nathanael julien blackstone

17 ANS ◊ SANG PUR ◊ HOGWARTS IS OUR HOME

HOGWARTS SCHOOL OF WITCHCRAFT AND WIZARDRY nathanael j. blackstone 7e ANNÉE GRYFFONDOR

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Nathanael, sculptée avec soin du bois d'un frêne, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui : intelligent, agilité, discrétion sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilèges. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un ventricule de cœur de dragon qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Le fait d'être né dans une famille partisane de Voldemort peut sans nul doute influencer mes choix ainsi que mes idées. Je sais pleinement qu'une certaine part de ma famille aimerait que je me dirige droit vers la magie noire. Le problème est sans doute mon désintéressement depuis ma jeunesse à ces nombreuses pratiques. Il y a évidemment une certaine part d'admiration que je ressens, quelqu'un qui est arrivé à posséder ce nombre de pouvoir, ne peut que recevoir ce genre d'émotions de la part des autres sorciers, assurément. De plus, je ne sais pas si c'est uniquement mon esprit, qui possède des traits scientifiques, mais j'aimerais seulement voir le monde. Comment serait-il gouverné par Voldemort. Comment il pourrait le détruire aussi facilement... C'est masochiste. Ou sadique, je ne sais plus. Il y a quelque chose dans toute sa personne, qui me dicte à le craindre, même dans son nom. Même si j'accorderais ma confiance en cette personne, je sais que je vais tout perdre. Même si je n'ai pas beaucoup à perdre, il faut avouer. C'est mon instinct premier, qui a toujours été de m'éloigner de cette utilisation, de n'en faire qu'à ma tête, même si l'extérieur ne reflète jamais la même chose. Je n'ai pas envie de voir le monde en ruine, c'est en quelque sorte une espèce d'idées et de croyances pour laquelle je suis prêt à me battre. Prêt à me battre est pourtant un grand mot devant le fait que j'ai l'impression que je n'aurais jamais assez de courage pour m'opposé complètement à lui. Complètement à ma famille, surtout.

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ?Ils ne sont certainement pas aussi organisés que pourraient être les mangemorts. C'est certain et cette ordre est complètement décousue, à mon avis, depuis qu'elle a été reconstruite. Enfin, si je peux évidemment me fier à ce que l'on peut retrouver dans les livres d'histoire. Pourtant, à choisir entre les mangemorts ou bien l'ordre du phénix, je n'aurais aucunement à hésiter entre lequel je choisirais ; ce serait le deuxième. Malgré l'ordre décousue et le fait qu'elle soit beaucoup plus essoufflée que le côté des Mangemorts, qui ont le mérite d'avoir été éduqués dans la souffrance et dans ces idéaux -soit une folie, tout simplement-, elle porte au moins en elle un certain espoir de voir un monde beaucoup meilleur que celui que promet Voldemort et cette destruction qu'il afflue autour de lui.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ? Depuis le retour de Voldemort, il n'y a sans doute pas un matin où je me réveille, où je n'ai pas peur de ce qui se passera durant la journée. Peur de voir ce qui pourra être détruit, de ce que je pourrai éventuellement perdre. Et pourtant, cette peur est présente, mais en même temps elle est futile. Ma famille a toujours été partisane des mangemorts, techniquement je sais très bien que je ne risque absolument rien -dans les faits. Sauf que combien de mangemorts ont perdus la vie ? Pleins. Je ne serai jamais prêt à me faire tatouer le bras par cette marque ou bien d'entré dans les rangs pour supporté Voldemort, sauf que je sais ce que je peux perdre. Je sais surtout comment ça pourrait arrivé ; dans l'horreur. Je n'ai pas réellement envie de voir mon nom présent dans les livres d'histoire. Je veux simplement que ça cesse et que tout revienne. Tout revienne comme avant ? Je sais bien, que c'est complètement inutile. De toute façon, il faudrait préciser surtout le, avant quoi.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ miss.powerpuffs / naomi TON ÂGE Ҩ dix-huit ans. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ hunter parrish. PERSONNAGE Ҩ inventé. TON AVIS SUR PI Ҩ Il a l'air bien, de ce que j'ai vu jusqu'à présent. OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ Phoenix m'a montré le chemin CONNEXION Ҩ écrire ici (7/7). UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ .

" What doesn't kill you make stronger."

