❝ POINT ME AT THE SKY.

Sigvard-Paal Drew Wendling

17 ANS ◊ NÉ MOLDU ◊ HOGWART IS YOUR HOME

HOGWARTS
SCHOOL OF WITCHCRAFT AND WIZARDRY

drew wendling

7e ANNÉE
RAVENCLAW

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Drew, sculptée avec soin du bois d'un ajonc, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui : l'intelligence, la spontanéité et la joie de vivre sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilèges de protections. Le cœur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un ventricule de dragon norvégien à crête qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Chaque jour, j’essaie de dresser la liste de tout ce que je sais sur lui. Vocable macabre, incessant, et terriblement vrai. Mais je pense pourvoir résumé cela en un seul mot : Poison. Ce gars là est un serpent. Venimeux, mortel. C’est pour cela qu’il faut le tuer. C’est pour cela qu’il faut le détruire. Est-ce qu’il me fait peur ? Oui, bien sûr. Les serpents font toujours peurs. Ils sont vils et veules, fourbes, et taillés pour évoquer le dégout. Je crois que je le déteste. Non. J’en suis sûr. Je le haïe pour être la cause de tant de souffrance chez moi. Le besoin de cacher continuellement mon statut, la guerre, les divisions chez les sorciers. C’est à cause de lui. Tout est de sa faute, et je ne cherche pas à le blâmer. Juste, c’est la vérité. Rien que cette putain de réalité, qui saute à la figure, crocs et griffes ouverts, préparée à nous lacérer le visage, tous autant que nous sommes. Tous. Oui, il faut le tuer. Il peut être vaincu. C’est un fait. Il n’est pas immortel, il n’est pas imbattable. Je l’exterminerais de mes mains s’il le faut, juste pour avoir le plaisir de le voir expirer, enfin, après tant d’années de destruction.

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ? Bon sang. Ils sont plus forts que le ministère ne veut se l’avouer. Je suis ravi qu’il existe dans ce monde, dans mon monde, des gens capables de tenir tête au seigneur des ténèbres. Ils sont si peu nombreux. Si peu… Et pourtant, ils peuvent inverser la balance. Je me joindrais à eux s’il le faut. Si j’en ai le courage, aussi. Parce que cette qualité est essentielle pour faire partie de l’ordre. Je le sais, ce n’est pas une nouveauté. En revanche, j’ignore si je possède ce trait de caractère. Je ne me sens pas courageux pour un sous. Je suis juste un simple sang-de-bourbe, un élève téméraire, qui a peur, mais qui essaye de ne pas le montrer. Ce n'est pas du courage. Pas ça. Peut-être que l’Ordre du Phénix pourrait m’aider, me donner un peu de sécurité, dans ce monde qui n’épargne personne. Mais il faudra attendre un peu. J'essaie juste de me projeter dans un avenir plus ou moins lointain, si un futur existe bel et bien ici.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ? Je n’y arrive pas. Tout le monde le sait. Chaque jour, je me réveille en constatant que rien n’est arrangé. Je n’aime pas ça. Je n’aime pas la guerre, je n’aime pas les cadavres, et je refuse de me laisser abattre, et de rejoindre le clan du seigneur des ténèbres. Enfin, je ne sais plus. Je crois que la peur mélange toutes mes pensées, et qu’elles se font fantaisistes, ou contradictoires. Je me sens diminué petit à petit, et ce n’est pas bon. Pour personne. Oh, je m’efforce de sourire, parce qu’il n’y a que cela à faire, et j’élabore des plans. Encore, et toujours. Pourquoi rester à l’école ? Pourquoi partir ? Pourquoi, même, essayer de prendre part à cette guerre ? Je redoute la fin de ma septième année à Poudlard, et me réjouie de sa venue. Je veux me battre, mais des questions qui n’ont aucunes réponses viennent m’infliger de terribles maux de tête. Le vrai monde. J’y pense tout les jours. Mais nous, simples élèves ne sommes nous pas, aussi, confronter à la réalité ? Où les sortilèges priment sur les paroles. Où la lumière est rare. Où il est difficile de survivre. Oui, je pense. J’en suis sûr.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ shiver, hey oui, ceeeeey moi. :red:

TON ÂGE Ҩ huhu. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ Luke grimes. :bg:

PERSONNAGE Ҩ inventé. TON AVIS SUR PI Ҩ il est nul, pi, bien sûr :love:

. OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ bazzzart. :spm:

CONNEXION Ҩ 6/7. UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ Zaaara, reviens. T.T

Les gens qui se suicident, ils le regrettent toute leur vie.

