caïn sebastian warrington

21 ANS ◊ SANG MÊLE

THE MINISTRY OF MAGIC, LONDON caïn warrington 5 BUSES & 6 ASPICS APPRENTI LANGUE DE PLOMB THE MINISTRY OF MAGICI

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Caïn, sculptée avec soin du bois d'un ébène (méfiance et enfers), d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que 11ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui/elle : taciturne, possessif, impulsif sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en les sortilèges. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un/une poil de sombral (mort & invisible) qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Lord Voldemort et ses mangemorts, les sorciers kamikazes haha. Ils ne me font pas peur, pas autant qu'ils me fascinent, ils me font plutôt doucement rire à vrai dire. Je sais, en général, je ne me rends pas compte de ce que je dis jusqu'à qu'un jour je me trouve enfermé dans une cave et qu'il me tue dans d'atroces souffrances, mais en dépit de leurs récentes batailles acharnées et du sang qu'ils font couler, j'ai du mal à les prendre au sérieux. Leurs pseudos-revendications sont vieilles comme le monde et ne sont absolument pas inscrits dans notre époque contemporaine, avec eux, on se croirait au Moyen-Age, leur traditionalisme les rends aussi ridicules que des chrétiens moldus aux cul-serrés. Bon, après Voldemort, c'est sûr que pour être arrivé là ou il est arrivé, je lui reconnais nécessairement quelques respects et surtout quelques craintes - car je tiens un minimum à ma vie - mais il doit avoir si fort peu d'esprit intellectuel et culturel que ce n'est pas le genre de personnes avec laquelle j'aimerais partager un dîner.

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ? Pour moi, ils sont à mettre à peu près sur le même plan que les Mangemorts, mais sous une autre forme. Je ne saurais dire s'il représente le Bien ou le Mal, cela serait des suppositions et hypothèses bien trop présomptueuses de ma part, mais face à toute la cruauté de leurs assaillants, je dois leur reconnaître une certaine candeur héroïque assez remarquable, bien qu'elle n'en reste dans le fond assez pathétique. Croire pouvoir changer l'être humain assoiffé de sang, de pouvoir et d'orgueil, surtout lorsqu'ils sont dominés par une idéologie commune, ainsi que croire ramener la paix universelle, quelle sottise tout de même, les Mangemorts, eux, ont au moins compris la réelle nature de l'être humain et savent l'utiliser à leur bon escient.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ? Je n'ai pas réellement d'avis sur cette guerre, il faut dire que la politique et toutes les affaires nationales m'ont souvent fort peu intéressés, je suis moi même bien plus passionnant seul que n'importe quelles de ces fichtres guerres. Reculé dans ma résidence de Darthmouth, travaillant au Ministère comme Langue-de-plomb et donc protégé par le secret-défense, je prend peu parti aux manigances de Mangemorts et de l'Ordre, il faut dire que je ne suis pas un sorcier exceptionnel, que je suis plutôt détestable et solitaire, que je suis un sang-mêlé et donc le cul entre deux chaises, bref, je suis l'antihéros de cette guerre par excellence. Toutefois, si je devais prendre un parti, je serais bien plus proche des Mangemorts qui après un rapide calcul, m'apporterait bien plus d'avantages que de l'Ordre et dont je trouve la compagnie en général plus amusante, eux au moins ils ont un humour cynique et savent réellement rire, je les trouve bien plus visionnaires et charmant d'esprits lors d'une conversation qu'un pro-Ordre souvent d'une mièvrerie exacerbée assez affligeante, bien qu'il existe quelques exceptions, comme toujours.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ Cookiemonster / Margaux, revenue vous hanter TON ÂGE Ҩ 18 ans. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ Gaspard motherfuckin' hot Ulliel bitches PERSONNAGE Ҩ personnage de la saga & scénario de Tracey. TON AVIS SUR PI Ҩ L'est tout beau comme les fesses de Tracey OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ Au coin d'une réelle sombre ou se déroulait une réunion secrète d'amputistes CONNEXION Ҩ 5/7 - sait-on jamais - UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ https://www.youtube.com/watch?v=Flam3nd7KbE

I DON'T CARE WHAT YOU THINK AS LONG AS ITS ABOUT ME.

