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 (da.) ☆ it would lead you back to me.

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MessageSujet: (da.) ☆ it would lead you back to me.   (da.) ☆ it would lead you back to me. Icon_minitimeSam 12 Oct - 10:17





dragan adamovitch
now the pale morning sings of forgotten things.


NOM : adamovitch, nom réputé en Russie, au fil des générations, des siècles passés, la famille adamovitch a su se démarquer, se faire remarquer et aujourd'hui, ils représentent une famille importante au sein du pays. PRÉNOM(S) : dragan, est son prénom d'usage, le seul dont il se sert et selon lui le seul dont il a besoin. En principe, il ne se présente qu'avec celui-ci, mais ceux qui le connaissent vraiment savent que son second prénom est slaven, soit le prénom de son grand-père paternel. ÂGE : trente-cinq ans de longues années de vie, une vie qu'il a longtemps pensé réussir à merveille, malheureusement, la roue vient de tourner pour lui, les longues et heureuses années de sa vie semblent être définitivement derrière lui. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 23 juillet 1963, moscou en russie, il a passé une longue partie de sa vie à Moscou d'ailleurs, dans une immense maison dans la côté sorcier de la ville. STATUT DU SANG : dragan appartient à une branche de sang-pur de la famille adamovitch, il existe néanmoins des branches de la famille qui se sont mêlés au fil des années ; les adamovitch n'ont jamais eu la réputation d'être particulièrement conservateur de la pureté de leur sang. EMPLOI : il travail au ministère de la magie, département de la coopération magique internationale. NIVEAU D’ÉTUDES : écrire ici, nombre de diplômes obtenus. LIEU DE VIE : p BAGUETTE : sa baguette est en bois de chêne rouge, élégante et fine, très rapide, elle est particulièrement efficace en duels. Son coeur contient une plume de phénix, et elle mesure trente-et-un centimètre, plutôt rigide, on la lui a rendu à sa sortie de nurmengard. GROUPE : like a wizard. CÉLÉBRITÉ : tom mison. CRÉDITS : obrozey/tumblr.


I. TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ?La situation actuelle ne semble pas loin de mener le sorcier à sa perte. Il a vécu la guerre en Angleterre, ou du moins, au fond d'une cellule à Azkaban. Il a aidé sa femme et sa fille à quitter le pays, il a rejoint l'ordre du phénix et ainsi, il a fini par se retrouver enfermé à Azkaban vers le mois d'octobre 1997. C'est finalement au fond de cette cellule qu'il a passé la guerre. Il a été libéré vers le mois de mai de l'année 1998. Suite à la fin de la guerre, on l'a transféré dans la prison de Nurmengard d'où il a été libéré rapidement grâce à l'influence de sa famille dans la Russie magique. Suite à ça, il est partit à la recherche de son épouse, il a gardé espoir jusqu'au bout et n'a appris que très récemment qu'elle était décédée. Une nouvelle qui a détruit sa vie, ainsi maintenant il est enfermé dans sa maison à Pironkova, une ville imbibée de magie-noire, il se plonge en plein dans cet art dans le seul but de trouver le moyen de ramener son épouse à la vie, plus les jours passent plus il se perd dans les ténèbres.

II. TOUT-A-SAVOIR : né dans une famille de sang-pur, à l'écart du monde moldu, il ne connait pas grand chose de l'univers des moldus, bien qu'il ait été marié avec une sorcière d'ascendance moldue, il a toujours vécu dans le monde sorcier, ainsi il est très peu familiarisé (voir pas du tout) avec la technologie moldue.  bien que d'origine russe, il a passé plusieurs années de sa vie en angleterre, ainsi, il parle très bien la langue, bien qu'il garde un accent russe très prononcé. Il parle également le français, à un niveau cependant moins poussé, il maîtrise bien moins le français que l'anglais.   il a été éduqué dans une famille de sang-pure issue de russie qui n'avait rien contre les nés-moldus, mais comme beaucoup de sorciers de russie, ils étaient très attirés par la magie noire, ainsi, c'est quelque chose qui fait partie de son éducation, de par sa famille et par sa scolarité à durmstrang. ça n'a jamais été très important pour lui et pourtant depuis son veuvage il semble ne s’intéresser plus qu'à ça il déteste le thé, né en Russie, il n'a pas eu l'habitude d'en boire, quand il est arrivé en angleterre, il a vite été initié au thé et il a très rapidement détesté ça. Pour un sorcier comme lui, rien ne vaut les vraies boissons sorcières de toute façon. il est passionné par les créatures magique, s'il n'a jamais voulu pousser ses études de ces créatures, il a lu de nombreux ouvrages sur le sujet ; de façon générale, il s'agit d'un homme qui lit beaucoup. durmstrang lui a offert un enseignement empli de discipline et de droiture, c'est quelque chose qui fait encore parti de lui. il est plutôt calé sur les légendes et histoires russes touchant à la magie, il croit à la plupart d'entres elles, c'est d'ailleurs à cause de ça qu'il se consacre à la magie noire ces derniers temps. on raconte en effet qu'un sorcier Russe aurait trouvé le moyen de ramené les morts à la vie, il y a de ça bien des années, c'est un sujet sur lequel il se penche énormément depuis qu'il a appris la mort de son épouse. la guerre l'a poussé à beaucoup voyager, bizarrement, ce qu'il retient surtout des pays par lesquels il est passé, c'est les spécialités culinaires. dragan est du genre particulièrement déterminé. Il déteste abandonner et il déteste admettre avoir tord, il est donc particulièrement borné.