Maison des Wendling, Londres. Sept ans.
Que le macadam, redevienne l'atlantique, que deviennent nos âmes, océan pacifique.

Ça recommence. Je vois ma mère ouvrir des yeux ronds, ces même yeux qui me fixent, où la colère et la peur se mélangent. Elle ouvre la bouche pour dire quelque chose, mais je ne l’entends plus. Pendant mes crises, il n’y a plus que le vif bruit du cristal se fracassant contre le mur, l’eau dans la bouilloire se mettant à frémir de plus belle, d’une façon presque indécente, ou le hululement des chouettes les plus proches. Oui, dans ces moments là, il n’y a plus que ces choses étranges, produites par ma faute. Ils ne comprennent pas, tous autant qu’ils sont. A vrai dire, je n’arrive pas à démêler le vrai du faux non plus. Parfois, je crois à une coïncidence, mais les fais me rattrapent aussitôt. Non, ils ont tords, mon père, ma mère, le médecin, mes voisins, en me répétant que ce n’est pas à cause de moi que tout les chats du quartier viennent miauler à notre porte. Je ne les ai jamais crus. Comment pourrais-je, de toute manière ?
De moi seul, je peux être sûr.
Ma mère, pauvre chrétienne ayant eu le malheur de faire naître un fils comme moi, murmure ces mêmes phrases incessantes. Je ne sais pas ce qu’elle dit, mais je comprends parfaitement leur signification : Elle me maudit. Elle me prend pour le diable. Et je ne peux rien y faire. Non, j’ai compris depuis bien longtemps que je ne pourrai lutter contre trente ans de religion. Je ne suis pas de taille pour cela. Je le sais, tout le monde le sais. Je ne fais que subir, comme je subis ces crises qui me prennent, parfois. Incompréhensibles, étranges, différentes. Comme moi.
Les objets se mettent à voler. Je doute que le Satan y soit pour quelque chose. Non, ce n’est pas lui. Parce que je le saurais, si c’était le cas. Non ? Ou, je ne m’en rends peut-être pas compte. Je l’ignore totalement. Beaucoup de choses m’échappent, ces temps-ci. Je ne sais pas jusqu’à quand cela va continuer. Après tout, je m’en contrefiche. Parce quoi qu’on en dise, j’apprécie cette forme de différence. Quand le verre se brise alors que je m’énerve, ou que les chouettes viennent se poser sur le rebord de la fenêtre de ma petite chambre, mon sang chante. Je suis si vivant, incroyablement vivant.
Je ne veux pas que ça s’arrête.

Maison des Wendling, Londres. Onze ans.
Mes rêves dans la tête, et le monde à mes pieds, sur ma planche à roulettes, je suis le chevalier.

