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NOM : Mon nom de famille est anglais. Un nom normal avec une petite partie de noblesse. Après tout "Throne" veut bien dire "Trône". Je suis un Hawthrone. PRÉNOM(S) : Je n'ai jamais réellement compris pourquoi mes parents m'avaient donné ces prénoms-là. Etait-ce par amour pour les prénoms originaux ou bien tout simplement parce qu'ils n'avaient pas d'autres idées que ces derniers ? En tout cas, je ne me plains pas, je les trouve très beau personnellement. Mon premier prénom est  Gaheris. Le second est Alastar, un prénom irlandais dérivés du prénom Alexandre d'après ce que j'en sais. ÂGE : Certains me disent que je fais plus vieux, d'autres plus jeune. J'ai 30 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Je suis né un 18 décembre 1968, à Londres, en Angleterre, of course. STATUT DU SANG : Je suis un sang-mêlé. Et c'est un crime pour un tel gouvernement. Mon père venait d'une famille de sorcier de sang-pur qui s'est mêlé au fil des années. Ma mère était une née-moldue. J'aime mes origines et je ne vois pas pourquoi je devrai les cacher ! Je suis également un Loup-Garou, un Lycanthrope, une sale bête pour beaucoup. Un animal à abattre MAISON : J'ai été à Poudlard, un Serdaigle plutôt sérieux je dirais NIVEAU D’ÉTUDES : Je ne suis pas bardé de diplôme comme certains d'entre vous mais j'en ai assez pour être entré au ministère de la magie avant que tout parte en cacahuète. J'ai eu mes BUSES et mes ASPICS avec des O, des E ou des A de partout. Je n'ai jamais dû repasser une seule épreuve. Quand je suis entrée en troisième année, j'ai prit en option : Soin aux créatures magiques ; Etudes des Runes. Pas mal, n'est-ce pas ?EMPLOI : Avant que je ne sois obligé de quitter mon poste, j'étais au Ministère de la Magie Britannique, j'étais au sein du  département de contrôle et de régulation des créatures magiques. Ironique quand on connait ma situation de Lycanthrope n'est-ce pas ? Oui, sauf que c'est moi qui suis allé de mon plein-gré ! LIEU DE VIE : Pour le moment, je suis bien loin de mon Angleterre natal. J'ai été capturé et enfermé dans une prison russe d'où je me suis échappé. Depuis, je suis en  Russie mais plus pour longtemps, croyez-moi. BAGUETTE :  Je possédais une baguette faite de bois de tremble, d'une longueur de 25 centimètres et qui avait une plume de phoénix. Avait car elle est restée dans la prison, aujourd'hui, je possède une baguette qui ne me conviens pas vraiment, on ne s'apprécie pas tellement elle et moi mais il va falloir qu'elle s'y fasse, le temps que je trouve une autre baguette aussi bien que ma première GROUPE : The Wanted CÉLÉBRITÉ : Hugh Dancy. CRÉDITS : Avatar : Sterling. Header : http://fuckyeahdancy.tumblr.com/

A savoir sur ton personnage

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J'étais un homme gentil, sociable, sympathique -d'après ce qu'on me disais-. Aujourd'hui, on me décrirait comme fou, froid, animal, un loup solitaire. ◊ Je mange deux fois plus qu'avant ma morsure & bien sûr, je mange pas mal de viande ◊ Je fais de nombreux cauchemars relatant ma vie. Si nombreux qu'ils m'empêchent de dormir. Je dors très peu mais cela ne me dérange pas. Lorsqu'Ariane était à mes côtés, je n'en faisais plus, elle m'apaisait, posait un baume sur mon coeur, aujourd'hui ... je suis seul loin, très loin ◊ Quand j'étais gosse, je rêvais d'être un Auror ou d'être Professeur ou bien encore Avocat. Rien de tout ça ne s'est réalisé ◊ J'ai peur d'avoir des enfants ... si jamais je leur transmettais mon gène lycanthrope ... ◊ J'adore lire ... Enfin, adorait, je n'en ai plus vraiment l'occasion ◊ Mes transformations sont si douloureuses que je ne peux pas m'empêcher de hurler jusqu'à ce que le loup pousse son premier hurlement pour saluer la nuit ... ou effrayer les gens. ◊ Je suis fou des Chocogrenouilles et des Draguées surprises de Bertie Crochu ◊ J'ai réussi à cacher dans un sac à dos des affaires précieuses, très précieuses avant de me faire arrêter. Dans ce sac, il y a un album photo de ma famille, un cadre avec Ariane et moi à l'intérieur, une peluche qu'une de mes cousines m'avait offert lorsqu'on était plus jeune, un pendentif appartenant à ma mère, les lettres qu'Ariane m'envoyait, quelques affaires et d'autres petites bricoles ◊ Lorsque je suis en colère, on dit que les veines de mon cou palpite. ◊ Contrairement à d'autres j'appréciais le Baron Sanglant bien qu'il soit le fantôme des Serpentard, c'est un fantôme sage et intelligent quand on lui parle et quand il veut bien nous parler. J'appréciais aussi Peeves, tout en me méfiant de lui ◊ Lorsque je suis concentré sur quelque chose, il n'est pas rare de me voir sursauter si on s'approche discrètement de moi ◊ Je fais toujours très attention où je marche et je ne regarde pas le ciel en marchant. ◊ Lorsque je suis stressé ou sous pression, il faut que je marche, que je m'éclaircisse la tête ... enfin, ça c'était avant. ◊ Et il y a encore beaucoup trop de choses à savoir sur moi. Je m'arrête donc là, pour le moment.


TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ?

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Le nouveau régime n'est que mascarade. Pur invention. Pur folie. Le nouveau régime suit la cause de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Ils suivent tels des moutons de Panurges près à tuer tous ceux qui n'ont pas la même idéologie. La vérité c'est que c'est une véritable dictature protégeant les véritables monstres, cachant leurs crimes derrière des raisons qui ne devraient pas exister. A la place, ils condamnent des personnes dont le seul crime est d'être né de Sang-Mêlé ou Né-Moldu ou, comme moi, d'avoir été mordu par un Loup-Garou. Qui peu resté insensible ? Qui peu regardé un homme se faire tuer, se faire torturer, sans rien dire, sans rien faire, en restant tout simplement de marbre ? Qui peu resté indifférent ? Qui ne peut pas entrer en rébellion ? Pour certains, cette situation leur convient très bien ... Moi, je ne suis pas d'accord. Moi, je veux me battre. Je veux que mon pays et le monde des sorciers retrouvent sa liberté, sa paix et sa tolérance. Je veux me battre pour les idéaux et les valeurs que mes parents m'ont donné. Je veux me battre parce que mon loup ce fait de plus en plus fort chaque jour. Je veux me battre aussi pour Ariane qui reste toujours dans mon coeur.
Je veux me battre.
Je veux me battre.
Je veux me battre.
Je suis coincé loin de l'Angleterre et ça me rend fou. Fou de rage. Mon loup bouge. Mon loup s'éveille. Mon loup hurle. Il veut prendre ma part d'humanité ... Qu'il la prenne si je peux me battre. Si je peux faire bouger les choses. Si je peux retourner en Angleterre. Partout dans le monde, y compris ici, en Russie, la rébellion, le sentiment de ne pas appartenir à ce régime ce fait sentir. Partout dans le monde on trouve des résistances. Des résistances actives ou des résistances qui attendent le bon moment pour se jeter dans la bataille. Dans cette guerre. Je ferai partie de cette première résistance même si je dois former un groupe à moi seul. Même si je dois laisser mon loup sortir et s'exprimer librement.
Je veux me battre.
Je veux me battre.
Je veux me battre.

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TON PETIT PSEUDO+PRÉNOM : Je n'ai pas de pseudo. Mon prénom c'est Cindy. TON ÂGE : 22 étés PAYS : Je vis en France depuis toujours en fait xD. TU AS TROUVÉ PI PAR :De partenariat en partenariat. TON AVIS SUR PI : Je trouve que vous avez un très jolie forum, félicitation au(x) graphiste(s), par contre, la "petitesse" de l'écriture me fait un peu mal aux yeux si je vais un peu trop vite. C'est parce que j'ai pas une excellente vu ça xD. Sinon, tout va bien. DÉSIREZ-VOUS UN PARRAIN ? : Pourquoi pas ?. UN DERNIER MOT : Ne me guillotiner pas ! Ca doit faire mal et j'ai besoin de ma tête ♥

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Newborn. Little boy you were late to be there.
« Chéri ! Chéri ! » « Oui Edwige ? » « Je suis enceinte ! ». L’homme, assit dans son fauteuil ouvre et ferme la bouche tel un poisson rouge. Il n’en croyait pas ses oreilles. Son journal tombe lentement sur le sol. Il se lève et entoure la taille de sa femme de ses bras, les yeux brillants de joie et un immense sourire aux lèvres. Lèvres qui rencontrèrent celles de sa femme. Ils avaient perdu l’espoir d’avoir un enfant naturel. Ils envisageaient même d’adopter mais maintenant … maintenant ils allaient pouvoir pouponner. Que le futur soit un garçon ou une fille les importait peut, ils l’aimeraient avec toute la tendresse qu’ils ont en eux. Enfin, ils allaient être parent, le plus beau des cadeaux selon eux. Ils avaient perdu l’espoir car à trente-six ans, une femme perd près de la moitié de sa fécondité, de sa fertilité. Apparemment, le destin avait bien voulu qu’ils aient un enfant ensemble, récompensant ainsi leur amour l’un envers l’autre.

