter, laissant le corps meurtrie de ma mère sur le sol. J'étais encore gamin, je venais de terminer ma première année à Poudlard. J'étais encore perdu, la magie était encore quelque chose de nouveau pour moi. Ma génitrice était une moldue, humaine tout ce qu'il y avait de plus simple, qui avait eu la malchance de tomber sur un sorcier infidèle. Mon paternel, ce héros, qui avait coupé tous les ponts entre ma mère et lui à la minute même où elle lui avait appris sa grossesse, la laissant m'élever seule. Espérant vainement que l'enfant qu'elle avait mis au monde serait, comme elle, un parfait petit moldu qui allait pouvoir s'épanouir dans la banlieue de Conventry en toute simplicité, qui allait devenir médecin, avocat, elle m'éleva comme un petit garçon lambda bien loin de l'agitation magique que Charlie avait préférer renier une fois son amant disparu. C'est l'année de mes onze ans que je reçu, comme chaque sorcier de Grande-Bretagne, ma lettre d'admission à Poudlard. Jour sombre dans ma mémoire de petit garçon, où bien trop de secret, bien trop de mystère ont été levé, d'un coup d'un seul, jour où j'ai rencontré mon père. Paternel que je croyais mort dans un accident de moto, juste avant ma naissance, comme me l'avait assuré ma mère lorsque je lui avais demandé l'identité dudit géniteur. Je l'avais pendant toute ma courte vie considéré comme un héros, un défunt modèle que je me devais d'imiter. Aussi, je vous laisse imaginer ma surprise quand je le rencontrais pour la première fois, bien en vie, bien loin du héros des histoires qu'on m'avait raconté gamin. Cette année-là, je le vis une seconde fois la vieille de mon départ à Poudlard, une unique rencontre où il m'expliqua mes origines et me guida à travers le chemin de traverse, achetant le nécessaire à ma scolarité à l'école des sorciers. Me guidant vers le quai neuf trois-quarts, nous nous séparâmes, au revoir qui sonnait étrangement comme un adieu. Si pour mon père cette rencontre était bel et bien la dernière, l'univers semblait loin d'en avoir décidé ainsi. Coup du sort peut être, qui voulait contrarier les plans de ce nouveau père, que je ne connaissais au final presque pas, n'ayant même pas pris la peine de se présenter réellement. Aussi, plus tard cette même année, j'assistai à la mort de ma mère. Violente, sanglante, brutale, je la vis sous mes yeux d'enfant se faire renverser par une voiture, incapable de l'aider, de la sauver, pleurant sur son corps meurtri alors que les passants accouraient pour autour de nous. L'univers voulait se faire remarquer, et pour le coup, il l'avait fait en beauté. N'ayant aucune famille proche à Conventry, ou dans le monde moldu en général, je fus envoyé vivre chez mon père, apprenant en même temps sa véritable identité. Honorable sorcier, patriarche de la famille Adler, marié et père de deux enfants, je venais m'ajouter comme une pièce détachée dans ce tableau parfait. Bâtard de la famille.
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I. POUDLARD and if you're still bleeding, you're the lucky ones, cause most of our feelings, they are dead and they are gone. ◊
Je marchai dans les couloirs d'un pas vif, tâchant de rejoindre la salle commune de ma maison sans m'éterniser. Épuisé par l'entraînement de quidditch, je rêvais de m'écrouler sur mon lit et de m'endormir jusqu'au lendemain, ratant le repas sans plus de remords. N'ayant jamais été très social, j'avais une large préférence pour la solitude et le paisible silence qui en découlait. Et les dortoirs n'étaient jamais aussi calmes qu'à l'heure du déjeuner, où personne n'oserait me réveiller pour m'amener de force dans la grande salle. A vrai dire, personne ne penserait vraiment à venir me chercher ; si j'entamais ma quatrième année à Poudlard, je ne m'étais pas pour autant lier d'amitié avec la moitié de ma maison. Au contraire, mes amis pouvaient se compter sur les doigts d'une main. Pas assez bien pour être un Gryffondor