Un sombral, c'est beau. Caïn n'avait jamais compris pourquoi c'était signe de mauvaise augure. Il trouvait au contraire ces bêtes très majestueuses, plus belle incarnation de la morbidité. Le diable lui même n'aurait pu adopter une enveloppe aussi gracieuse et charismatique. Un sombral ne pouvait porter malheur, surtout à un jeune homme comme Caïn, un jeune homme comme lui qui avait tout pour être heureux. Née dans une riche famille et cadet de la famille - bien que ses parents n'eurent que deux enfants - en tant que seul mâle descendant, il a toujours eu ce dont il avait besoin, voire plus, beaucoup plus. Habitué à être le favori de par ses beaux yeux bleus et son air attachant tout deux purement illusoires, il n'avait jamais manqué de rien et avait appris très tôt à exceller dans l'art de la persuation et de la manipulation affective, dans le but d'arriver à ses fins, ses caprices parfaitement orchestrés allant du dessert supplémentaire et caresses de sa mère tard le soir aux babioles divertissantes à des prix exhorbitants. Alors, bien entendu, Caïn était peut-être vaniteux, sûr de lui, impulsif, perfide, dédaigneux et imbuvable, mais lui au moins il était riche et pouvait se permettre ce qu'il voulait. Les merdes, elles arrivaient sans cesse aux autres, mais jamais à nous dans le fond, surtout pas à familles comme celles de Caïn Warrington. Et pourtant, si Camus avait écrit aujourd'hui maman est morte, Caïn aurait probablement pu faire de même avec sa grande soeur lorsqu'il était en troisième année. Au mauvais endroit au mauvais moment selon les dires, elle s'était rendue au chemin de traverse pour de simples achats et seraient tombée sur un crime nocturne, ce crime qu'elle n'aurait jamais du voir et dont elle paya le prix fort. CaÏn était présent ce jour-là, il se trouvait en effet en sa compagnie pour tenter de venir la débourser du portefeuille familial qu'elle tenait dans sa poche ce jour-là. Les deux camps qui déjà se préparaient en cette guerre encore quelques peu invisible au sorcier lambda tentèrent d'étouffer l'affaire des médias mais surtout de s'approprier leurs versions respectives auprès de la famille Warrington : chez l'un c'était bien évidemment les partisans de l'Ordre du Phoenix qui avaient portés le coup fatal à la demoiselle, chez les autres c'était les partisans Mangemorts. Tout reposait alors sur le témoignage de Caïn que sa soeur avait caché in extremis dans la première ruelle lors des faits et qui n'avait eu donc qu'un vague aperçu de la bataille, incapable de désigner le réel coupable de l'affaire. Il faut dire qu'à treize ans, il ne s'intéressait guère - et pas plus qu'aujourd'hui à vrai dire - à ces affaires de guerres et de sang pur ou pas pur, Mangemorts ou Ordre du Phoenix, bien qu'il remarquait souvent que l'ensemble des sangs non-pur, mise à part lui bien entendu qui était l'exception qui confirmait la règle, étaient sots et souvent de mauvaise fréquentations. Seulement, ça il ne le réalisa que quelques années plus tard une fois son cursus terminé, lorsqu'il vit ce beau sombral une fois qu'il se baladait dans les bois de sa résidence à Darthmouth, regrettant presque sa soeur, morte sans que jamais Caïn n'ait pu la venger, morte comme ça en somme, comme on coupe la tête d'un poulet, de façon banale et assez prosaïque. Avec le recul qu'il ne possédait pas à treize ans, il aurait ainsi presque souhaité dire que c'était l'Ordre du Phoenix, si cela lui avait permis de mieux vivre et acquérir quelques privilèges de plus au sein de la communauté des Mangemorts sans avoir à se mouiller, cela aurait été un avantage à long terme non-négligeable.