Neuf mois plus tard, un petit garçon naquit. Un beau bébé de cinquante-deux centimètres pour un poids de trois kilos et des brouettes. Un bébé qui poussa ses premiers cris, ses premiers pleurs avec force. Il avait l’air d’être en plein forme le petit poussin. Petit poussin qu’ils avaient décidés de prénommés Gaheris Alastar. Deux prénoms assez originaux sans entrer dans le cliché ou dans le ridicule. Deux prénoms doux et fort à la fois. Deux prénoms qui lui sied à merveille. Les deux parents étaient au comble du bonheur et la famille admira enfin le petit garçon tout juste né qui dormait à poing fermé. « J’étais comme ça moi aussi ? » demanda une cousine de quatre ans. Edwige et son mari Samaël ont souri tandis que les parents de la jeune fille ont répondu : « Tu étais un peu plus petite mais tu dormais aussi profondément que lui. » « Je pourrais jouer avec lui ? » « Bien sûr Iris, quand il sera plus grand, tu pourras. » « Merci Tata ! ».

Le petit garçon était entouré d’amour. Il grandit au milieu d’une famille unit. Il était certes fils unique mais il ne se sentait pas seul pour autant. Certains cousins étaient comme des frères. Certaines de ses cousines, comme des sœurs. Mais ça, ce sera pour plus tard. Pour le moment, Gaheris apprend à marcher. Le petit garçon sur ses jambes potelé tentait tant bien que mal de garder un équilibre précaire avant de retomber sur sa couche. Il tentait plusieurs fois par jour avant de ramper de nouveau … ou alors de « marcher » assit, traînant ainsi sa couche sur le sol. Ses dents se sont aussi fait connaître peu de temps après qu’il est apprit à marcher. Pour sa première dent, il fît une grosse fièvre et ne semblait jamais vouloir dormir ou s’arrêter de pleurer. Pauvre doudou. Qui a dit que grandir était un jeu d’enfant ?

Le bébé avait maintenant bien grandit et ses parents lui racontaient son histoire avant qu’il ne s’endorme. Comment il le désirait depuis longtemps. Comment ils avaient perdu l’espoir d’avoir un enfant. Comment il était arrivé, tel un miracle. Ils lui racontaient aussi des histoires sur leur temps passé à Poudlard puisque le petit garçon voyait bien qu’ils faisaient voler des choses dans toute la maison, même jeune, il comprenait que ce n’était pas quelque chose de commun. Ils lui ont apprit l’histoire de la famille Hawthrone et de la famille Capistran, la famille de sa Maman. Ils lui ont apprit à aimer la différence. Sang-pu, sang-mêlé ou né-moldu, chacun avait sa place dans le monde des sorciers pour eux. Tout comme les personnes homosexuelles, transsexuels ou handicapés -oui, c’était comme ça à la maison-. Tous avaient du sang rouge dans les veines. Tous dégageaient une chaleur corporelle. Tous avaient des sentiments. C’était ce qu’on appelait des Humains. Il apprit grâce à eux que la différence était ce qui faisait l’Humanité. L’Humanité ne pouvait exister sans différence. Il comprit aussi que certains n’étaient pas d’accord avec le monde qui les entouraient.

Poudlard. Years of laugh, study & exam.
Je disais précédemment qu’il vivait heureux, c’était le cas, effectivement bien que la terreur régnait au sein de la communauté des sorciers à cause du tristement célèbre mage noir. On ne savait jamais quand et où ses fidèles alliés, ses Mangemorts allaient frapper ni si lui-même allait frapper. Comme tous les sorciers, Gaheris reçut sa lettre d’admission à Poudlard. Comme tout sorcier, il avait manifesté quelques signes de magie au plus grand bonheur de sa famille. Ils sont allées chercher ses fournitures scolaires à Pré-au-Lard, comme toujours et ils ont acheté sa baguette magique. Cependant, cela n’a pas été facile. Ollivander était surpris de voir à quel point ses baguettes ne voulaient pas de Gaheirs puisque ce sont les baguettes qui choisissent le sorcier et non l’inverse. Son intelligence et son expérience le décida à tenter des bois plus « rare ». Au bout de quelques essaies, il lui tendis une baguette « Bois de tremble de 25 cm de long avec une plume de phoénix ». Le regard de Gaheris s’illumina en voyant la baguette d’une blancheur nacré. Il prit doucement la baguette entre ses mains et il sentit immédiatement une chaleur inondé son bras puis son corps. « Félicitation Monsieur Hawthrone. Votre baguette sera votre meilleur allié, faites en bon usage ». La famille paya la baguette et s’en alla, laissant Ollivandeur seul, rangeant le petit bordel qu’il y avait autour de lui. « Ce petit à un destin à accomplir » pensa-t-il « Espérons qu’il choisira bien son camp ».