surement, où une autre connerie dans le genre. J'avais surement été aussi surpris que mes camarades en entendant le choixpeau annoncer ma maison pour les sept prochaines années. J'avais, malgré mes faibles connaissances sur le monde magique, eu vent de la prestigieuse maison qu'était Gryffondor, maison de la loyauté et du courage. Si c'étaient les deux adjectifs qui me caractérisaient le mieux, ce couvre-chef ridicule avait surement dû aller les chercher bien loin, car les autres avaient vite compris que j'étais bien éloigné de l'élève type Gryffondor, bien différent de toute ces héros en devenirs. Aussi, j'avais été mis à l'écart dès le départ, et à vrai dire, je n'avais jamais réellement tenté de m'intégrer. Sacrilège pour Eleazar, mon demi-frère, qui malgré l'avoir ardemment désiré de tout son être, n'avait pas été placé dans la même maison que moi, chez ses Gryffondor adulés. C'était d'ailleurs l'un des sujets les plus épineux lorsque nous rentions à la maison. Le silence du couloir désert n'était brisé que par le rythme de pas, claquant contre le sol en pierre, lorsque des rires me parvinrent au bout du prochain croisement. Pas des rires joyeux, des rires moqueurs, méchant, ainsi qu'une petite voix haute perché qui tentait de se défendre. « Laissez-moi partir ! S'il vous plait ! » lâcha la voix de la gamine, apeurée à entendre l'intonation de ses plaintes. Je soufflai bruyamment, décidant d'aller voir ce qui se passait, accélérant à contrecœur le pas vers le croisement du couloir. Pas bien décidé à faire le héros, je ne pouvais malgré tout pas me résoudre à laisser la pauvre gamine se faire embêter. « Ba quoi ? T'aimes pas qu'on t'appelle comme ça ? C'est pourtant ce que t'es petite, une sang-de-bourbe. Tu devrais même pas être là, retourne dans ton monde, on veut pas de toi ici ! » Je débouchai à ce moment-là dans le couloir, découvrant deux deuxième année encercler la victime, une gamine du même âge que les deux bourreaux, mais au visage si enfantin qu'on l'aurait pris pour une première année facilement. Les deux garçons, deux Sepentards -comme pour renforcer les stéréotypes qui persistaient sur cette maison- riaient bruyamment, se moquant de la petite, coincée contre le mur, effrayée. « Alors on s'amuse bien ? » Les trois sursautèrent, ne m'ayant apparemment pas entendue arriver. « C'est bien, bravo, s'en prendre à une gamine sans défense. Chapeau. » Se retournant vers moi, le plus grand pris un air menaçant, tâchant de jouer le dur malgré les deux ans qui nous séparait. « Dégage Grynffondor, retourne sur ton balais et fiche nous la paix. » Je regardais la gamine, son regard apeuré qui ne me quittait plus. « T'as rien de plus constructif à faire morveux ? Qu'est-ce qu'elle t'a fait exactement pour que tu l'insultes comme ça ? » « Elle a juste rien à faire ici. C'est tout. C'est qu'une moldue, qu'elle retourne chez elle. » Un rire moqueur m'échappa malgré moi, dépité face aux propos du garçon. Je me considérais souvent comme un né-moldu, n'ayant connu la magie qu'à partir de ma onzième année ; aussi, une telle insulte avait tendance à me sortir hors de mes gongs. « Et pourtant elle est là, non ? Elle est comme vous, elle étudie à Poudlard. Elle a autant sa place que toi, peut-être plus. Je suis sure qu'elle te surpasse dans trois quart des matières ! » lâchai-je méchamment alors que la brunette hocha frénétiquement la tête, comme pour soutenir mon argument. Le second Serpentard s'approcha de son abruti de copain, et lâcha d'un air las « Elle est pas comme nous ! C'est une sang-de-bourbe. C'est qu'une moins que rien. » « Fait gaffe à ce que tu dis gamin ! » dis-je en me rapprochant l'air menaçant. « Ou quoi ? Tu vas sortir ta baguette ? » « Plus simple. » lâchai-je, un sourire satisfait au visage. Mon poing vola de lui-même, venant s'écraser contre la figure du Serpentard. Voilà maintenant trois ans que j'avais rejoint l'équipe de quidditch en tant que batteur ; aussi, le