001. NOM DE FAMILLE Ҩ	ALEJO DE NAISSANCE MAIS IL A PRIT LE NOM DE SA DÉFUNTE MÈRE MÉPRISANT SON GÉNITEUR QUAND BIEN MÊME CE DERNIER A TOUT POUVOIR SUR LUI.
002. PRÉNOM(S) Ҩ	JUAN DIEGO
003. ÂGE Ҩ	DIX-HUIT ANS
004. STATUT DU SANG Ҩ	SANG MÊLÉ
005. MAISON Ҩ	POUFSOUFFLE
006. ANNÉE D'ÉTUDES Ҩ	7E ANNÉE
007. BAGUETTE Ҩ	31,8 CM, PEU FLEXIBLE, CRIN DE LICORNE, BOIS DE CÈDRE.
008. ÉPOUVANTARD Ҩ	LE CORPS SANS VIE DE SON JUMEAU. QUAND BIEN MÊME LEURS CONVICTIONS SE DIFFÈRENT IL EST CE QU'IL A DE PLUS CHER SUR CETTE TERRE.
009. PATRONUS Ҩ	AIGLE IMPÉRIAL

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“hogwarts will always be there to welcome you home.”

“l'avis votre personnage sur voldemort”

En toute sincérité, il n’a jamais eu le malheur de croiser la route du plus grand mage noir de tous les temps et il s’en garderait bien, quand bien même son père se trouve être un de ses plus grands partisans sans pour autant avoir eu le bonheur de rencontrer ce dernier. Il a grandit en méprisant les moldus et surtout cette femme qui fut la génitrice de son jumeau et lui. Une sale sang de bourbe avec qui son père avait eu une histoire d’amour et qui les avaient abandonnés à leur cinq ans alors qu’il avait découvert leur existence. Un mensonge sur toute la ligne sauf sur un fait, la nature de sa mère. Il est né de l’aventure de son père avec sa victime, une victime qu’il a tué de ses propres mains sous ordre de ses supérieurs dans l’organisation des mages noirs. De ce fait, il méprise totalement les mangemorts, son frère également quand bien même l’amour fraternel qu’il lui porte le déroute totalement, incapable de se dire que ce dernier ne vaut pas mieux que leur géniteur. Il aimerait croire qu’un jour le mal que représente cette créature immonde disparaisse à tout jamais mais il s’agit d’une utopie à laquelle il croit de moins en moins.

“que pense-t-il de l'ordre du phénix ?”

L’ordre du Phoenix est aux yeux de tous le seul moyen que le monde magique dispose pour contrer l’avancée et la domination du camp des mages noirs. Une bande de courageux insolant qui croient à une utopie pour certains, des kamikazes pour d’autres qui considèrent qu’il est désormais impossible de contrer le mage noire sans Dumbledore, ils sont à ses yeux des êtres encore rempli d’espoir, qui refusent de baisser les bras et de s’avouer vaincu car ils croient à un monde bien différent de celui qu’on leur propose… un peu comme à l’image de révolutionnaire qui partent au combat pour défendre une cause. Il leur témoigne énormément de respect, quand bien même il ne fait résolument point parti de ses êtres qui le crie haut et fort. Discret, il est très rare qu’on puisse être en mesure de déterminer quels sont ses réelles convictions sur le sujet. Ce qu’il faut savoir, c’est que si jamais son chemin était mené à croiser celui d’un des leurs et qu’il serait en mesure de les aider, il le ferait…

“comment vit-il la situation actuelle ?”

Il a l’impression d’être un prisonnier dont on guète le moindre fait et geste de peur de le voir tenter de prendre la fuite ou de trouver une issue à la cage dorée dans laquelle on l’a enfermé. Sa famille étant réputée anti-moldu, il est de ce fait exclue du camps des gentils. Au sein de sa famille, il est l’intrus, le seul qui ne semble point être révulsé par les moldus mais qui se garde bien de l’avouer haut et fort, ayant pleinement conscience des conséquences que tout cela pourrait avoir dans sa vie. Il navigue donc entre deux rives bien dangereuses, bien incapable de savoir sur laquelle il devrait accoster définitivement. Pour l’instant il survit, suivant de loin cette guerre qui confronte le bien et le mal en s’efforçant de passer inaperçu aux yeux de tous telle une ombre dans la ville.