TON PETIT PSEUDO+PRÉNOM : sweet poison, anaïs. TON ÂGE : vingt-ans. PAYS : sleepy hollow. TU AS TROUVÉ PI PAR : dans une pochette surprise. TON AVIS SUR PI : je le déteste ce forum. UN DERNIER MOT : Vous dites pas : « Qu’est ce qu'il fait chaud… », vous dites : « La chaleur est un plat qui se mange froid. »


(da.) ☆ it would lead you back to me. 479167ornement



Dernière édition par Dragan Adamovitch le Mar 15 Oct - 21:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (da.) ☆ it would lead you back to me.   (da.) ☆ it would lead you back to me. Icon_minitimeSam 12 Oct - 10:18





tame the ghosts in my head.
that run wild and wish me dead.

Azkaban. Il n'avait jamais imaginé qu'il puisse se retrouver là un jour. Sa vie avait été trop parfaite pour qu'il puisse imaginer que tout puisse un jour s’effondrer. Né en Russie dans une famille plutôt aimante, il avait débuté sa vie dans une ambiance plutôt saine pour un gamin. Les Adamovitch avaient leurs défauts, c'était un fait indéniable, mais ils n'avaient jamais négligés leurs enfants. Il avait été bien éduqué au sein des Adamovitch et c'était peut-être ce qui faisait qu'aujourd'hui il était là, en train de broyer du noir dans une cellule d'Azkaban. Il avait appris à s'attacher à ses principes. On lui avait appris à défendre ses idéaux, on lui avait appris à être tolérant. Tout ce qui aujourd'hui, dans cette Angleterre soumise au célèbre Lord Voldemort, était mal vu. On aurait pu croire que quelqu'un comme Dragan rejoindrait bien vite l'armée de Voldemort, parce qu'il avait fait Durmstrang et que cette école était réputée pour former des mages noirs. Certes, il s'y connaissait en magie noire. Il en avait appris les bases durant les années passées chez ses parents, il avait approfondit ses connaissances dans l'institut Durmstrang, mais jamais il n'aurait rejoint l'armée du seigneur des ténèbres. Il n'avait jamais prétendu au titre de mage noir de toute façon. La magie noire était derrière lui, une parcelle de son éducation qui n'avait plus vraiment d'importance aujourd'hui. Il n’avait rien d’un mage noir, sinon, sa place ne serait certainement pas là, derrière les barreaux de la prison d’Azkaban. Il aurait dû quitter l’Angleterre quelques temps plus tôt, il aurait du fuir cette guerre au lieu de décider d’y participer. Il n’avait pas pu se contenter de fuir ; au fil des années, l’Angleterre était devenu son pays, il se devait de se battre pour elle, pour les gens qui le méritaient, ceux qu’on condamnait sans raison apparente. S’il était venu sur le territoire de Grande-Bretagne, c’était pour le travail au départ. Dès sa sortie de Durmstrang, il avait commencé un stage au ministère de la magie au sein du département de la coopération magique internationale et très vite on lui avait proposé un stage à l’étranger, une opportunité pour lui qui avait toujours rêvé de voyager. A une époque, il disait même qu’il voulait devenir explorateur ; il y a de ça bien longtemps, dans ces années où il n’était qu’un petit garçon parfaitement innocent. Il y avait de toute évidence des pays mieux adaptés à l’exploration que l’Angleterre. Il y avait travaillé des années en Angleterre, après y avoir mis les pieds une fois, il ne pouvait plus repartir ; pas forcément qu’il ait eu un gros coup de cœur pour le pays non, son coup de cœur, c’était une femme. Lucy Miller. Elle travaillait au ministère de la magie elle aussi. Une jeune anglaise, sorcière d’ascendance moldue qu’il avait très vite remarquée en arrivant au ministère de Londres. Il avait fallu peu de temps pour qu’ils tombent amoureux, peu de temps pour qu’ils fondent une famille. Certes, ce n’était pas dans leurs plans quand elle était tombée enceinte à peine dix-huit ans. Ils étaient trop jeune, ils étaient ensemble depuis un an mais ils étaient amoureux et c’était sans doute la chose la plus importante. Ils avaient décidé de se marier, peut-être précipitamment, mais leur union était solide, il l’avait su quand il lui avait demandé sa main bien des années plus tôt, il en était toujours persuadé aujourd’hui.