cri plaintif du garçon était pleinement justifié. Il se releva, le regard apeuré, et commença à courir pour rattraper son acolyte, déjà partie depuis bien longtemps. Mon rire résonna dans le couloir, bientôt accompagné de celui de la gamine, qui semblait avoir retrouvé le sourire. « Merci beaucoup ! » lâcha-t-elle en s'approchant de moi, quand nos éclats de rires s'effacèrent. Son regard éclairé par son sourire, elle semblait encore plus jeune qu'avant. « Il a eu ce qu'il méritait. » dis-je en lui souriant timidement. J'avais conscience que j'allais avoir des problèmes, mais après tout, le coup était largement justifié. Les secondes défilèrent en silence, le regard brillant de la petite brune toujours posé sur moi, qui tentait de l'ignorer. « Je m'appelle Beitris, mais tu peux m’appeler Tris. » déclara-t-elle au bout d'un moment. « Ouai. » dis-je, maladroitement, détestant ce genre de conversation. Détestant l'idée que Beitris décide de compter sur moi à présent. Détestant m'imaginer devoir veiller sur la gamine, d'être officieusement assigné comme garde du corps. Aussi, je décidais de couper court la discussion, et de retourner à mes plans originaux : rentrer aux dortoirs, et dormir. Pas plus, pas moins. « Et bien Tris, fait attention la prochaine fois. Je ne serais pas là pour t'aider. » déclarai-je l'air revêche, regardant mes pieds. Je fis volte-face et repris la direction des quartiers de Gryffondor. « Bonne nuit gamine. » Je m'éloignai à pas vifs, ne lui laissant pas le temps de répondre, pas le temps de s'attacher à l'idée du sauveur qu'elle se faisait de moi.
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II. CHUDLEY CANNONS the marks humans leave are too often scars. ◊
Et alors que les secondes défilaient, que les applaudissements continuaient de résonner dans le gigantesque stade derrière moi, je me dirigeai à grandes enjambées vers les vestiaires, sans un regard vers le terrain. Je traçai directement vers ceux de l'équipe d'Angleterre, de mon équipe, et atteignis mon sac le souffle court. Ruisselant de sueur, encore essoufflé à cause de l'effort, je tentai tant bien que mal d’attraper la bouteille de whisky de ma sacoche, peinant à l'ouvrir à cause de mes mains qui semblaient ne pas vouloir cesser de trembler. Encore seul dans les vestiaires, je profitais de cette atmosphère paisible en avalant à grande goulée le liquide doré, m'arrêtant seulement pour reprendre mon souffle. Je n'avais pas beaucoup de temps. Les autres allaient finir leur politesse avec ces pourritures de joueurs Transylvaniens, et n'allaient pas tarder à rentrer à leur tour. Encore quelques minutes ; secondes plutôt, pensai-je en entendant leur pas pressé dans le couloir. « MONROE ?! » hurla la voix d'Orion, le capitaine, en pénétrant dans les vestiaires. Suivis par le reste de l'équipe, tous se stoppèrent en me voyant affaler sur le bac, bouteille à la main. « Quoi ? » lâchai-je cyniquement alors que l'équipe recommença à se crier dessus, se blâmant les uns les autres. Orion se tenait toujours de devant moi, sans un mot. « Quoi ? » répétais-je une seconde fois, souriant l'air faussement innocent. L'air grave, le souffle court, je cru pendant un moment que son poing allait me voler en pleine figure, mais il se contenta de fermer les yeux, mâchoire serrée. « Tu vas même pas t'excuser pour la merde que tu as foutu ? Même pas une explication ? » demanda-t-il sèchement. Je relevai un regard cireux vers lui, avalant au passage une autre goulée de whisky. « Expliquer quoi ? Pourquoi on s'est fait battre 390 points à 10 contre la Transylvanie ? Pourquoi on a joué une bande de moldus qui découvrent un balai ? Il y a rien à expliquer, on a été mauvais c'est tout ! » lâchai-je en haussant le ton. Lorcan, le nouveau poursuiveur de l'équipe, se détacha derrière Orion en lâchant un rire moqueur. « Nous expliquer pourquoi tu t'es pointé complétement bourré par exemple ! » Les querelles personnelles se