001. NOM DE FAMILLE Ҩ	ELIOTT
002. PRÉNOM(S) Ҩ	ISIS JORDAN
003. ÂGE Ҩ	DIX SEPT BALAIS
004. STATUT DU SANG Ҩ	SANG MÊLÉ mais l'ignore totalement
005. MAISON Ҩ	GRYFFONDOR
006. ANNÉE D'ÉTUDES Ҩ	7E ANNÉE
007. BAGUETTE Ҩ	CHÊNE ROUGE, POUDRE DE DIAMANT, DUEL
008. ÉPOUVANTARD Ҩ	SON PÈRE
009. PATRONUS Ҩ	FURET BLANC

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“hogwarts will always be there to welcome you home.”

“l'avis votre personnage sur voldemort”

Toute mon enfance a été bercée dans les bras d'un tyran alors vous imaginez bien que ce vieux fossile de Voldemort se classe bien en bas de l'échelle au même niveau que mon paternel. Je ne partage en aucun cas les mêmes convictions bien au contraire, j'aime le monde moldu autant que j'aime le monde magique. Voldemort est pour nous comme le Hitler des moldus, et tout comme eux nous éradiquerons ce vieux serpent ainsi que ces disciples. Le mal ne gagne jamais, j'en suis convaincue et je suis prête à me battre pour sauvegarder notre paisible vie.

“que pense-t-il de l'ordre du phénix ?”

Les moldus utilisent des armées de soldats pour faire régner le bien en ce monde, pas toujours efficace certes mais au moins il tente quelque chose. L'Ordre du Phénix est notre armée, celle qui par leur conviction, leur foie, leur humanité et leur amour fera disparaître tous ces parasites de notre existence. On leur doit bien notre respect et notre soutien car eux au moins - et excusez moi du terme - se bougent le cul pour remettre notre monde en ordre.

“comment vit-il la situation actuelle ?”

Dire que je n'ai pas peur serait un pur mensonge bien évidemment. L'air est pesant, stressant et on vient à se demander à qui l'on peut faire confiance. Nos amis ? Auraient-ils le courage de vous protéger, vous soutenir quoi qu'il advienne ? Personnellement, je ne compte sur personne et j'agis seule. Bien que mes mascarades ne changeront pas le monde actuel, je me fais un plaisir de provoquer ces mangemorts qui nous entourent, quitte à en subir les conséquences.

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“every year is the same, muggles are everywhere.”

001. TON WEB PSEUDO Ҩ	LILY
002. TON ÂGE Ҩ	VINGT TROIS ANS
003. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ	RIHANNA
004. PERSONNAGE Ҩ	INVENTE
005. TON AVIS Ҩ	HP, ÇA ME RAPPELLE MON TOUT PREMIER PERSONNAGE QUAND J'AVAIS QUATORZE ANS, FAITES LE CALCUL ÇA NE REMONTE PAS A HIER XD bref, J'ADORE ♥
006. TROUVÉ PAR Ҩ	PAR MA KNACKI, ISEULT chérie
007. DERNIER MOT Ҩ	Punaise ça m'excite tout ça ><
008. CONNEXION Ҩ	7j/7 sauf quand je suis absente ahah --'

Impulsive • Rock'n'roll • Provocatrice • Insouciante • Courageuse • Extravertie • Bornée • Curieuse • Spontanée • Rancunière • Franche • Excentrique • Cultivée • Caractérielle • Possessive • Effrontée • Captivante • Déstabilisante • Espiègle • Charmeuse • Rusée • Instable • Téméraire • Mesquine • Volage • Cleptomane • Fière • Lunatique • Bavarde • Loyale • Souriante • Optimiste • Joueuse • Bagareuse