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“every year is the same, muggles are everywhere.”

001. TON WEB PSEUDO Ҩ	MARY.
002. TON ÂGE Ҩ	24 ANS
003. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ	Marlon Teixeira
004. PERSONNAGE Ҩ	INVENTÉ
005. TON AVIS Ҩ	DÉJA RÉPONDU SUR L'AUTRE FICHE ♥
006. TROUVÉ PAR Ҩ	UNE CERTAINE & VILE OPHÉE ♥
007. DERNIER MOT Ҩ	JE REMERCIE CEUX QUI M'ONT PERMIS DE DÉCOUVRIR CE MAGNIFIQUE HOMME *PAN*
008. CONNEXION Ҩ	7J/7 moins pour le RP

« Des jumeaux vrais ne sont qu’un seul être dont la monstruosité est d’occuper deux places différentes dans l’espace. » Cette citation de Michel Tournier tiré de « Les météores » convient parfaitement pour exprimer ce que son frère et lui sont au fond. Ils partagent le même corps, aucun trait de physique les différencient l’un de l’autre si on ne parle pas des cicatrices que l’un deux porte sur son corps depuis sa plus tendre enfance. Tout deux possèdent cette mâchoire carrée, ses sourcils touffus qui font bien ressortir ce regard qui envoute tout comme il peut effrayer parfois, cette bouche bien dessinée que bons nombres de demoiselles aimeraient violer des siennes, ses cheveux en bataille dans lesquels on y glisserait ses doigts pour jouer avec, les tenir tendrement au creux de ses doigts. Chose que leur mère aimait particulièrement faire lorsque son frère et lui-même étaient de jeunes enfants. A cette époque désormais révolue depuis tant d’années, il avait l’impression qu’ils étaient heureux, le simple fait de recevoir l’amour maternel de cette femme qu’était leur génitrice semblait être suffisant à leur bonheur. Après tout, il était fortement difficile d’en avoir la totale certitude puisqu’ils étaient si jeunes, si inconscients de la cruauté de la vie et des épreuves qu’elle pouvait leur apporter. La seule chose dont il était sur, c’est que durant cette période, jamais son père ne semblait avoir partagé leur quotidien, qu’importe les dires de ce dernier à ce sujet. S’il se concentrait vraiment, qu’il fermait doucement ses yeux, il pouvait parfois se souvenir de la texture des doigts de cette femme qu’on lui avait apprit au fil des années à détester, à mépriser pour un crime qu’elle ne semblait avoir nullement commise.

En effet, comme une bonne partie d’enfant de sa génération, il n’avait point eu le privilège d’être un enfant issue d’une union de deux sorciers au sang pur, ce quand bien même son père l’était-il. Durant de très longues années, il s’était d’ailleurs demandé comment cette relation avait pu exister tant son père n’aimait résolument pas les moldus qu’ils soient pourvus ou non de pouvoirs magique. On pouvait même dire qu’il les méprisait, haïssait tel qu’un mage noir se devait de le faire, n’hésitant pas à relier ses fils à sa cause en les bernant avec des mensonges. Des mensonges qui avaient bercés toute son enfance et qui était la réponse à ses fleurs lorsqu’en se réveillant d’un mauvais rêve, il se retrouvait en larmes en réclamant cette mère qui avait été toujours à ses côtés mais qui semblait avoir disparue à jamais, sans laisser la moindre trace. Elle les avait abandonnée, sans un mot selon les dires de son père, qui à l’époque avait enfin consenti à répondre à cette question qui ne cessait à l’époque de lui bruler constamment les lèvres. Elle les avait lâchement abandonnés, brisant le cœur de son père et laissant leurs enfants sans mère sans la moindre culpabilité apparente. Durant de longues années à la suite de cette découverte, il avait espérer recevoir un hibou, un cadeau qui pourrait lui prouver qu’elle pensait un peu à eux, eux qu’elle avait tant bercé aux yeux de ses bras, qu’elle avant embrassé avec tant d’amour et de délicatesse. Seulement ces derniers n’étaient jamais apparus et inconsciemment son esprit s’était peu à peu fermé à cette époque désormais révolue. S’il était vraiment honnête envers lui-même, il devrait reconnaitre qu’il avait oublié cette époque de sa vie durant de longues années. Pourquoi ? Sans aucun doute parce que son esprit s’était laissé manipuler par les mots de cet homme qu’il se devait de nommer « père », qui sait ? Nul être ne pouvait en avoir la certitude, pas même lui. Sans aucun doute en aurait-il été ainsi toute sa vie si un jour, par inadvertance, il n’était point tombé sur cette photographie représentant cette femme qui avait tant manqué à sa vie.