« Warrington, je te défie d'aller discrètement nacer les noeuds des chaussures de Northman en face pour qu'elle se casse la gueule en allant au tableau haha. »
« Blackwell, tu m'as pris pour qui sérieux ? »

Caïn échappe un sourire. Blackwell, Caïn l'apprécie, enfin un mec qui s'y faire. Probablement un des seul Poufsouffle qui a un peu d'ardeur et des couilles pour un mec de sa maison. Les autres ne sont que des culs-serrés, des blaireaux en somme littéralement, même leur maison l'indique. Des loosers, des ratés, ils étaient pas assez courageux pour aller à Gryffondor, pas assez sages et intelligents pour Serdaigle, pas assez fourbes pour Serpentard, donc on les a foutus à Poufsouffle, la classe poubelle, la classe des gens sans personnalité. Cependant avec le petit sang un peu casse-cou qui coulait dans les veines du jeune Blackwell, le choixpeau avait du être sous acides pour le foutre dans cette maison, m'enfin passons. Les cours de métamorphoses, sujet passionnant et matière préférée du jeune homme - probablement la seule matière qui lui permettait de valider chacune de ses années depuis qu'il était entré à Poudlard - presque trop facile tant il l'appréciait. Faut dire que Caïn est du genre à être un passionné, à partir du moment ou il s'attache à quelque chose, il la retourne dans tous les sens et fait en sorte d'en être l'expert le plus total. Fasciné par la métamorphose, cette transcendance de l'anatomie humaine qui nous permet de nous transformer en animal, bien qu'il n'ait jamais été un animagus, il a lu énormément de livres sur le sujet et en ce moment même, il se faisait assez chier. Et quand Caïn se fait chier, son passe-temps favori est faire chier les autres pour arrêter de se faire chier. Assis au deuxième rang près de la fenêtre, il observait la nature hivernale, la neige tomber en ce mois de janvier, moins fortement que durant décembre, mais il trouvait cette nature profondément austère et peu intéressante. Bien moins intéressante qu'en été ou il pouvait observer les fleurs germer, les oiseaux gazouiller, les arbres déployer toute leur grandeur, en hiver, tout n'était que froid, neige et nature morte, peu dynamique, trop lent au goût du jeune homme. Le professeur continuait alors d'évoquer au tableau les sortilèges de transfert tandis qu'elle faisaient des rapprochements à la littérature des moldus dans l'Antiquité avec Cicéron ou les métamorphoses d'Ovide, oeuvre bien plus viscérale et grotesque au sens propre du terme que réellement instructive et porteuse d'enseignements. Bref, Caïn était vraiment à deux doigts de lever la main pour dire à la prof qu'il ne comprenait pas l'intérêt de ce cours en ce moment même et que son cours était profondément nul à chier, mais le défi de Blackwell l'en empêchait. En effet, quelques instants plus tôt, le professeur avait demandé à Lilian Northman, petite Gryffondor profondément niaise d'aller au tableau après la lecture d'un passage de Cicéron pour appliquer un sortilège quelconque. Caïn fit mine de tomber un stylo et discrètement liaient les noeuds de la jeune élève entre eux. Lorsque cette dernière se levait de son pas confident, elle ne put faire deux mètres avant de royalement s'exploser la tête parterre, éclat de rire général, ricanement de la part de Caïn qui reste discret. Et la logique implacable qui suit : délation de la neuneu du premier rang, expulsion de la classe, colle, travail d'intérêt général, énième menace de renvoi. Toujours provocateur, souvent violent quand il perdait patience, colérique et impulsif dans ses remarques, il était à la fois craint et admiré. Il était celui que vous voyez toujours tard dans la nuit sa clope au bec, braver le froid de la cour ou toutes les décrets de l'école qui interdissent tout et n'importe quoi. Caïn n'a jamais été très scolaire, il faut croire que son sang en partie moldu lui a toujours donné une fibre artistique, flemmarde mais surtout très dynamique. Il déteste l'idée d'être cloîtré pendant des heures dans une salle écouter un professeur, suivre des règles précises, manger sa soupe à 18H30 pour se coucher à 19h, non.. Lui il aimait vivre, il aimait la nuit, il aimait toutes ces musiques profanes de rockn'roll, psychédéliques et autres fantaisies, il aimait toutes ces drogues qu'il consommait à profusion pendant les étés, bref, il aimait l'instant et les plaisirs solitaires - sous toutes les formes possibles - , et l'école pour lui se rattachait à l'obligation, au devoir, à tout ce qui concerne l'avenir en somme, et donc lui était incompatible et répugnant. En apparence donc désinvolte et anticonformiste, en réalité, lorsqu'il se rendait et se cachait dans les vastes parcs au lieu de se rendre compte, ce n'était non pas, par une réelle envie sinon un mépris pour tout ce qui constituait cette école. Il divisait pourtant la critique : certains le prennent juste pour un fumiste opportuniste, d'autre pour un génie avec un poil dans la main, quoiqu'il en soit il ne fut jamais réellement un bon élève, et n'a jamais voulu en être un. Toutefois, il tenta une fois sur une impulsion, sans vraiment savoir pourquoi, à la recherche peut-être d'adrénaline et d'un périple rocambolesque de poster sa candidature au Tournoi des Trois Sorciers, sans succès. L'école de Poudlard ne saura jamais donc ce qu'elle a ô combien raté cette année là.