stoppèrent, et pendant un moment les autres me fixèrent tous l'air accusateur. « J'ai pas à me justifier, gamin. J'ai rien à t'expliquer à toi ! » dis-je en avalant une autre gorgée. « C'est ta faute si Jorah s'est fait envoyer d'urgence à Sainte Mangouste ! C'était ton job de renvoyer ce cognard merde, c'est toi le batteur ! » Je sautai sur mes pieds, déposant doucement la bouteille sur le banc avant d'avancer vers Lorcan l'air menaçant. « Tu as conscience que je vais rester là à t'écouter me faire la leçon ? J'étais déjà sur un balai quand t'était encore dans le ventre de ta vieille petit, joue pas à ça avec moi. » Le jeune homme se rapprocha, tâchant de paraitre menaçant malgré les dix centimètre qui nous séparaient. « Je suis juste en train de dire ce que tout le monde pense tout bas. C'est à cause de toi qu'on a perdu le match. C'est parce que t'as pas su faire ton job, et tu as pas su protéger notre meilleur attrapeur. C'est tout. » Nous restâmes ainsi pendant plusieurs seconde, nous fixant d'un air agressif. Une. Je pensais au désastre qui avait eu lieu sur le terrain, surement la pire catastrophe que la coupe du monde de quidditch avait jamais connu. Deux. A la bouteille que j'avais vidé avant de rentrer sur le terrain, et à celle que j'avais vidé dans la matinée. Problème d'alcool que j'avais tâché d'ignorer me persuadant qu'il n'influençait pas sur mes performances autant au sein des Canons de Chudley, mon équipe régionale, que celles au sein de l'équipe nationale. J'avais presque réussi à me convaincre, jusqu'à ce soir, où un cognard avait frappé Jorah en pleine tête, où, par ma faute, il allait passer un séjour dans les soins intensif de Sainte Mangouste. Trois. Le whisky qui coulait dans mes veines commençait à atteindre le cerveau, brouillant mes pensées petit à petit. Aussi, je ne réalisai pas tout de suite que le poing qui venait de s'écraser contre la mâchoire de Lorcan était le mien. « Espèce de ... » lâcha-t-il en se relevant, mais je ne le laissai pas finir. J'envoyai un second coup, dans ses côtes cette fois, puis enchaîna avec un troisième dans la figure. Encore, et encore. La scène semblait se dérouler au ralentit, et autour de moi l'équipe commença à s'affoler, poussant des cris de surprise, hurlant mon nom pour que je m'arrête. Mais je ne les écoutais pas. Hors de contrôle, mon cerveau semblait hors service ; seul mes bras fonctionnaient encore, frappant sans s'arrêter le pauvre Lorcan sur le sol. Je perdis le compte alors qu'allonger sur le sol, le jeune homme me suppliait d'arrêter. Mais lui non plus je ne l'écoutai pas. Au bout d'un moment -dix secondes, minutes peut être, j'avais totalement perdu la notion du temps- Orion et un autre batteur m'attrapèrent pas derrière, me séparant du corps meurtrie de Lorcan, qui allait lui aussi surement faire un tour à l’hôpital. Deuxième victime de la soirée. « Lâchez ... Lâchez moi bordel ! » hurlai-je en titubant. Les deux hommes s’exécutèrent en prenant soin de protéger Lorcan, l'aidant laborieusement à se relever. J’attrapai mon sac d'une main, l’enfilant en vitesse sur mon épaule, et la bouteille de whisky de l'autre. Je me dirigeai vivement vers la sortie, hurlant toute les insultes que je connaissais, maudissant chaque membre de l'équipe les uns après les autres. Sans me retourner, sans un regard pour ceux avec qui j'avais fait équipe durant les sept dernières années, je sortis au pas de course, espérant trouver un des nombreux portoloins aux abords du grand stade. J'allais surement être viré ; c'était certain même. De l'équipe d'Angleterre, mais aussi des Chudley Cannons. Mon équipe, celle dans laquelle j'avais été recruté après ma sortie de Poudlard, celle dont j'avais été nommé capitaine deux ans auparavant. J'avais salement merdé. Et encore, c'était un sacré euphémisme. Tâchant de me frayer un passage à travers les campements, j'avalai une autre gorgée. Après tout, la soirée ne pouvait pas empirer.