Son père aurait pu être fier de lui. Réellement. Déjà très jeune, on aurait pu confirmer à la famille Blackstone qu’un certain surdoué avait vu le jour à l’intérieur de la famille. Ayant une mémoire photographique, l’enfant avait tendance à se rappeler des détails qu’un enfant n’aurait porté aucune attention. Au début, on aurait pu croire que c’était normal. Rapidement, ça devint flagrant. On ne pouvait jamais mettre un mot sur qui avait donné ce « gêne » au fils d’Adonis, mais on fut content de cette nouvelle. En effet, la seule chose que sa famille puisse trouvé à faire était peut-être d’utiliser cette intelligence afin de s’en servir. S’en servir pourquoi ? Jamais Nathanael ne put savoir. Sauf que c’était sûrement pour servir leur cause. La magie noire, sans aucun doute devait avoir un rapport intime avec l’affaire. Et d’ailleurs, dès qu’on lui apprit à lire, sa famille, en particulier son père ainsi que son grand-père, commença doucement à lui faire lire des romans portant sur la magie noire. Usant d’une bonne vieille méthode de fine psychologie : la simple exposition. Pour qu’il se sente attiré vers cette matière. Réellement, Nathanael ne vit jamais en cette matière quelque chose de potentiellement intéressant. C’était plutôt complexe et ça aurait pu comporter un énorme défi pour sa personne, mais il avait un réel manque d’intérêt. Et il fallait avouer que ses nombreuses questions commençant toutes par un pourquoi, commençait à réellement taper sur les nerfs du patriarche. Mais Nathanael avait un besoin réel qu’on lui apporte une justification, qui pourrait avoir un lien direct avec le « pourquoi l’utiliser ». « Pourquoi devons-nous être plus puissant ? Pourquoi avoir peur de la mort ? » Des questions plutôt philosophiques pour un enfant un peu moins de onze à qui on proposait une littérature, ma fois… Très difficile. Celle-ci commença à même lui faire, faire des cauchemars. Les réponses brusques de Desmond Blackstone l’effrayaient considérablement. Alors il apprit rapidement à s’imaginer un monde. Un monde de sécurité où rien ne pourrait l’atteindre. Enfin, certainement pas son grand-père. Il aurait aimé amener Phoenix, son jumeau, mais apparemment il ne pouvait amener personne dans sa tête. Ça ne fonctionnait pas comme ça. La lecture de toutes ces choses horribles parvint rapidement à amener Nate à se couvrir d’une carapace et à être plutôt introverti. Lui, qui était au fond quelqu’un de plutôt sensible. À qui on aurait dû donner des livres de sciences et du fonctionnement des animaux, un livre d’expérience scientifique ou bien le faire visionner des épisodes de « L’enfant devenu ailleurs ». Peut-être qu’il n’aurait pas cet aspect un peu masochiste de sa personnalité ?

Dès qu’on lui remit l’enveloppe, confirmant son entrée à Poudlard à ses onze ans, Nathanael frétilla de joie. Il avait déjà hâte d’acheter sa baguette magique, de voir tous les livres qu’on pourrait lui remettre, mais surtout de quitter cette affreuse maison qu’il n’aimait pas. La seule chose qu’il espérait c’était qu’on ne le répartisse pas à Gryffondor. Son père lui aurait sans doute péter un câble. Il faut avouer qu’en fait, tant qu’il s’éloignait d’ici, il se contentait de se dire que rien ne pourrait lui arriver. Et Poudlard était parfait pour jouer le rôle de deuxième maison, le château, dès qu’il l’aperçu, lui semblait dix fois – si ce n’était pas cent fois – plus accueillant que le manoir dans lequel il vivait depuis son enfance. « Blackstone, Nathanael ! » La voix résonnait dans la grande salle, se mordant la lèvre péniblement, ayant une forte envie de quitter la pièce en courant. Qu’on écrase le marteau de la justice et qu’on puisse dire qu’au fond, Nathanael Julien Blackstone était un cracmol. Qu’on avait fait erreur sur sa personne. Mais au lieu de ça, il s’approcha tranquillement du chapeau posé sur le tabouret devant lui, puis il s’assit, inconfortable et on le coiffa. Ce fut avec une certaine appréhension qu’il entendit monologuer le choixpeau sur sa tête. Ce monologue restant gravé dans sa tête et qu’ensuite lui faisant des cauchemars où était mêlé son père et son grand-père. Jamais il n’avait été question de serpentard ou bien de pouffsoufle. Il avait hésité longuement entre serdaigle et gryffondor. Naturellement, il ne comprenait pas réellement pourquoi il n’avait pas choisi les bleus : il était un surdoué. Intelligent. Il n’avait pas de courage ou presque. Apparemment, le choixpeau avait trouvé une once de courage que même lui ne savait pas vivante à l’intérieur de lui. Lorsqu’il prononça la maison des griffons et qu’il vit la table de ceux-ci se mettre à l’applaudir, il eut tout de même l’impression que pour une fois, des personnes tenaient à lui. Excepté son frère, évidemment. Frère qu’il ne voulut pas croiser son regard, histoire de voir quelle était sa réaction. Sauf qu’il le fit quand même. Et jamais Nate ne fut capable de mettre un nom sur l’émotion qu’il pouvait voir.