Il reçu en cadeau un hiboux grand-duc qu’il prénomma Willem, c’était venu de lui-même avant d’enfin rentrer chez lui, à Londres. Là, il ne pouvait s’empêcher de contempler sa baguette, la comparant à ses parents qui étaient plus ou moins noirs ou marron foncé. Il se demandait bien pourquoi cette baguette l’avait choisi. Il décida de faire des recherches sur le bois ainsi que sur la plume pour savoir à quelle sorte de baguette il avait à faire. Après avoir dévoré le livre d’Ollivander sur les baguettes, il se demanda si vraiment il était le bon sorcier pour cette baguette mais, il ne pouvait pas non plus douter de ce choix. Ses doigts se sont refermés autour de cette baguette et, à chaque fois, il ressentait une grande chaleur l’envahir. Willem se posait alors sur son épaule comme pour le rappeler à l’ordre. Il ne devait pas l’utiliser. Pendant les grandes vacances, il lu tous les livres qu’il avait acheté pour ses études de première année. Il trouvait cela terriblement intéressant.

Le jour de son départ, ses parents ainsi que le reste de sa famille -puisque certains cousins et cousines étaient eux aussi à l’école de Poudlard- étaient réuni sur le quais, discutant à bâtons rompu. Edwige et Samaël lui donnaient leurs dernières recommandations. Le train siffla et ils ont du monter à l’intérieur, cherchant des places vacantes. Malheureusement, ils allaient devoir être séparé. Le train s’éloigna lentement d’abord puis de plus en plus vite. Gaheris salua ses partenaires de voyage. Ils avaient l’air plus vieux que lui. Ils ont donc discuté tous ensemble jusqu’à ce qu’ils se changent dans leur robe de sorcier. Lorsqu’il aperçut pour la première fois Poudlard, ses yeux se sont illuminés. L’endroit était magnifique, même vu de l’extérieur. On se sentait immédiatement à l’aise, comme à la maison. Un sentiment de sécurité prenait également place en lui. Il se sentait comme chez lui … sans la présence de ses parents, malheureusement. Lorsqu’il entra dans la Grande Salle pour la première fois, il avait l’estomac noué par le trac mais également les yeux pleins d’étoiles. L’endroit était splendide, magnifique et gigantesque. Les noms des premières années s’égrenaient coulant comme des grains de blé au son de la voix de Minerva McGonagall. « HAWTHRONE Gaheris ». C’était à lui. Il avait la démarche plus assurée que d’autres alors qu’il avait vraiment le trac. Il s’installa sur le tabouret et … POUF, plus de lumière. Le Choixpeau avait été posé sur sa tête et sa voix retentit dans sa tête. Il se sentait comme épié de l’intérieur et cela le mit un peu mal à l’aise. Le Choixpeau semblait s’amuser de ça. Est-ce qu’il le faisait à tous les élèves ou bien juste à ceux que ça mettait mal à l’aise ? Soudain, la voix du Choixpeau s’éleva, forte et clair « SERDAIGLE ! ». Bizarrement, Gaheris le remercia comme s’il lui avait donné quelque chose avant de descendre vers la table qui applaudissait. Il sourit doucement, son estomac reprenant une place normal lentement. Ouf, il était chez les Serdaigle. Il aimait cette maison tout comme celle des Gryffondor et des Poufsouffle, il avait bien plus de mal avec les Serpentard avec toutes les rumeurs qui couraient sur eux, c’était compréhensible. Il savait aussi qu’il ne fallait pas toujours se fier aux apparences et que certains Serpentard étaient des gens bien.

Les années ont passé, Gaheris était devenu un beau jeune homme. Sérieux en cours, souriant et rigolo avec ses amis(es). Il était apprécié et ses notes étaient excellentes. Altruistes, il donnait un coup de main à tous ceux qui le lui demandaient. Il était aussi connu pour sa tolérance et son petit côté « chevalier en armure blanche défendant les faibles et les opprimés ». La chose qui exaspérait ses amis(es) c’était quand un examen approchait … par exemple les BUSES ou les ASPICS. Là, il était plongé dans ses bouquins, il révisait, posait mille et une questions aux professeurs. Il était tout le temps dans les bouquins, oubliant un peu de vivre. Il mangeait tout en révisant et ses amis masculins devaient lui arracher ses livres et parchemins pour qu’il aille dormir ou prendre une douche sinon, il aurait bien été capable d’aller sous le jet d’eau avec eux dans les bras. Ca ferait désordre. Le pire c’est qu’aucune tâche n’était visible nulle part comme s’il ne révisait pas à table. Ils se demandaient comment il faisait. En fait, ce qui les énervait c’était qu’il pique dans leur assiette au lieu de la sienne puisqu’il ne faisait attention qu’à ses révisions. En dehors de cela, le jeune homme avait eu des petites-amies, comme toute personne à son âge. Il termina ses études avec les félicitations de ses professeurs. Evidemment. Le Choixpeau ne s’était vraiment pas trompé sur sa Maison d’adoption …