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III. PROFESSEUR MONROE let me be, your everlasting light ◊
Le sang continuait de tacher ma chemise alors que je tentais de trouver l'infirmerie. Si j'y avais passé une bonne partie de ma scolarité bien des années auparavant, j'y arrivais souvent inconscient, sonné la plupart du temps, faute à la violence de certains match de quidditch. Aussi, je tâchai de retrouver mon chemin vers cette salle si familière, me perdant dans l’enchevêtrement de couloirs sans fin. Ma capacité d'orientation frôlait le néant, aussi, malgré mes sept années en tant qu'élève, et plus d'un an en tant que professeur, je réussissais encore à me perdre dans certaines parties de l'établissement. La plaie qui s'étalait de la base de mon poignet à la moitié de ma paume n'était vraiment pas belle à regarder ; malheureux accident dans la réserve à balais, où un vieux bout de ferraille dépassait d'une des armoires. Même si j'essayais d'habitude d'éviter l'infirmerie, je ne pouvais malheureusement pas y échapper cette fois. Je débouchai enfin sur le couloir de l'infirmerie, et me dépêchais de rejoindre la salle, compressant la blessure pour ne pas laisser de sang couler sur le sol. Pas très efficace vu le flux rougeâtre qui gouttait doucement le long de ma main, mais c'était toujours ça. Je pénétrai dans la grande salle de l'infirmerie, attrapant au passage un des tissus propre empilé sur une commode près de la porte, et enveloppai la blessure avec. L'infirmerie était presque déserte ce jour-là. Le silence flottait dans la salle alors que je cherchais l'une des infirmières, quand une voix plaintive s'éleva dans le fond de la salle. « Ne me touchez pas ! Appelez une infirmière, une vraie infirmière pas une comme vous ! » Dans un fracas de verre, l'infirmière laissa échapper un glapissement aigu. Je m'approchai au pas de course de la source du conflit, découvrant la scène quelques secondes plus tard. Un gamin allongé sur le lit, un sixième année que je connaissais de mon cour de balais, faisait face à une infirmière, petite brunette à l'air enfantin, qui me semblait étrangement familière. « Qu'est-ce qu'il se passe ici ? C'est toi qui as fait tomber ça ? » lâchai-je l'air sévère au gamin allongé sur le lit. Le regard baissé, apeurée, la brunette hocha la tête doucement ; je la reconnu enfin, son air fragile et ses yeux gris brillant la trahissant malgré elle. Beitris. Je restais immobile, me contentant de la fixer en silence, alors que la voix du blond s'éleva une nouvelle fois, brisant le silence qui s'était installé. « Allez chercher une autre infirmière professeur, je ne veux pas de celle-ci. Elle, elle me touche pas. » Je détournai à contrecœur le regard de Beitris pour m'adresser au garçon. « Et pourquoi ça ? Je suis sûr que la demoiselle est une très bonne infirmière. »« Parce que c'est une née-moldue, elle a rien à faire là. Si elle veut jouer à soigner, elle retourne chez les moldus. Mais pas ici. » Si cette scène avait pu m'étonner à l'époque où j'étais encore élève, aujourd'hui elle était tristement banale. Pire, malgré le fait qu'il soit en tort, le gamin obtiendrait surement raison auprès des autorités, et Tris perdrait surement son travail. C'était surement pour ça qu'elle avait si peur face à un élève, qu'elle restait silencieuse, tâchant de se faire oublier. C'était banal en ce moment ; mais pourtant je ne m'y faisais toujours pas. « Et pourquoi t'es là gamin ? » Le garçon me montra une coupure sur le dessus de la main, une égratignure tout au plus. J'échappai un petit rire malgré moi, tout en me dirigeant vers l'étagère des premiers soins. J'ouvrai plusieurs tiroir au hasard jusqu'à tomber sur celui qui contenait les pansements. Sous le regard intrigué de Beitris, j'en attrapais un et le jetai au visage du grand malade, ignorant son cri plaintif. « Prend ça et dégage. » dis-je sèchement. Ce n'était certainement pas mes talents de pédagogue qui m'avait permis d'entrer en tant que professeur à Poudlard. Je n'aurais même jamais eu le poste sans l'aide de mon demi-frère qui travaillait au ministère de la magie. C'était grâce à lui que j'étais sorti de la période difficile qui avait suivi mon départ des Chudley Cannons ; après être retourné habiter à Conventry, j'avais largement abusé de l'alcool et autres subsistances sympathiques. C'était