001. NOM DE FAMILLE Ҩ	LONDUBAT.
002. PRÉNOM(S) Ҩ	NEVILLE FRANCK
003. ÂGE Ҩ	17 ans
004. STATUT DU SANG Ҩ	SANG PUR
005. MAISON Ҩ	GRYFFONDOR
006. ANNÉE D'ÉTUDES Ҩ	7E ANNÉE
007. BAGUETTE Ҩ	BOIS DE CERISER, POIL DE LICORNE
008. ÉPOUVANTARD Ҩ	SEVERUS ROGUE
009. PATRONUS Ҩ	UN LION

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“hogwarts will always be there to welcome you home.”

“l'avis votre personnage sur voldemort”

Lord voldemort est de retour et plus personne ne peut le nier. Est-ce que votre personnage en a peur et pense que c'est fini, il va gagner et c'est la cata, pense-t-il qu'il n'est pas imbattable, ou alors est-ce qu'il est de son côté, bref, tout ce qu'il peut penser du seigneur des ténèbres. Rédigez ça en un minimum de cinq lignes.

“que pense-t-il de l'ordre du phénix ?”

L'Ordre du Phénix est une organisation créée par Albus Dumbledore pour lutter contre Lord Voldemort et ses Mangemorts et il est de retour. Que pense votre personnage des sorciers qui viennent grossir les rangs de la résistance ? Sont-ils des pions du regretté Dumbledore, des fous suicidaires ou des héros que vous rêvez d'égaler ? Rédigez ça en un minimum de b]cinq lignes[/b].

“comment vit-il la situation actuelle ?”

La guerre, la crainte constante de se faire attaquer par des Mangemorts pour une quelconque raison. C'est la période que traverse le monde magique en ce moment, placée sous le joug de plus en plus puissant de Lord Voldemort. Partout, beaucoup de gens parlent, qu'est ce que pense votre personnage de tout ça ? A-t-il peur ou est-il excité à l'idée de marquer son nom dans l'histoire de la magie ? Rédigez ça en un minimum de cinq lignes.

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“every year is the same, muggles are everywhere.”

001. TON WEB PSEUDO Ҩ	PSEUDO EN MAJUSCULES.
002. TON ÂGE Ҩ	ÉCRIRE ICI
003. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ	ÉCRIRE ICI
004. PERSONNAGE Ҩ	INVENTÉ/SCÉNARIO OU DE LA SAGA
005. TON AVIS Ҩ	SUR LE FORUM
006. TROUVÉ PAR Ҩ	PAR QUI OU QUEL SITE AS-TU TROUVÉ PI
007. DERNIER MOT Ҩ	ÉCRIRE ICI
008. CONNEXION Ҩ	...J/7

30 juillet 1980 ~ Naissance.

"Pousses-toi Franck ! Tu ne vois pas que tu la gène ?! . Mrs Londubat attrapa son fils par le col et le tira hors de portée de la jeune femme enceinte. Allez, Alice chérie, encore un effort, allez, allez... oui c'est très bien...c'est bientôt finit, concentres-toi...
On eût dit alors qu'Alice Londubat se retrouva détentrice d'une force surhumaine qui la fît propulser le petit garçon aussi rapidement que les contractions qui se succédaient. Elle pleura à chaudes larmes, lorsqu'une sage femme de Saint-Mangouste le lui apporta, enveloppé dans une couverture. Le papa se rapprocha, doucement, non sans avoir cherché l'approbation de la grand-mère, puis avec un immense sourire il questionna : " Quel sera son nom ?" Augusta n'attendit pas que les hyppogryphes perdent leurs ailes : " Si tu es d'accord, ma chérie, il s’appellera Neville...Franck Londubat. C'est tout toi quand tu étais bébé Franky." Alice esquissa un grand sourire.[color=green] " Neville, c'est très beau... j'espère que tu deviendra l'être que tu veux, que tu sera toujours à la hauteur de tes choix"

30 juillet 1981 ~ 1ère année ~ Doloris

« Neville, écoutes moi. » Le garçonnet leva sa petite tête lunaire, un sourire d’enfant, large jusqu’aux oreilles s’étala sur son petit visage – puis il se dissipa lorsqu’il constata l’air triste de sa grand-mère. Il savait que ce n’était pas comme quand il mangeait trop de dragées surprises de Bertie Crochue, parce qu’elle n’avait pas les yeux aussi effrayants que ceux d’un clown ce jour –là. Quand c’était le cas, il partait se cacher derrière les jupes de sa mère, provoquant l’hilarité générale. Il ne comprenait pas pourquoi on riait de ce dont il avait peur, surtout qu’en cet instant, il lui semblait que la vielle dame était effrayée. Il avait alors surtout envie de se mettre à pleurer. Mais il écouta, agrippant ses menottes au landau, quasi religieusement, on eût dit qu’il sentait la tension qui régnait. « Tu ne comprendras sans doutes pas ce que je vais te dire, parce que tu es trop petit pour le moment. Néanmoins, tu as le droit de savoir et je suis convaincue que tu me remercieras plus tard de t’avoir avoué si tôt la vérité. De plus, la voix d’Augusta tremblait, elle réprima un frisson, je ne pense pas pouvoir porter un tel poids sur ma conscience. Pardonne-moi de t’infliger ça mon chéri… Papa et maman ne pourront plus s’occuper de toi. Ils…ils ne sont plus capables de raisonner normalement » , « Au nez, au nez ! » gazouilla le garçonnet, pinçant le nez bossu d’Augusta, mouillé de larmes. « ‘Quoi eau mie ? »questionna-t-il.