Life is a bi*** sometimes. It takes the one you love so dearly.
Il y a parfois dans la vie des Hommes des moments horribles. Des moments de tristesse et de douleur insoutenable. C’est ce qu’il s’est passé pour Gaheris. Il était rentré dans sa famille depuis près de deux semaines après ses ASPICS de septième et dernière année lorsque le drame arriva. Rien ne présageait tout cela. Rien et il se demande encore aujourd’hui pourquoi est-ce que quelque chose comme ça c’est produit. Pourquoi est-ce qu’on les avait attaqués ? Et il ne voulait pas d'explications foireuses des rumeurs. Dire que la soirée avait bien commencé … « C’est moi qui cuisine ce soir ! » « Depuis quand tu sais cuisiner ? » « Ben, je t’ai vu cuisiner depuis que je suis tout petit Maman, je devrais pouvoir y arriver, non ? » « Oulà, c’est pas une bonne idée ! Assied-toi et ne bouge pas. » « Mais … » « Gaheris, je n’ai pas envie de mourir d’une intoxication alimentaire ! » « … » « Fais pas cette bouille, va voir ton père ! » « OK, OK ». Il fila près de son père qui éclata de rire : « Ecoute ta mère mon fils, les femmes détestent qu’on mette le désordre dans leur cuisine ! » « C’est pas comme si j’allais l’exploser ! ». Et le père éclata de rire, suivit de près par Gaheris. Finalement, c’était peut-être pas une si mauvaise idée qu’il ne cuisine pas … Il avait fait la vaisselle pendant que ses parents s’installaient confortablement dans le canapé pour regarder un film à la télé. Gaheris s’installa à côté de sa mère et le silence s’installa. Un silence attentif au film.

Soudain, le bruit d’une vitre brisée les fait sursauter. Gaheris, plus jeune est prompt à se lever d’un coup. En se retournant, il découvre un loup. Que faisait un loup au milieu de leur salon alors qu’ils étaient à Londres ? Et puis, une idée le frappa comme un coup de canon. Ce n’était pas un loup ordinaire … c’était un loup-garou ! Le loup écarta ses babines laissant entrevoir des crocs aiguisés comme des lames de rasoir. Gaheris avait sorti sa baguette magique mais le loup était plus rapide. Il venait de sauter. Un saut d’une longueur impressionnante. Sa gueule ouverte se dirigeant droit sur la gorge de Gaheris. Cependant, il se senti poussé sur le côté et la gueule du loup se referma … sur la gorge de sa mère. Il entendit un bruit effroyable, dégoûtant avant que sa mère ne s’écroule sur le sol. Un trou béant dans la gorge, le sang se répandant partout autour d’elle. Elle venait de donner sa vie pour sauver celle de son fils. Le pauvre Serdaigle ne pouvait détacher son regard terrifié du corps de sa mère, tout comme le père … Le loup n’attendit pas une seule seconde, il attaqua Gaheris. L’avant-bras du jeune homme fût prit dans un étau et il hurla de douleur. Hurlement reprit par le loup lorsque le sortilège de Samaël l’atteignit. Le loup s’écroula, saucissonner. Le sang de l’adolescent coulait le long de son bras et il ne pouvait plus bouger. Il sentait une souffrance bien trop importante dans tout son corps. Il savait que les loup-garou avait du poison dans leurs crocs. Poison qui rendaient ceux qu’ils mordaient loup-garou à leur tour. Le jeune homme s’écroula sous l’effet du poison atteignant son sang, ses veines. Rapidement, la douleur devient insoutenable, une fièvre malsaine, trop importante emplit son corps et l’obscurité l’emporta.