Une lettre, qui m’est adressée, est arrivée. Je crois que je me rappellerais toujours de cet instant. Magique. Je l’a prend dans mes doigts agiles. Puis me faufile dans le salon, où je l’ouvre sur le canapé, en prenant soin de ne pas salir l’endroit immaculé, sachant pertinemment que la punition sera lourde, si je n’y prends pas garde. Je connais ma mère. Je sais de quoi elle est capable pour sa petite maison de Londres, autant que pour sa bible, son livre fétiche. J’ai d’autres visions des choses, mais je ne me risque jamais à les avouer, parce que je sais ce qu’elle dirait, épaulé par mon père. Je déteste ça, leurs idées arrêtés, leurs fondements inébranlables. C’est pathétique. Et je devrais reprendre le flambeau, plus tard, je le sais.
Mais je sais aussi que cette lettre va changer le court des choses. Il ne pouvait pas en être autrement. Je ne l’aurais pas supporté, je pense. Alors je l’ouvre, décrochant lentement le sceau rouge, à son dos. Les mots que j’y lis me charment et me terrifient à la fois, parce que j’en étais sûr.
Mes parents ne sont pas du même avis. Ils relisent la lettre, attestant bien mon inscription à Poudlard, école de sorcellerie. Des centaines de fois. Je crois qu’ils n’y comprennent rien. Je m’en fou. Un peu. Parce que moi, je comprends. J’avais juste, depuis le début. Les coups qu’ils m’ont portés, pour faire sortir le diable en moi, leurs hurlements. Cela devrait se retourner contre eux. Ils devraient me pardonnés, et me supplier pour tout le mal qu’ils m’ont infligés. Je n’ai pas le droit à cela. Je ne peux pas lutter contre ça. Je me le répète une nouvelle fois.
Alors à la place, j’ai le droit à quelques paroles, évasives. Ils disent qu’ils vont y réfléchir. Se renseigner. Mais personne ne gobera cela, parce qu’ils n’y comprennent rien non plus. Comme eux.

Poudlard, Angleterre. Onze ans.
Je fais le tour des terres, sur mon morceau de bois, j'ai le cœur en hiver, et le ciel est à moi.

Certaines personnes ont du mal à se plonger dans un monde qui n’était pas le sien, au début. Ils s’imergent avec difficulté, ont des préjugés, des regrets. Je crois ne pas faire parti de cette catégorie. Pour moi, il n’y a rien de mieux. Le monde magique n’est plus cet univers parallèle au mien, que je suivais dans mes rêves les plus fous, en cachette. Non. Je suis à lui. Et il m’appartient. C’est ce que je pense quand on pose le choixpeau sur ma tête de lutin, et qu’on m’envoi à Serdaigle. Plus tard, je n’aurais su dire si cette maison était vraiment faite pour moi. Mais les autres ne me conviennent non plus. Du moins, à l’idée que je me fais de moi-même. Les autres ne semblent pas de mon avis. Comme d’habitude. Alors je suis sans rien dire, et en devient très content. J’aurais pu être dans n’importe quelle maison – Mis à part Serpentard, je l’admets – pour continuer à être ravi. Parce que j’ai enfin trouvé ce que je cherchais depuis la naissance. Poudlard.
Je commence à me connaître. Je sais qui je suis, et comment je pourrais finir.
En sautant rejoindre la table des bleus et bronzes, sous les lumières qui flottent dans la salle, et le plafond aux mille étoiles, je souris. Il y a tant à apprendre de ce monde. Renaissance. Dans une peau nouvelle. Celle d’un sorcier.

Ils me félicitent, applaudissent. Tous. Et moi, je me sens ivre. Ivre de bonheur. On appelle les autres, un par un, et certaines personnes que j’ai croisés dans le train viennent me rejoindre. Je souris à qui le veut, et rit. Je crois que rien ne pourra détruire cette joie qui m’habite.
Je savais déjà quelques anecdotes sur le monde sorcier, mais on ne m’avait jamais parlé du seigneur des ténèbres. Je crois qu’on évitait d’en parler. A haute voix.

Poudlard, Angleterre. Quinze ans.
Sur mon tricycle en roue arrière, moi j'voudrais aller voir la mer.

