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NOM : Rookwood PRÉNOM(S) : Raziel Layton Angus ÂGE : 26 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 15 novembre 1973, Godric's Hollow STATUT DU SANG : mêlé (arrière grand-mère moldue) MAISON : Ancien Gryffondor NIVEAU D’ÉTUDES : Diplôme universitaire en science politique magique et un diplôme de langues étrangères (français, Russe et allemand) EMPLOI : Employé au Département de la coopération magique internationale LIEU DE VIE : Angleterre, côté sorciers BAGUETTE : Bois de sycomore, 25cm, plutôt souple, un crin de licorne. L'a depuis ses 11 ans. GROUPE : The God Complex CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston CRÉDITS : @me

   A savoir sur ton personnage

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Est une bête de travail, il s'y donne à 200% et ne craint pas les heures supplémentaires. ◊ Quand il est nerveux ou mal à l'aise, il se met aussitôt à faire les cents pas ◊ Est un excellent menteur ◊ Bien que généralement franc avec ses proches, il peut se montrer très manipulateur et sournois pour arriver à ses fins ◊ Est toujours très soigneux de son apparence ◊ N'est pas un grand sportif mais apprécie tout de même de faire un peu de sport pour se défouler ◊ Aime le whisky ◊ Étrangement, il s'y connait beaucoup en culture moldue ◊ Est généralement calme mais poussé à bout, peut se montrer très violent ◊ Est extrêmement rancunier


   TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ?

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Contrairement à ce que l’on pourrait penser et, surtout, à ce qu’il veut bien laisser croire, la situation actuelle n’enchante pas Raziel mais bien sûr, vu son entourage, il ne peut pas se permettre de le dire trop fort. Anciennement Mangemort plus par obligation que par choix, il regrette les évènements sanglants qui se sont produit mais, en même temps, pense qu’effectivement les moldus auraient besoin d’être plus dirigé par les sorciers pour éviter qu’ils ne finissent par foncer droit la tête dans le mur. Autrement dit, Raziel est très tiraillé par la situation actuelle qui le met un peu mal à l’aise et il espère juste que maintenant, les bains de sang vont cesser et que sera vite trouvé un compromis permettant à tous les partis de ne pas trop souffrir de la nouvelle politique. Toutefois, bien obligé de choisir un camp, Raziel a préféré rester près des siens.
   

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TON PETIT PSEUDO+PRÉNOM : Juste Civ ça iraTON ÂGE : majeur PAYS : Suisse (bah ouais^^) TU AS TROUVÉ PI PAR : C'est Slevin qui m'a tiré ici ! (vous savez qui taper mtnt) TON AVIS SUR PI : Le contexte est cool mais j'avoue que je suis pas hyper fan du design rose et pastel DÉSIREZ-VOUS UN PARRAIN ? : pour avoir plus d'infos c'est par là. UN DERNIER MOT :    (tout est dit !)

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   Il y a plusieurs héritages familiaux qui se perpétuent de générations en générations. La fortune, bien sûr, le nom, les titres de noblesses, la réputation et également, dans mon cas, l’appartenance aux Mangemorts. Mon grand-père fut le premier à les rejoindre, suivit par ses enfants, dont le plus célèbre d’entre eux est bien entendu mon oncle, Augustus Rookwood, l’espion de Voldemort, puis par les enfants de ses enfants. Seulement 3 générations, ce n’est rien me direz-vous, mais pour ce genre de chose, c’est déjà tout. Quand j’écoute les miens en parler, on pourrait croire que nous le sommes de parents à enfants depuis bien plus de temps que cela. C’est une fierté familiale, une tradition à laquelle tout le monde se plie volontiers.

Tout le monde sauf moi.

Personne ne m’a forcé certes, pas dans le sens menaçant du terme du moins, mais quand on vient d’une riche famille bourgeoise et Mangemort, c’est un accord tacite qui s’installe dès le jour de notre naissance. Mage noir tu né, Mage noir tu es, Mage noir tu meurs.

Je suis le petit dernier d’une famille de 2 fils, né dans l’illustre clan Rookwood et élevé dès mon premier cri dans les préceptes des sangs-pur bien que, selon notre arbre généalogique notre sang ne le soit pas totalement à cause de la présence d'une arrière grand-mère moldue, afin de faire de moi un parfait Mangemort, comme pour mon frère. J’ai eu une enfance dorée. J’ai été élevé par une nurse aussi chaleureuse que l’iceberg ayant coulé le Titanic entouré de parents sans cesse aux abonnés absents et donc d’un fantastique grand frère, Loriel, entraînant sa magie sur moi le tout dans l’immense manoir familial.