Le lendemain matin, il ouvrit les yeux à Saint-Mangouste où une jeune infirmière changeait son bandage. Son père était à ses côtés. Le visage grave. Les yeux gonflés, rougis et cerner. Il comprit alors que rien n’avait été un cauchemar. Que tout ce qu’il avait rêvé était en fait la réalité. Il attrapa rapidement une petite bassine et vomit ses tripes à l’intérieur. Il venait de perdre sa mère. Il venait d’être transformé en loup-garou. Pourquoi ? Comment ? Des questions tournaient et retournaient dans sa tête. Il ne comprenait pas. Pourquoi est-ce que cela avait été eux ? Il s’en voulait aussi parce que sa mère avait donné sa vie et que lui, tétaniser n’avait rien pu faire pour empêcher ça. Rien faire pour l’aider. Rien faire pour arrêter le loup. Pendant les autres jours de pleines lunes, ils se transformaient. Il avait tellement mal. Ses cris déchiraient la nuit. Déchiraient le cœur de ceux qui l’entendaient. Il avait peur à chaque fois qu’il se transformait. Il apprit que le loup-garou qui avait tué Edwige était un collègue de son père et, durant l’enterrement, il entendit des rumeurs. Des rumeurs que les collègues féminines de sa mère répandaient. « Tu as entendu ? » « Oui, on dit que Joel Duggan à attaquer les Hawthrone pour se venger. On dit qu’Edwige et lui étaient amants, qu’elle ne voulait pas quitter Samaël et que, fou de douleur et de jalousie, Joel à décider de ce vengé. » Gaheris vit rouge. Il se retourna vers elle, s’approcha doucement, presque de manière féline et parla. Sa voix grave, profonde contenait une froideur qui ne lui ressemblait pas. Ses yeux lançaient des éclairs. Il dit alors : « Je vous prierais de vous en aller Mesdames. Si vous êtes là pour cracher sur ma mère, il était inutile de venir. Votre présence n’est pas indispensable. Autre chose, mes parents s’aimaient et je ne croirais jamais, vous m’entendez, JAMAIS qu’elle est pu tromper mon père. Dégagez maintenant ! ». Effrayer par cet homme dont le regard traduisait tout le dégoût, la colère, la tristesse et la douleur du monde, elles se sont enfuit à toutes jambes et l’enterrement s’est terminé sans autre incident. Son père n’avait pas réagi. Il n’avait même pas semblé entendre ce qu’il se disait … Gaheris avait peur pour lui …

Et Gaheris avait raison de s’inquiéter. L’état mental de son père se dégradait rapidement. Il l’entendait hurler la nuit. Il l’entendait pleurer. Il le voyait parler au vide comme s’il s’adressait à sa femme. Il n’avait pas voulu le faire interner immédiatement. Il avait voulu le faire suivre mais un jour, Samaël tenta de se tuer devant les yeux de son fils et, cette fois-ci, il décida avec l’avis favorable de la famille et des médecins, de l’interner à Saint-Mangouste. Son cœur déjà déchiré par la mort de sa mère se brisait de voir son père dans un tel état. Il se disait que c’était probablement de sa faute, encore une fois. Il allait tous les jours voir son père qui le reconnaissait de temps en temps. Parfois, il restait silencieux, les yeux dans le vague, semblant ignorer tout de la présence de son fils unique. Parfois, ils parlaient tranquillement de tout et de rien, y compris d’Edwige. Et parfois, dès qu’il prononçait le son « Maman », son père partait dans une crise. Une crise de pleurs, de violence qui surprenait à chaque fois Gaheris car son père n’avait jamais été violent.

Il intégra le Ministère de la Magie au Département de Contrôle et de Régulation des Créatures Magiques. Il ne voulait pas qu’un tel drame se reproduise. Il voulait aussi prouver que tous les loups-garous n’étaient pas des monstres assoiffés de sang et des assassins. Il savait mieux que quiconque que lorsque la pleine lune montait dans le ciel, le loup en eux était bien plus fort que la part d’humanité qu’ils avaient. Que leur instinct leurs dictaient de chasser, de tuer. Quand il était sous sa forme de loup-garou, il s’enfermait à double-tour  afin de ne pas pouvoir sortir durant la nuit pour faire des dégâts.

Hello my love. Hello my eternity.
Gaheris rencontra une jeune femme. Ariane Arenberg. Un joli brin de femme. Ils avaient fait causette et il s’était rendu compte qu’elle était très intelligente. A partir de là, ils sont devenus amis. Cela durant un bon moment avant que quelque chose ne change en lui dans un premier temps. Depuis la mort de sa mère et l’internement de son père, il ne s’était autorisé à ressentir le moindre sentiment amoureux pour quiconque. Une punition ? Peut-être quelque part. Dans tous les cas, il comprit assez rapidement que les sentiments d’amitiés qu’il avait pour la jeune femme s’était mué en quelque chose de plus fort. De l’amour. Il ne lui avait rien dit. Il ne voulait pas briser cette amitié qu’il appréciait grandement mais ne pouvait pas s’empêcher d’être jaloux et possessif s’il voyait quelqu’un s’approcher un peu trop d’elle. Comme un loup. Ariane s’en était-elle aperçu ? Si c’était le cas, elle ne lui avait jamais rien dit et il espérait que non. Il se faisait le plus discret possible dans des cas comme ça, pour ne pas l’effrayer peut-être ? Qui sait ?