« Warrington t'es tellement désespéré que t'as décidé de tourner vers plus jeunes que toi, en sang-de-bourbes qui plus est... tu me dégoûtes. »
« Tu te crois plus malin avec ton boudin de mauvais goût toi ? La mienne a peut-être quatorze ans et de sang moldu, mais elle a au moins le mérite de savoir se tenir sur des talons et porter une robe ravissante à l'instar de la saucisse sur pattes vacillante qu'est ta partenaire. »

Certes, au départ, Caïn n'avait pas envisagé d'aller au bal avec Tracey Davis. Au départ - bien qu'il méprisait toute forme de soirées quelques peu mondaines dès son plus âge, ces soirées étant trop remplies à son goût d'amuses-gueules et foutages de gueules surtout masqués derrière de beaux appareils en soie - il devait y aller avec sa petite amie de l'époque, Juliet Sheraton, mais tout deux de la même nature orgueilleuse et agressive, ils s'étaient violemment disputés - et une fois n'était pas coutume chez eux - et ainsi, sur un coup de tête, Caïn avait demandé à Tracey, plus jeune que lui d'y aller avec lui, en grande partie pour rendre jaloux Juliet, mais aussi simplement pour se divertir dans une autre compagnie féminine un soir, pour voir peut-être la différence. Alors, oui, Caïn, aussi malsain que cela pourrait paraître à n'importe quelle personne censé, quand il avait dix-sept ans et elle quatorze, se mit à flirter avec cette dernière. Il avait bien envie de la haranguer à la Gainsbourg dans sa fameuse chanson Elisa tes quatorze et dix-sept, si tu crois que cela me tourmente, ah ça non, Tracey, car les autres on s'en fout. Au départ c'était des petits compliments durant la soirée, cela a fini par des sous-entendus en fin de soirée et durant le reste de la semaine. S'il était encore en froid avec Juliet, il ne cessait pas pour autant par la suite de continuer ses avances auprès de Tracey jusqu'à ce qu'elle cède. Et le jour ou elle se laissait aller dans ses bras brûlants de désir, il ne réussit jamais vraiment à se défaire. Ces gémissements étouffés entre ses baisers dans les toilettes masculines ou à la bibliothèque, cette virginité qu'il lui avait raflé avec son bas-ventre en feu, son corps diablement enivrant, il ne pouvait plus se passer d'elle quelques soient les apparences dédaigneuses et indifférents qu'il arborait au quotidien lorsqu'il était amené à la croiser à Poudlard dans la vie étudiante. S'il s'était remis quelques semaines avec Juliet d'une façon plus ou moins amer car il éprouvait encore de l'affection pour la demoiselle, il ne tardait pas à la quitter en lui avouant clairement son adultère. Ses ébats avec Tracey n'en furent par la suite que toujours plus passionnés et secrets, ambivalents, sans cesse entre répulsion et attraction indéniables quoique la jeune femme en dise, quand elle lui avertit peut-être une vingtaine de fois que cette fois-ci était bien la dernière. Même après qu'il eut quitté Poudlard, il s'installait à Darthmouth pour mieux la hanter comme il le disait si bien, obtenant le poste d'apprenti langue-de-plomb au Ministère de la Magie, nouveau Ministère rempli de Mangemorts avides de pouvoir et de conquête. Et voilà trois ans qu'ils se fréquentent, surtout pendant les vacances à présent, la dernière fois qu'ils se quittèrent, elle lui affirma qu'aucun autre ne lui était passée sur le corps à sa demande, et il en fut ravi bien qu'en partant, elle lui somma encore une fois que c'était bien la dernière fois qu'ils se voyaient... A la bonne heure donc.