Pourtant malgré tout, il aimait Poudlard. Il aimait les gryffondors. Et surtout, il adorait les cours. Lentement, il apprit à émettre ses idées. À devenir plus que l’espèce d’enfant cobaye que son père aurait voulu qu’il soit. Mettre des idées sur qui il était. Et sur qu’est-ce qui l’intéressait. Ses cauchemars étaient toujours aussi présents, mais il se mit à lire qu’est-ce qui l’intéressait réellement. La métamorphose, en premier. L’histoire. Les potions. Les potions marrantes et non des trucs à coucher dehors, comme il les appelait, que son père aurait voulu qu’il s’intéresse. Puis, les trucs de moldu. Au désespoir, sans doute de tous. Il s’y intéressa sans doute un peu de trop près, puisque Nathanael fini par bien les aimer. Il trouvait un certain amusement dans la création du téléviseur et en fut presque surpris lorsqu’il écouta un premier film. Avatar. Chez quelqu’un qu’on l’invita. Inutile de vous dire qu’ensuite, Nathanael ne retint aucunement l’histoire d’amour. Non la seule chose qui l’intéressa fut le langage na’vi. Inutile de vous dire qu’il semblait dénué d’hormones biologiques qui le poussaient vers des personnes féminines. Même les armes de destruction massive ne l’intéressa pas tant que ça. Et la deuxième chose qui l’obsédait dans ce film, fut la théorie que des extra-terrestres existaient. D’ailleurs, le fait d’écouter ce film qui sembla être une expérience plutôt inoffensive de la part d’une vieille dame, devint le point tournant de quelque chose d’assez important dans la vie de Nathanael. En effet, il commença à longuement étudier les langues. Pas seulement celle britannique, mais aussi na’vi. En fait, à l’âge de treize ans, il en créa tout simplement une, la montrant à Phoenix pour qu’ils puissent se parler sans que personne n’y comprenne rien. Ce qui peut se retrouver à être parfaitement utile compte tenu d’avoir une famille partisane de la force obscure et qui sont plutôt conservatrices. Nathanael n’allait absolument pas avec le décor familial, Phoenix un peu plus, mais ça ne le dérangeait pas. Parce que son frère jumeau était la personne la plus importante à ses yeux. Ensuite, il y avait Daedra. Qui était sa meilleure amie. Qui était la seule fille qu’il comprenait. Mais aussi la seule fille avec qui il avait l’impression de parler sans avoir l’air complètement taré, à côté de la plaque. En fait, il adorait Daedra Mills. Sa sœur jumelle lui faisait UN PEU peur (principalement parce qu’elle était une fille, qu’elle avait des menstruations, qu’elle avait des sautes d’humeur et que de son avis, elle était folle, même si à vrai dire leurs intelligences étaient parfois pareilles, il n’aimait pas l’idée qu’un jour il puisse se retrouver seule avec elle). Mais elle, il l’aimait. Pas seulement dans le sens platonique, malheureusement. Apparemment, il avait une part de normalité, lui aussi.

Le problème avec l’amour, c’est qu’il n’y a pas de théories là-dessus. On a beau fouiller la bibliothèque, on ne trouve rien. Comme les filles. Idem, même idée. Seulement, la vie est une série d’évènements compliqués qui s’entrecroisent. Et à ses dix-sept ans, on lui apprit qu’il serait fiancé. Fiancé à Marion. Marion Pond. Il hésitait même à mettre un visage sur ce nom, tant il ne faisait guère attention aux filles. Alors que son frère devait supporter l’insupportable Skyler, dans les joies du mariage. Après leurs études. Après avoir passé leurs ASPIC. L’été prochain. Joie. Une année pour tenter d’approché Marion Pond et d’avoir une conversation censée (durant peut-être plus que dix minutes ?) sans qu’il se mette à lui parler de théories ou de plans qu’il voulait dessiner afin de créer des objets. Qu’elle évite de croire qu’elle allait épouser un dingue, quoi. Parce que parle d’autres choses étaient plutôt difficiles pour le Blackstone, sauf s’il se retrouvait en présence de son frère et de celle qu’il considérait comme sa meilleure amie. De plus, il n’a pas envie de se retrouver dans la même position que son grand frère : mourir à cause de son épouse. De toute façon, ce n’était pas comme s’il était difficile à vivre. Il serait certain que Nate ne porterait absolument pas la culotte dans n’importe quel couple, soit-il. Au grand désespoir des Blackstone. Comment ils avaient pu engendrés un être qui avait tant en commun avec un agneau, hun ? Parfois, il se demande si un jour il pourra être parfaitement lui-même. Sans avoir besoin de sentir la pression de sa famille d’étudier la magie noire au lieu de ce par quoi, il se passionne dans ses cours ainsi que les moldus. Il aurait aimé devoir épousé qui il veut. Même si, si on lui aurait donner libre cours à lui-même, il n’aurait pas épousé grand-chose, hormis peut-être une bibliothèque.