Et pourtant, un jour de Juin 1995, tout bascula entre eux. Comment et pourquoi elle s’était soudain jeter sur lui et avait flirter avec lui, cela restait un mystère pour lui. Il savait simplement qu’elle était sobre et donc cela devait signifier qu’elle savait ce qu’elle faisait. Non ? Il n’a pas pu résister. Il s’éveilla le lendemain alors qu’elle essayait de fuir. Il se retient de rire et de sourire face à sa réaction quand elle s’aperçut qu’il était réveillé. Elle était vraiment trop belle et son regard se posait sur elle, l’enveloppant de tendresse et d’amour. Il la laissa enfiler sa chemise et tenter de boutonner cette dernière. Apparemment, elle ne s’était pas aperçue que c’était la sienne et elle avait l’intention de l’ignorer. Ca par contre, ça faisait mal. Est-ce qu’elle regrettait ce qu’ils avaient fait la nuit passée ? Lui, non. Il se décida donc à parler « C’est la mienne. ». Une réaction, tant mieux. « Je te demande pardon ? » « C'est la mienne. C'est ma chemise que tu portes. ». Il avait terriblement envie de sourire mais il se retient, mu par un instinct. Finalement, elle resta à ses côtés et ça, c’était ce qui pouvait rendre Gaheris heureux. Vraiment heureux.

Lorsqu’elle l’embrassa au Ministère, il en fût agréablement surpris. Cela signifiait-il qu’ils étaient ensemble ? Si c’était le cas alors il ne pouvait qu’être comblé. Toute la journée durant, il avait un sourire niais étaler sur son visage  et il rêvassait. Ce qui n’était pas dans son habitude. Ses collègues se regardaient, surpris de son comportement mais après tout, c’était sa vie et cela ne les regardait pas, n’est-ce pas ? L’amour que portait le loup-garou à la jeune française était sincère, puissant et il était près à tout pour elle. Pour la protéger. Les parents de la jeune femme avait fini par l’accepter. Son père l’avait vu une fois avant qu’il ne meurt, comme s’il attendait que son fils soit de nouveau heureux. Samaël est mort en 1996. Bien entendu, Gaheris était triste mais il se disait aussi que son père avait enfin rejoint sa mère et qu’ils pouvaient être de nouveau heureux ensemble.

Goodbye my love. Hello Hell.
La guerre avait recommencé et il était bien assez vieux pour comprendre tout ce qu’il se passait. Il savait que si les forces du mal gagnaient, il allait être recherché et peut-être tué. Il entra cependant à l’Ordre du Phoénix, cachant son appartenance à cette alliance à Ariane. Il ne voulait pas qu’elle se mette en danger. Il ne voulait pas qu’elle s’inquiète pour lui. En 1998, les parents d’Ariane l’ont fait repartir en France. Gaheris était soulagé de la savoir loin du danger mais en même temps, elle lui manquait terriblement malgré leur correspondance épistolaire quotidienne.

Et puis, tout bascula. Harry Potter est mort. Gaheris disparut complètement, arrêtant ses lettres subitement. Dans sa dernière, il l’avait prévenue, il avait dit à la fin de cette dernière : « Ma chère Ariane, cette lettre signe l’arrêt momentané de notre correspondance. Je vais devoir quitter mon appartement londonien et je ne sais pas quand je pourrais y retourner. Ni si je pourrais y retourner un jour. Je te promets de tout faire pour te contacter le plus rapidement possible. Ne t’inquiète pas pour moi, tout ira bien. Je ne souhaite que ton bonheur et ta sécurité. Je t’en prie, reste en France, tu y seras en sécurité. Sache que tu restes dans mon cœur et dans chacune de mes pensées. Je t’aime. Gaheris. ». Il avait réussi à s’enfuir et à rester cacher mais les troupes du mage noir étaient beaucoup trop nombreuses. Il fût capturé et condamné à la prison. Pas à Azkaban non, c’était beaucoup trop près de chez eux. Non, ils l’enfermèrent en Russie. A Nurmengard. C’était en mai 1998.

Il resta près de trois mois enfermé tel une bête sauvage. C’était d’ailleurs comment lui et les autres prisonniers ayant la malchance d’être loup-garou était traité. Pendant trois mois ils ont cherché le moyen de sortir de là. Ils ne savaient pas vraiment ce qui se passait dehors. Ils savaient les jours grâce à la lune et à leur lycanthropie. C’était tout. Les prisonniers n’avaient nullement besoin de connaître les choses n’est-ce pas ? Et puis, le 28 Août 1998 arriva. Ce soir-là, la lune était pleine, ronde. Elle brillait de mille feux et les loups-garous ainsi que toutes les autres créatures enfermés là-bas sont passés à l’attaque. Une attaque surprise. Une attaque éclair. Les gardiens ont reçu de nombreux dommages. Les loups-garous brisait les nuques comme si les os à l’intérieur n’était que brindille desséché. Les vélanes et autres créatures séductrices faisaient ce qu’ils avaient à faire. Les géants piétinaient les petits humains. Les baguettes étaient de bien piètre protection. D’ailleurs, aucune créature avec des pouvoirs magiques ne pu récupérer sa propre baguette. Ils n’avaient pas le temps, il fallait fuir. Ils ont réussi. Toute la nuit durant ils ont couru dans la forêt, hurlant leur joie d’être de nouveau libre. Lorsque la lune déclina et que le soleil a reprit son poste, le groupe de loup-garou redevenu humain se sont écroulés sur le sol, épuisé. Ils se sont endormis. C’est Gaheris qui s’éveilla parmi les premiers. Il trouva une rivière où il s’observa. Ses traits étaient creusés, fatigués. Une barbe mordait son visage. Ses cheveux étaient plus longs et hirsute que dans ses souvenirs. Il but une longue gorgée et disparut du groupe. Il ne voulait pas rester avec eux. Ils seraient plus repérables tous ensemble.