Il avait alors quinze ans à cette époque et était sur le point d’entamer sa quatrième année à Poudlard tout comme son jumeau. En voulant récupérer certaines vieilles affaires dans le cagibi de leur manoir, il était tombé sur une petite boite contenant de vieilles photos. Curieux et intrigué par ces dernières, il les avait regardés attentivement jusqu’à rencontrer ses yeux qui étaient identiques à ceux qu’il possédait. Un simple coup d’œil lui avait suffit pour comprendre qui elle était car en l’espace d’un seul instant son oreille invalide depuis sa plus tendre enfance, seul handicap qui le différenciait de son jumeau, sembla lui bruler, provoquant une douleur quasi inhumaine. Très rapidement une migraine avait élu domicile dans son corps, l’obligeant à se laisser glisser au sol tant la douleur qui l’habitait le terrassait. Il avait comme l’impression que le moindre son, le moindre contact avec un objet était multiplié par dix, le rendant si mal que la mort elle-même semblait être une douce pénitence. Peu à peu, ses yeux s’étaient voilés et son corps avait lâché prise, pour lui laisser la possibilité de revivre dans une certaine mesure, l’une des expériences des plus traumatisantes qu’il avait vécues durant son enfance. Un souvenir que son esprit avait conservé dans une boite de Pandore, lui laissant pleinement la possibilité de vivre sans avoir conscience que cet homme qu’il considérait comme un père, avait tâché de lui arracher la vie. Pourquoi ? Il ne le savait pas vraiment, les quelques cris qu’il parvenait à se souvenir étaient ceux de cette mère qui suppliait cet homme de le laisser vivre en paix, qu’il pouvait en prendre qu’un s’il le souhaitait et laisser la vie sauve à l’autre à ses côtés. Des mots qui avaient été accueillis par un rire sadique, possédé qui lui donnait la chair de poule rien qu’en y songeant. Il était en mesure de se souvenir de ce ricanement depuis sa plus tendre enfance, étant le sujet premier des cauchemars qui l’avaient tant tiraillé durant ces nuits sans rêves qu’il faisait, ne trouvant le repos qu’au creux des bras de ce jumeau qui inconsciemment veillait perpétuellement sur lui.

Ce jour en se relevant de ce malaise, poussiéreux, il avait alors pleinement prit conscience de la signification du regard qu’avait son père sur sa personne. Il ne l’avait jamais voulu et ce souvenir venait confirmer son impression sans pour autant expliquer pourquoi il ne l’avait pas tué. Pourquoi après avoir lancé le sortilège de la mort qui avait frappé de plein fouet sa mère, qui s’était jeté sur lui pour le sauver, n’avait-il point réitérer le sort ? Cela lui aurait été si facile puisqu’il était alors sans défense. Une question qui reste encore sans réponse dans son esprit, le hantant continuellement lorsqu’il se retrouve seul en la présence de cet homme qu’il se doit d’appeler « père ». Un être qu’il méprise, auquel il en veut de les avoir privé de cette mère, de les avoir manipulé tels des pantins dont il peut user à sa cuise. Seulement cette pensée, il la garde pour lui, ne disant mot à quiconque quand bien même il ne peut rester de marbre en voyant son frère jumeau devenir à son tour un monstre, un mage noir à la solde de leur père qui semble être déterminé à porter main forte au rang des mages noirs. Prisonnier ? Sans aucun doute qu’il l’est plus qu’il ne le pense mais il fait avec, tâchant de survivre comme il peut et de conserver ses valeurs à l’abri du regard de ses proches et même de son frère.