Je veux me battre. Le seigneur des ténèbres, comme il l’appelle, est revenu. Harry Potter et ses amis l’ont répété. J’ai compris de quoi cet homme était capable, dans le passé. Je sais aussi que je suis en danger de mort, si ses mangemorts me trouvent. A cause de mes origines, de mon sang impur. Ils ont déjà commencé à investir le monde magique. Londres, toute l’Angleterre. Et bientôt, ils arriveront à Poudlard, pour y semer la pagaille. Pour tuer les gens comme moi, et remettre à leurs places ceux qui sont allés trop loin. Les traites, les rebelles, les personnes ne partageant pas leur idéaux. Non, ses idéaux à lui : Voldemort.
Je veux me battre.
L’armée de Dumbledore aide les gens comme moi, qui veulent prendre part au combat, car il est sûr que ce dernier est imminent. Elle nous entraine, nous apprend de nombreux sortilèges que cette folle d’Ombrage ne verrait jamais avec nous. Harry et ses amis ont formés une armée. Je me battrais à leur côté.
Je croyais jusqu’alors que les mangemorts seulement investiraient les lieux, mais je me trompais. Du moins, à moitié. Le ministère a aussi son mot à dire dans l’histoire. Ils veulent tous prendre part à la partie. Contre Dumbledore. Contre les nés moldus, L’Ordre du Phénix, et les dires de Potter. Je déteste ça, et me borde à continuer à avancer.
« Stupéfix ! » Le sort m’atteint de plein fouet, et je m’écroule au sol, incapable de bouger, mais conscient des choses. Neville a du réussir le sortilège. Quand les sens me reviendront, je me ferais un plaisir de le félicité. C’est toujours comme ça. Tous soudés, même si nous sommes de maisons différentes. Toujours.

Maison des Wendling, Londres. Dix-sept ans.
Dans mes yeux les sanglots, tu peux chercher. Tu peux creuser, je ne suis pas de ceux qui finissent sous terre.

« Non… Drew. » Elle me souffle que ce n’est pas la peine de prendre part à tout cela. Mes parents, mon frère, savent très bien que la guerre est proche, dans mon milieu. Pas le leur. Le mien. Ils savent aussi que cela va avoir des répercutions sur les moldus, parce que Voldemort ne fera pas de quartier. Même si les humains normaux n’y sont pour rien. Je n’y suis pour rien non plus, d’ailleurs, pourtant, je ne serais pas épargner. Ils ont bien compris tout ça. La mort qui plane sur nos têtes. A tous. Je devais me résoudre à leur dire. Pour les prévenir que leurs prières ne les protégeront pas contre une harde de sorciers armés. Je ne crois même pas que la pire des armes moldues arrivent à les exterminés. Non, seul Harry Potter pourra vaincre leur maître, les sorciers rebelles n’auront qu’à s’occuper de ses sbires. Avec des baguettes magiques. « S’il te plait… Ne fais pas ça. » Je grimace, et me lève lentement du canapé, dans lequel, je me rappelle, j’ai ouvert ma lettre, il y a quelques années de cela. « Tu ne peux pas te comporter en mère maintenant, et t’occuper de moi, alors que tu ne l’as pas fais quand j’en avais vraiment besoin. » Je soutiens son regard fatigué, et retrouve mon plan, perdu quelque part dans mes pensées. Je sais quoi lui dire. « Vous ne devrez pas rester ici. Je pense qu’ils seront bientôt là. Partez des Royaume-Unis, les trois. Prenez de la distance, ne vous faites pas repérer. Je… Je vous rejoindrais. » « Tu mens. » Je grimace, et détourne les yeux. Elle le sait très bien, oui. Nous le savons tout les deux, d’ailleurs, que je ne partirais pas du château. Mais elle doit jouer son rôle de mère, je suppose, celui qu’elle n’a jamais endossée avec moi. Alors je l’embrasse sur la joue, et l’a prend dans mes bras. Je suis plus grand qu’elle à présent, beaucoup trop, mais je me sens toujours comme un petit garçon. Ce petit garçon qui a finit à Serdaigle, celui qu'on nomme la grande gueule, gentiment. Ce petit garçon sang-de-bourbe, différent dans le monde des moldus, et dans le sien. Celui qui prendra part au combat. Quoi qu'on puisse lui dire.

OH YOU'RE BACK :bed:

JE T'AIME

REBIENVENUE ET BONNE CHANCE POUR TA FICHE :mimi:

Même si cette fois tu es à gryffou, tu pourra re-être le bff de ma hester :love:

(j'ai encore un nouveau compte tiens depuis que tu as quittés *baff*)

HEEEEEEEEEEEEEEEESTER.
OUI JE SUIS DE RETOUR, ET JE VOUS NEM TOUS. *___*
Merci pour le re-bienvenue. (a)
Han, c'est trop gentil. Je t'aime encore plus. huhu Et... Je suis toujours à Serdaigle, hein. XD Ou alors tu t'es trompée dans le poste du choixpeau.