Depuis ce temps, il erre tel une âme en peine dans la Russie, se faisant quelques connaissance peu recommandables. Son regard s’était assombri. Son cœur aussi. Il n’était plus que l’ombre du Gaheris qu’Ariane, sa famille et ses amis(es) ont connu. Parfois, il semblait plus être loup qu’homme. Parfois son regard étincelait d’une manière inquiétante. Parfois, il faisait des choses pas très net pour passer le temps. Cherchant par tous les moyens à rentrer en Angleterre sans être repéré par qui que ce soit. Il savait qu’il était rechercher mais avec la barbe et les cheveux hirsutes qu’il avait, il ne ressemblait plus à celui de la photo. Qui plus ai, il avait prit du muscle et sa carrure avait un peu changé, comme s’il faisait de l’haltérophilie. En fait, il tentait simplement de changer son physique de façon naturelle afin d’être le moins repérable possible, afin que les gens autour de lui ne sache pas qu’il est Gaheris.

Bientôt. Bientôt il rentrera. Bientôt il combattra mais son inactivité a-t-elle finit par le rendre complètement fou ? Peut-il redevenir le Gaheris qu’on aimait tant ? Quand il reviendra en Angleterre, comment va-t-il faire pour survivre ? Que va-t-il faire ? Tout cela ce sont des questions dont nous connaîtrons les réponses au fur et à mesure de sa vie. Prenez garde au loup qui dort …

Information de dernière minute ... Gaheris a trouver le moyen de retourner sur Angleterre natal. Trembler, dictateur. Trembler meurtrier car un "Big mad man-wolf" va bientôt être à vos trousses ....

Spoiler:

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Tu as la classe, te voilà validé et même Voldemort il te fais une petite danse sexy, roh lala, trop de bonheur mon enfant. Comme tu es validé tu peux mater ce truc débile ou encore te préparer à envoyer des fringues à Harry parce que le pauvre quand même

Cependant, tu peux aussi faire un scénario si jamais tu en as l'envie, en faisant bien attention à respecter les quelques règles. Tu dois recenser ta famille, afin que toutes les familles soient bien répertoriée et si tu en as envie, comme ça, d'autres membres pourront rejoindre ta famille et vous pourrez passer des supers noëls tous ensemble. Pense également à remplir ton profil, ça parait peut-être secondaire, mais ça permet d'en savoir plus sur ton personnage, en un seul coup d’œil, alors c'est plus utile que ça en à l'air.

Ton personnage, s'il est à l'école, il pourra être préfet ou même rejoindre un club. S'il est adulte, il aura besoin d'un travail pour payer ses factures. Dur dur d'être un adulte. Tu pourras aussi bénéficier d'une capacité spéciale et d'un patronus si jamais du en à l'envie. Il est également temps pour toi de te trouver des liens parce que c'est mieux d'avoir des liens sur un forum rpg quand même. N'hésite donc pas à en demander. Bien sûr tu pourra aussi gérer tes rps parce que le rp c'est important sur un forum rp, sinon, on appellerait pas ça un forum rp, CQFD. En plus de tout ça, tu pourra faire gagner des points à ta maison, que tu sois encore étudiant ou non et, que la meilleure maison gagne les petits.

Voilà, donc, maintenant que tout ça c'est fait, il ne faut pas hésiter à rejoindre le flood, c'est très bien pour l'intégration, ça permet d'apprendre à connaitre les gens et finalement de s'intégrer dans la communauté, ne soit pas timide, on n'a jamais mangé personne. Mais si tu as trop peur, nous comprenons, et des parrains et marraines tout gentils sont mis à disposition pour t'aider, il suffit de demander

Enfin, je crois Pour aider prior incantato, mais aussi parce que ça t'aidera à remporter des points, tu peux voter sur les tops sites, mais aussi nous laisser un mot doux sur bazzart.

Nous te souhaitons encore la bienvenue sur PRIOR INCANTATO, en espérant que tu te plaises parmi nous. Si tu as le moindre soucis, n'hésite surtout pas à contacter le staff du forum qui est bien entendu à la disposition de ses membres