A 11 ans, comme tout enfant sorcier, je parti rejoindre mon aîné à Poudlard.

Là-bas, ce fut à la surprise générale, et principalement la mienne, que je fus envoyé chez les Gryffondor. Un Rookwood chez les rouge et or. D'autant plus qu'à cette époque, je ne connaissais du monde magique que ce qu’on avait bien voulu m’en dire et comme la plus grande partie de mes amis de l’époque, je prônais la suprématie des sorciers. Le choc passé chez mon père, mon affiliation à la maison des lions devint un sujet de plaisanterie dans la famille, tout le monde voyant là un superbe pied de nez aux idées reçues sur les mages noir et je fus surnommé le futur mangemort infiltré durant des années par mon frère.

Mais 7 ans dans une école avec des élèves issus de tous les milieux, cela peut vous ouvrir les yeux. En partie du moins.  Je découvris que les sorciers même de sang plus mêlé que le mien ou sang-de-bourbe pouvaient être de puissants sorciers, qu’ils n’étaient pas forcément tous dégénéré au point de mettre en péril le monde magique et, peu à peu, même si je les fréquentait le moins possible, ma haine envers eux se changea en simple désintérêt.

La vie était belle et simple, j’étais bon élève, m’illustrant particulièrement en Histoire de la Magie, j’avais des amis, des petites-amies et, durant 7 ans, j’oubliais que le futur me destinait à devenir un Mage noir.

Mais la réalité me rattrapa dès que j’eu terminé mes études. Mon frère avait déjà rejoint les rangs de Voldemort et, évidemment, tout le monde attendait de moi que je le fasse également. Mais l’idée m’enthousiasmait moins que mes aînés. Je n’avais rien contre les sorciers qui n’étaient pas de sang-pur, pour moi ils pouvaient continuer de vivre parmi nous l’idée ne me dérangeais pas. Quant aux moldus, je reconnaissais qu’effectivement, le monde se porterait certainement mieux s’il était dirigé au moins en grande partie par les sorciers, les moldus semblant décidé à foncer la tête droit dans le mur, s’évertuant à détruire cette planète… et nous avec ! Mais refuser de suivre les hommes de ma famille équivalait à me faire rejeté par les miens et j’aimais ma famille, sincèrement. C’est pourquoi je pris sur moi et serrais les dents le jour où l’on me tatoua le bras.

Par chance, désireux de continuer mes études, je n’eu pas besoin d’être le plus actifs des Mangemorts, tout le monde comprenant que je privilégie mes études universitaires destinées à m’emmener travailler au Ministère et mon père se gorgeait déjà à l’idée d’avoir un fils intégrant cette grande institution.

Je fus rattrapé par mon devoir lors de la tristement célèbre attaque de Poudlard. J’avais essayé de trouver une excuse pour ne pas participer à l’attaque mais en vain. Ce fut mon premier vrai combat et encore maintenant, il m’arrive de me réveiller au milieu de la nuit en ayant l’impression d’entre le bruit des explosions et des hurlements. De certains hurlements en particulier, ceux de mes  deux victimes. Je n’avais jamais voulu devenir un meurtrier et pourtant, j’en suis devenu un et la culpabilité ne cesse de grandir un moi depuis.

Après cela, profitant de ma place au sein du Département de la coopération magique internationale, je saisis l’opportunité de partir travailler quelques mois avec mes homologues en France, désireux de quitter un temps l’Angleterre. Dès le soir de mon arrivée, j’ai rencontré Gabrielle, une magnifique jeune femme travaillant dans un pub que, dès ce jour-là, je mis un point d’honneur à fréquenter presque tout les jours uniquement pour la voir, totalement tombé sous son charme. Très vite, je fus certain qu’elle était celle avec qui je devais absolument faire ma vie malgré nos grandes différences. Elle était le jour et j’étais la nuit, un ange et un démon. Et pourtant… Même si la révélation de ma véritable nature fut très difficile, Gabrielle fini par l’accepter et quand je suis revenu en Angleterre peu avant les fêtes de Noël, ce fut accompagné de ma fiancée.

Déchiré entre les liens, ma famille, et ma culpabilité dont je ne peux parler à personne hormis à Gabrielle, j’essaie de donner le change. Employé assidue et sympathique le jour, Mange noir et assassin la nuit, j’ai la boule au ventre à l’idée de trahir les miens tout en craignant les événements à venir et auxquels je devrais certainement prendre part.

Je ne veux pas être un monstre…

Je ne veux pas être un traire…