Eleazar qui était venu me chercher après deux ans de débauche, qui m'avait aidé à me reconstruire et à retrouver une vie normale, et surtout un boulot fixe : professeur de vol sur balais à Poudlard. Si je n'avais jamais rêvé d'enseigner, je devais avouer que pourtant, après un an en tant que prof, ce n'était pas quelque chose de désagréable. Mais toujours était que je n'avais jamais été professeur dans l'âme, et ne le serais jamais. « Allez, fous le camps gamin. » « Mais ... Mais j'ai besoin d'une infirmière ! » lâcha-t-il l'air faussement outré. « Tu avais une infirmière, et t'en a pas voulu. Maintenant tu prends prend ton pansement et tu te démerdes. » dis-je en l'aidant -forçant plutôt- à se relever. « Une vraie infirmière, pas une sang-de-bourbe ! » « Pas de ça avec moi petit. La porte c'est par ici ! » dis-je en désignant la sortie, relançant la douleur d'un coup vif. Une grimace de douleur déforma mon visage. « Et estimes toi heureux que je te fasse pas nettoyer ton bordel ! » lâchai-je alors qu'il quittait l'infirmerie à pas pressés. Comme lors de notre rencontre avec Beitris, j'allais surement avoir des problèmes ; mais encore une fois, je ne m'en faisais pas trop. Lorsqu'il eut passé la porte, je sentis la jeune brune à mes côtés se détendre. Un léger sourire éclaira son visage lorsque je me retournai vers elle. « Merci. » dit-elle doucement. « Encore une fois. » Je souris à mon tour. « C'est normal. Les habitudes ont la vie dure, hein ? » lâchai-je maladroitement, étonné qu'elle me reconnaisse, et qu'elle se souvienne encore de ce fameux soir où je l'avais défendue. « Beitris, c'est ça ? » Elle hocha la tête. « C'est ça. Et vous, Monroe, non ? Grande fan de quidditch, les Canons de Chudley ne se sont jamais aussi bien porté qu'avec vous en capitaine. » dit-elle, le regard brillant. Je passai nerveusement la main dans mes cheveux ; je n'avais pas vraiment l'habitude de tenir de telles conversations, n'ayant jamais été doué avec les relations, excepté peut être les quelques coup d'un soir que j'avais enchainé à cause de l'alcool. « Arrêtez, vous allez me faire rougir. » dis-je gauchement en détournant le regard. Un petit rire m'échappa, bientôt accompagné de celui de Tris. Un silence gêné s'installa, mais je pouvais encore sentir son regard posé sur moi. « Faite attention la prochaine fois. Les temps sont plus durs que quand on était gamins. » « Malheureusement. » dit Tris, le regard dans le vide, les traits tirés. Comme une quinzaine d'années plus tôt, j'eus la bizarre sensation que c'était mon devoir de la protéger. Comme je l'avais fait durant mes dernières années de scolarité, veillant sur elle du coin de l’œil. Aussi, malgré les plaintes de mon cerveau qui me criait le contraire, je déclarai « Appelez-moi si vous avez besoin. Vous pouvez compter sur moi. » Je regrettais tout de suite mes paroles, détestant prendre toute forme d'engagement. Et pour en être un, s'en était un beau. Protéger une née-moldue alors qu'ils étaient chassés dans tous les coin du pays par les Mangemorts, c'était un beau défi. Mais malgré tout, je ne pouvais pas la laisser là, sans défense, se faire harceler par des gamins pré-pubères. « C'est gentil. » lâcha-t-elle en retrouvant soudainement le sourire. Nos regards se croisèrent pendant plusieurs secondes, et tandis que j'hésitais à m'enfuir en courant, elle pointa le tissu imbibé de sang. « Besoin d'aide peut être ? » « Oui, probablement. » dis-je, une mimique à mi-chemin entre un sourire et une grimace de douleur sur le visage, alors qu'elle m'attrapant la main pour examiner la blessure.
Dernière édition par Cinaed E. Adler-Monroe le Dim 4 Aoû - 18:05, édité 16 fois
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Sam 2 Fév - 18:42
NORMAN. Tu vas rapidement te faire une communauté de fan en l'honneur de Daryl tiens. Bienvenue et bon courage pour ta fiche. Je crois qu'il est fort possible que je vienne te mpotter pour un lien, puisque tu semble en chercher.
≡ amoureusement : célibataire, c'est pas comme s'il avait que ça à faire.
≡ son emploi : il est animateur radio pour la gazette du sorcier, section quidditch. il est actuellement en charge de "potterveille" la radio pirate de l'ordre du phénix.
≡ statut de sang : c'est un sorcier de sang-mêlé, qui a toujours été fier de l'être, et n'a jamais prétendu de rien.