❝De multiples cicatrices couvrent son corps - Quand elle eut enfin ses dix-sept ans elle a définitivement quitté le "cocon" familial, pour ne plus jamais en revenir - Jamais elle n'a caché la maltraitance subit durant ces dix sept années, mais n'en parle pas non plus au premier venu - La pitié dans le regard des autres la met hors d'elle - Espère découvrir ses véritables origines, ignorant que son père biologique est une sorcier - Excelle dans les duels - Aime se faire peur - L'étude des Moldus et Défense contre les forces du mal sont les cours qu'elle adore tout particulièrement - A l'espoir de pouvoir mettre ses aptitudes au profit de l'Ordre du Phénix - Ne quitte jamais sa furète Junkie, qui est d'ailleurs son patronus - Danseuse depuis son plus jeune âge - Joue très souvent avec le feu - La douleur physique la rend insensible, et en profite bien pour provoquer les mangemorts dans le château, mais elle a tout de même ses limites, le sortilège Doloris... ça pique - Ne supporte pas les ordres, la discipline, c'est quelque chose qu'elle connait trop bien - Ignore ce qu'elle fera de sa vie, et ne s'en préoccupe guère - La confiance se gagne, mais à ses yeux très peu de personne la mérite, et il lui est difficile de l'accorder - Une vraie maniaque de la beauté, mais pas à en devenir superficielle. Adore simplement prendre soin d'elle - Possède quelques tatouages, tous ayant une signification particulière - Adore la technologie Moldu - Envie l'amitié qui soude Harry, Hermione & Ron - Fantasme sur une moldu croisée au détour d'une rue, petite blonde aux yeux cristallin - Était secrètement amoureuse de Cédric Diggory, sa mort l'a anéantie - Accro à la nicotine, les moldus n'inventent pas que des bonnes choses - Déteste devoir mettre sa robe de sorcier, il n'y a rien de sexy là-dedans - Briserait la main à quiconque ose toucher ses cheveux - Quand elle n'a pas recourt à sa baguette, c'est avec ses poings qu'elle se fait comprendre - Collectionne les heures de colle, et quelques cicatrices persistent à rester depuis le règne de Ombrage à Poudlard - Comme beaucoup d'élèves, la mort de Dumbledore l'a touché profondément. Il l'a beaucoup soutenu malgré son comportement - Ne supporte pas les personnes qui s'en prennent à plus petit qu'eux et n'hésite pas à intervenir - Défend corps et âme les couleurs de Gryffondor - Aimerait connaître la chair d'une femme - A tendance à voler un objet partout où elle se rend, s'en est maladif ❞

*

« Maman, pourquoi il me déteste ? » Dix années se sont écoulées depuis ma naissance dans le nord de l’Angleterre à Newcastle, et avec autant de patience que possible j’ai attendu de savoir pourquoi l’homme censé être mon père et m’aimer comme tel a fait de moi son punchingball et souffre-douleur. Certes, je ne suis pas la petite fille rêvée aux perfections inébranlables mais loin d’être une mioche exécrable aux multiples talents de délinquante, alors quelles sont les raisons de cette violence, de cette haine qui semble s’accentuer à chaque jour qui passe. Mais j’ai attendu trop longtemps, reçue les coups sans broncher, avec le temps j’ai même appris à retenir les larmes sous la douleur lancinante de ces poings, sa ceinture ou encore son cigare.
Mon géniteur – oui c’est ainsi que je l’appelle – est au bar avec ces amis de comptoir, et c’est seulement en son absence que je peux tenter de tirer les verres du nez de ma mère. Elle prépare le repas du soir tandis que de ma chaise j’appuis mon regard sur elle, bien décider à lui faire cracher le morceau, au moins un petit quelque chose. « Maman ?! » Me tournant le dos, un long et pénible soupire s’échappe de son corps, elle ne bouge plus. Les minutes s’écoulent, et pas un mot ne sort de sa bouche et juste au moment où j’allais baisser les bras… « Tu es assez grande pour connaître la vérité à présent. Chérie, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise façon de te dire ça alors je ne vais pas mâcher mes mots. Quelques mois avant ta naissance, j’étais en déplacement pour mon travail sur l’île de la Réunion et j’ai eu une liaison amoureuse avec un homme… un homme noir… » Bloquée, paralysée sur ma chaise, je bois ces paroles qui au fur et à mesure que je les comprends me donnent la nausée. Que suis-je bête ma parole, il n’y a pas plus naïve au monde que moi. Oh bien sûr que j’ai remarqué que je suis métisse alors que la peau de mes parents ne peut pas être plus pâle et j’ai cru à leur baratin. Mon arrière arrière grand-père aurait eu des origines africaines, et il aurait été prouvé que plusieurs générations après, un enfant peut hériter de ces gênes bien que les parents aient la peau blanche. Et j’y ai cru, les parents ne sont pas censés mentir non ?
« Durant toute ma grossesse, j’ai espéré de toutes mes forces que tu ne serais pas la fille de cet inconnu… mais à la naissance, je n’ai pu cacher plus longtemps cette liaison à ton père. Il est devenu fou de rage, et pour la première fois il a levé la main sur moi. Oh ton père a toujours été un homme violent mais jusque-là il s’était toujours contrôler en ma présence... »
Non, non ce n’est pas possible. Mon visage aux creux de mes mains, je tente de retenir les larmes qui n’ont plus coulé depuis un bon bout de temps. Pendant dix ans ma mère m’a menti, celle que j’aime malgré le fait que jamais je n’ai eu droit à sa protection quand mon père avait ses excès de rage. Et cette trahison est plus douloureuse que tous les coups, toutes les insultes que j’ai pu recevoir depuis dix ans.