Extrait journal de Caïn, fin de la septième année :

Je veux la posséder. Je la veux. Totalement. Entièrement. Complètement. La sentir mienne entre mes mains, mais elle m'échappe sans cesse, elle part, elle revient, elle part, elle revient, elle est insaisissable et cela me rends fou. Je ne sais que penser d'elle et ce que j'éprouve réellement à son égard. L'Amour n'est t'il qu'un perpétuel rapport de force de domination ? Mais est-ce réellement de l'Amour que j'éprouve pour elle ? Alors je joue avec elle, je la torture, je la manipule, je lui en fais baver, j'ai envie de voir si elle tient réellement à moi ou non, chaque fois j'ai néanmoins l'impression que je la brise un peu plus, que peut-être cette fois ci, elle ne reviendra pas, pourtant, je refuse de lui montrer un réel intérêt, car cela montrerait que je m'attache, et s'attacher, c'est la force des faibles. Pourtant, je me suis attachée. Je l'apprécie ô combien bien plus que je ne l'aurais imaginé. Tracey, elle est belle comme une statue grecque, elle paraissait pleins de problèmes, compliquée et casse-couilles à souhait, manipulatrice, ambitieuse, rigide, glaçiale et sans pitié, collé sur un visage divin, le plus beau visage du diable. Sauf qu'elle m'a rendu fou, elle est devenu folle et elle m'a rendu fou. Elle m'entraîne dans les tréfonds obscurs de mon esprit et dans mes retranchements les plus indécents. Elle m'expire, me suce, me bute, me vide de tout émotions tant parfois elle est cruelle et cynique, me poussant à dépasser mes limites et parfois même mes valeurs les plus ancrées juste pour lui clouer le bec, mais dès lors que nos lèvres se percutent, c'est un feu de dieu qui parcoure mes veines et une fougue, une animalité presque incontrôlable. Pourtant, en apparence, elle est tout ce que je méprise et déteste le plus au monde : une né-moldu narcissique, dédaigneuse, hautaine, trop parfaite, orgueilleuse, trop fermée d'esprit, trop lisse, trop superficielle et plongée dans les études à mon goût, tout ça pour satisfaire papa-maman, aucune indépendance, aucun désir, c'est une fille purement pathétique et vaine. Il n'en demeure pas vrai que je lui découvre chaque jour de nouveaux aspects ô combien alléchants et désirables. Elle me conduira à ma perte, à coup sûr.

Code:

<img src="http://25.media.tumblr.com/tumblr_m7waongkyp1qili3vo1_500.gif" width="400" align="center" style="-moz-box-shadow:0px 0px 5px black;">