≡ sa maison : les lions de gryffondor, évidemment, les grands vainqueurs des matchs de quidditch !
≡ sa baguette : bois de sorbier, avec pour cœur un crin de licorne, spécialisée en charme et d'une longueur approximative de vingt-huit cm.
≡ son patronus : un renard.
≡ son amortencia : uc.
Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Sam 2 Fév - 18:45
Je sais pas pourquoi, mais toi tu vas avoir des problèmes (re)BIENVENUUUUUUUUUE bonne chance pour ta fichette x)
Si tu as des questions, n'hésite pas
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Sam 2 Fév - 18:47
NORMAN FOR THE WIN. Mais, pour moi, ton personnage sera essentiellement le fils spirituel d'Irene Adler et de Marilyn Monroe. Avoue qu'on peut pas faire mieux, quoi. De même, je te mpotterai - si une idée lumineuse me vient.
BIENVENUE. Bon courage pour ta fichette. Si tu as la moindre question, n'hésite pas.
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Sam 2 Fév - 18:49
NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOORMAAAAAAAAAN
JOTEM TOI MON DARYL 11février viteuuuuh
Très bon choix d'avatar Bienvenue, bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas
Tu as déjà une idée de personnage ? C'est plus simple pour les liens et mon dieu, je veux te violer des liens avec toi
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Sam 2 Fév - 19:03
HOAN, merci à tous pour cet accueil
RUTHEL - JOSH Daryl, l'homme de ma vie sérieusement Avec plaisir un lien, Josh est tellement adgkgfdsjr que je ne pourrais qu'accepter
CEINWEN - Ce prénom, je suis amoureuse Des problèmes, comment ça des problèmes ? Merci à toi
THADDEUS - Vous avez tellement tous des pseudo à tomber, c'est fou C'est exactement ce que j'ai pensé en créant le nom de famille, qu'en mettant le nom de deux femme parfaite ça pouvait que donner un truc à tomber C'est vrai que Norman est pas mal Merci, et comme pour sexy Ruthel, avec plaisir pour le lien
LYRA - OMAHGAAAD ORY Je sens qu'on va bien s'entendre toi et moi Je te propose on fait des bébés, parce que se seront les beaux et les plus badass du monde Pour le perso, j'ai prévu de faire un enfant illégitime d'un sorcier respecté, qui aura toujours été mis à l'écart par rapport à son demi-frère et sa demi-soeur super brillants, puisque lui c'est pas non plus une lanterne Il aurait toujours été assez doué en quidditch, même très bon puisqu'il aurait intégré plus tard l'équipe d'Angleterre. Mais pour X raison, il aurait du partir, et se retrouve donc depuis quelques années professeur de vol sur balai à Poudlard (d'ailleurs en tant qu'admin je voulais savoir si c'était possible, vu que je rame un peu lorsqu'il s'agit de hp ) Et donc bref, il accepterait avec plaisir qu'une belle jeune femme comme Ory vienne le violer dans son sommeil Bref, merci à toi
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Sam 2 Fév - 19:09
sûr qu'on va bien s'entendre owi, plein de petits bébé trop choux qui auront grave la classe et qui en plus seraient des mini loups-garous Le pauvre petit xD Oui c'est possible pour prof de vol sur balais Je vais venir te violer dans ton sommeil alors jvais te mpotter pour lien dès que j'ai une idée
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Sam 2 Fév - 21:16
Des mini loup-garous trop mignons On va être obligé de faire des bébés maintenant Génial si ça marche, merci beaucoup Et hâte que tu viennes me violer, j'irais lire ta fiche de mon côté pour voir si j'ai une idée
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Dim 3 Fév - 14:00
OMFG NORMAN little ass kicker ça vient de lui, cet homme m'a donné un pseudo Je suis passée de Juliette je t'aime à Little ass kicker grâce à Daryl Dixon C'est mon idole Bienvenue et bon courage pour ta fiche J'admire le choix d'avatar, vraiment
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Dim 3 Fév - 14:43
Bienvenue bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Dim 3 Fév - 15:17
MAYSILEE - Ce prénom Cet avatar Daryl Dixon, c'est l'homme de ma vie aussi, on va pouvoir monter un fan club Je pensais pas que Norman aurait tant de succès, ça me fait plaisir de voir que si little ass kicker, c'est juste mortel comme pseudo Merci à toi JULIET - Merci beaucoup
≡ amoureusement : Célibataire, en proie à certains sentiments naissant qu'elle essaye de refouler.