Wohooooooo bon retour parmi nous ! :yay:

Merci Paaaaaaaaaaanda.

S-P. Drew Wendling a écrit:: HEEEEEEEEEEEEEEEESTER.
OUI JE SUIS DE RETOUR, ET JE VOUS NEM TOUS. *___*
Merci pour le re-bienvenue. (a)
Han, c'est trop gentil. Je t'aime encore plus. huhu Et... Je suis toujours à Serdaigle, hein. XD Ou alors tu t'es trompée dans le poste du choixpeau.

MOOOOOH ON T'AIME AUSSI :bed2:

Je suis un boulet :angel:

Je me suis trompée, c'était gryffondor, je suis trop nulle, c'est mon inconscient qui a parlé xD Bha du coup jte laisse choisir entre gryffondor et serdaigle xD d'après mon inconscient, serdaigle, c'est mieux :mdr:

Désolée de cette erreur x)
Quel boulet je suis xD

Nan mais c'est rien. Ca m'a fait tilté, juste. Genre : Wtf ? Elle est toujours aussi incompréhensible. C'est sûr, à vouloir faire dix choses en même temps. //SORT LOIN//
HAN. C'EST GENTIL. ** Je pense que oui, je vais garder serdaigle, parce que vu que je refais Drew, en fuite, certes, et bien, ce serait mieux, ça correspondrait plus au truc. x) Merci. (a)

on ne change pas les bonnes habitudes, je sais que tout le monde aime cette folie qui me caractérise si bien *baff*
Bha c'est parfait alors xD J'ai bien fais de me planter xD
J'aimais tellement ce petit Drew en plus :mimi:

Serdaigle for the win :héhé:

Bah oui, c'pour ça qu'on t'aime. (a)
Mais trop ! xD Il y a toujours un bien dans un mal, comme on dit. Ou, j'sais plus. Peu importe.
Moi aussi je l'aimais, et j'avais trop envie de le rejouer. ** Hey oui, serdaigle, quoi.

owiiiii

oui voilà

vive drew

Oui, Drew, le bouffon de service, qui prend la vie comme elle vient, même si pour l'instant, c'est pas le bonheur complet chez lui. huhu

Haaan oui, toi :puppy:

Re-bienvenue chez toi, tu m'avais manquée :calinchou:

Je suis contente de voir que tu reprends Drew, tu le jouais bien je trouve :puppy:

Peut-être que bientôt, je vais pouvoir relire tes rps avec Hester :héé:

Bref, bon courage pour re-faire ta fiche :angel:

Heeey ~ ♥
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ♥

Josh : Haan, mon soumis préféré. ** C'est un plaisir de te revoir. (a) Boarf, bien le jouer ? xD Disons que vu que c 'est moi qui l'a inventé, j'ai un peu plus de facilité. Maybon. x)
Huhu, oui. ** et moi le rp salle de bain, que je dois continuer.
Merci, sinon.

Charlie : Meerci beaucoup. ** Une serdaigle aussi.

Bah ouais, mon acolyte quoi :calinchou:

Chuut, chuut, chuut, t'as perdu tes habitudes de soumis sérieux (a) si je t'ai dis que tu le jouais bien, c'est que tu le jouais bien, c'tout :puppy:

Non mais non, le rp salle de bain il est censuré, t'as pas le droit de le lire, c'est puni par la loi :arrow:

J'ai hâte de lire ta fiché, sérieux I love you

huhu, oui, Acolyte. (a)
Ahhhh, oui, mes habitudes. T'inquiètes pas, elles vont revenir. Soumis un jour, soumis toujours. C'est gentil. (a)
Mouahah, trop tard. c'est lu, c'est retenu.
J'ai hâte de voir ce qu'elle va donné aussi. Parce que pour l'instant, c'est qu'une esquisse. x)