**

« Asseyez-vous Miss Eliott » McGonagall me scrute de son regard perçant tandis que docilement je prends place devant son bureau. Ce lieu m’est plus que familier, voilà deux ans déjà que par un beau jour d’été un hibou a fait une entrée fracassante dans le domicile de mes parents, une lettre m’étant adressé, soigneusement attachée à la patte de l’animal. Une annonce qui a changé ma vie, et bien que des choses étranges se soient produites jamais je n’ai pu imaginer qu’un monde magique se mêlait au notre et il m’a fallu faire mes premiers pas dans Poudlard pour songer à y croire. A présent je suis en quatrième année et je ne pourrais imaginer un monde sans notre magie. Ces années merveilleuses n’ont été que bénéfiques malgré mon tempérament de feu qui m’a bien souvent conduite dans ce bureau. Et encore aujourd’hui McGonagall me transmet sa déception et son désespoir face à mon attitude. La plupart des élèves auraient tout fait pour se faire le plus petit possible sur cette chaise dure comme la pierre, attendant le verdict tomber. Quelque peu tête brulée, il n’est pas question que je m’abaisse à regretter mes gestes et à ne pas les assumer.
« Il me semblait que notre dernière conversation avait fait son petit effet, puisque je n’ai plus entendu parlez de vos petits agissements pendant quelques jours. A croire que vous êtes irrécupérable Eliott. Avoir honte de mes élèves n’est pas quelque chose que j’ai connu jusqu’ici, mais grâce à vous c’est chose faite »
Tout de suite les grands mots, honte… honte. Il ne faut pas abuser non plus, il faut toujours qu’elle exagère les choses cette vieille mégère. Bon d’accord, ma crise d’adolescence me rend quelque peu infernale mais faut nous comprendre nous les femmes, les hormones en pleins ébullitions ne demandant qu’à exploser d’une façon ou d’une autre. Un psychologue a diagnostiqué chez moi une sorte de Schizophrénie, des mots ou flashs qui provoqueraient chez moi une violence incontrôlable. Non franchement, il a eu son diplôme dans un chocogrenouille ou quoi ? Pfff.
« Je ne sais plus quoi faire. Les heures de colles, les travaux d’intérêts généraux… rien n’y fait. Alors que vous êtes une si bonne élève, quel gâchis ! Que vais-je faire de vous… »
Comme si j’étais un cas désespérée.
« Alors au grand maux, les grands remèdes… Vous êtes expulsée de Poudlard pour une durée de cinq semaines. N’ayez craintes pour vos cours, un hibou se chargera de vous transmettre les parchemins, et bien évidement les devoirs à rendre »
Sur le cul, c’est vrai que jusqu’ici j’ai écopé d’une flopée d’heure de colle, sans compter les heures passées dans la forêt interdite avec Hagrid mais l'exclusion temporaire ? Chez moi ? Mes parents ? Mon père. Non, non McGonagall n'a pas le droit, elle sait ce qu'il va se passer.
« Quoi ? Mais… Non vous ne pouvez pas faire ça. Vous savez très bien ce qui se passera si je retourne là-bas ! N’avez-vous donc aucune conscience ? » Je sens la terreur m’envahir, jusqu’ici je me suis toujours débrouillée pour ne pas revivre cet enfer, mis à part l’été où je n’ai d’autre choix que de retourner au bercail. Et mon père prend un malin plaisir à rattraper le temps perdu. Une unique fois j’ai utilisé ma baguette et par ce geste j’ai bien faillit ne plus jamais remettre les pieds au château.
« Et qu’en est-il de la vôtre ? Je suis navrée, mais vous ne me laissez plus le choix. Votre situation vous a épargné à plusieurs reprises. Il y a bien longtemps que cette sentence serait tombée, mais je ne peux plus déroger aux règles à présent. Alors j’agis comme pour n’importe quel élève » En un mouvement de baguette elle fit apparaître mes valises à mon côté. Abasourdie, en colère je me lève alors brusquement prenant mes bagages en mains, et m’avance à la porte d’un pas furieux. Si elle croit que cette punition va m’assagir, elle se met le doigt dans l’œil. Avant que je ne disparaisse du bureau… du château, McGonagall s’adresse à moi. « Nous garderons un œil sur vous Miss Eliott, soyez en certaines ».