≡ son emploi : Elle est couturière dans une petite boutique qui ne paye pas de mine. Un travail très éloigné de ses ambitions premières, dont elle n'a aucun souvenir.
≡ statut de sang : Sang-mêlé, rien de transcendant ni de particulièrement honteux.
≡ sa maison : Ancienne Poufsouffle, ce que personne ne parvenait à comprendre quand elle était encore à Poudlard.
≡ sa baguette : Bois d'aubépine, ventricule de dragon, parfaite pour les sortilèges.
≡ son patronus : Elle n'en possède pas, ses anciennes ambitions étouffant toute possibilité de créer un tel sortilège.
Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Lun 4 Fév - 19:01
Bienvenue !
J'ai l'impression d'être la seule à ne pas connaître ton avatar Enfin disons de ne jamais avoir regardé la série dans laquelle il joue
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Lun 4 Fév - 21:19
KAREEEEEN, la meilleure Merci
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Mar 5 Fév - 17:54
Morgana S. Harlow a écrit:
Bienvenue !
J'ai l'impression d'être la seule à ne pas connaître ton avatar Enfin disons de ne jamais avoir regardé la série dans laquelle il joue
Non non, t'es pas là seule Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Mer 6 Fév - 13:08
Faut regarder The Walking Dead les gens, c'est trop bien Merci à toi en tout cas
Je pense avoir terminé ma fiche, en espérant que rien ne cloche
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Mer 6 Fév - 13:58
Un ancien joueur de Quidditch à la retraite devenu prof de vol sur balais? C'est obligé, il faut absolument un lien avec mon Orion, lui aussi ancien joueur de Quidditch et professeur d'histoire de la magie Je vois qu'il est inutile de te souhaiter bon courage pour ta fiche, mais l'intention y est Il ne me reste donc plus qu'à te souhaiter la bienvenue parmi nous, en espérant que tu te plaises parmi le petit peuple de PI (petit...mais diablement puissant )
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Mer 6 Fév - 16:22
OHH un autre ancien joueur Avec plaisir un lien Merci beaucoup
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Mer 6 Fév - 21:10
Cinaed E. Adler-Monroe a écrit:
✲ PRÉNOM(S) : cinaed everett, mais détestant son prénom, la plupart des gens qu'il fréquente l'appelle monroe, ou ed.
Je peux t'assurer que tous mes personnages appelleront le tien Marilyn. (ouais, ils sont bourrés d'humour)
Soit, je te valide avec grand plaisir. J'apprécie le côté bestial de cette petite Marilyn *sbaf*. Blague à part, ton histoire et son personnage sont sensationnels, je n'ai donc rien à ajouter.
ta ficheest validée
tu es officiellement un pienx x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
hurray te voilà lancé dans le grand bain ! C'EST QUE TU ES MOTIVÉ DIS DONC ! Alors en cadeau, tu as le droit d'apprendre à faire la vaisselle (ou pas hein, ). Délire passé, je t'ajoute à ton petit groupe, de ton côté, pense à faire toutes les démarches nécessaires à ton arrivée sur le forum et il y en a, à faire : Pour aider à la bonne marche des répartitions et du forum tout simplement, n'oublie pas non plus de recenser la maison et le rang de sang de ton personnage : ça peut toujours aider, et si tu as soudainement alzheimer, tu pourras toujours revenir dans ce sujet pour voir où se situe ton personnage. Petit bonus du hors jeu, tu auras bien entendu la possibilité de créer un scénario pour ton personnage, sans oublier de recenser l'avatar de celui-ci également (a). Pense aussi a remplir ton profil, au moins la partie concernant le personnage histoire que les autres membres puissent savoir son âge, sa maison et compagnie rapidement (a) Ceci dit, le remplir en intégralité, c'est encore mieux
Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light Mer 6 Fév - 21:15
Ca lui convient plutôt bien Marilyn, non ? Faut juste lui enfiler une petite robe blanche, un coup de brushing et hop, il sera parfait (promis, je sors ) Merci beaucoup en tout, je file remplir tout ce qu’il faut
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Sujet: Re: (monroe) ⊹ let me be your everlasting light
(monroe) ⊹ let me be your everlasting light
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