Là au fond de sa cellule sombre et humide, il passa son doigt sur l’alliance qu’il portait encore à son doigt, cette alliance qu’il n’avait jamais retiré depuis seize ans. Il aimait son épouse, il aimait sa fille, cette enfant qui était née de leur union. Il espérait qu’elles au moins, elles soient en sécurité, bien loin de cette guerre, bien loin des cellules moisie d’Azkaban. Peut-être pourrait-il s’estimer heureux. Les détraqueurs n’étaient plus là pour rendre Azkaban aussi désagréable qu’auparavant. Sans leur présence, il pouvait encore penser aux événements heureux de sa vie. Il pouvait fermer les paupières et revoir les nombreuses belles années de sa vie, un sourire aux lèvres. Il pouvait encore s’accrocher à l’espoir de revoir son épouse et leur fille. Il y croyait, un jour, cette guerre prendrait fin et ce jour enfin, il sortirait de là et il irait les retrouver. Les journées étaient longues, froides, souvent déprimantes, mais il ne voulait pas perdre espoir, pour l’heure, c’était bien la seule chose qui lui restait. Il savait qu’elles allaient bien. La Russie n’était peut-être pas le meilleur endroit au monde pour Lucy en vu de son statut de sang, mais elle allait retrouver le reste de la famille Adamovitch et il avait confiance en sa famille, ils allaient la protéger. La famille Adamovitch n’avait jamais affiché la moindre haine contre le monde moldus et les sorciers nés-moldus qui naissaient dans cet univers. Ils n’avaient jamais été du genre à se mêler au monde moldu, trop habitués aux habitudes de leur monde, mais ils ne faisaient pas partis des sorciers qui rejetaient les nés-moldus comme c’était le cas de beaucoup de sorciers en Russie. Ils protégeraient Lucy ainsi que leur fille. Il s’était efforcée de les faire fuir jusqu’en Russie au début de la guerre, au moment où le ministère de la magie s’était écroulé. Il avait réussi à les faire fuir et elles n’avaient pas été les seuls. Membre de l’ordre du phénix, il avait aidé bien d’autres personnes à s’enfuir, avant de se faire prendre. Il était un traitre, un sang-pur qui avait pris la décision d’aider des nés-moldus ou des sorciers accusés de trahison. C’était ce qui lui valait sa place ici. Il n’avait de toute évidence pas été assez discret, ou alors il avait accepté d’aider trop de gens d’un coup pour que ses agissements ne paraissent pas louches. Il avait certainement commis une erreur, il en avait conscience et aujourd’hui, il en payait le prix. Il avait l’impression que ça faisait déjà une éternité qu’il était là, enfermé dans cette maudite prison. De trop longs jours, de trop longues semaines, sans doute de trop long mois, peut-être même des années. Il ne savait plus, il avait perdu le compte et le temps semblait définitivement plus long quand on était prisonnier.

« Elle est morte … » Il avait l’impression que son cœur venait de s’arrêter de battre. Il avait l’impression que toutes ses forces étaient en train de le quitter. Là devant l’article du journal qui annonçait la mort de Lucy Miller-Adamovitch, il avait l’impression qu’il pourrait facilement mourir aussi. Depuis des mois il était à la recherche de son épouse et il apprenait qu’il n’avait fait que perdre son temps à courir après un fantôme. Sa fille lui en voulait de l’avoir laissée tomber, sa fille le détestait sûrement pour les décisions qu’il avait prise. Elle le détesterait encore plus quand elle apprendrait la mort de sa mère, quand elle saurait qu’il n’a pas été capable de tenir sa promesse, quand, inéluctablement, elle chercherait quelqu’un à qui reprocher ses malheurs, ce serait lui. Elle était morte depuis plusieurs mois à en juger la date de l’article. Comment avait-il pu louper une chose pareille ? Il avait l’impression d’avoir cherché partout pourtant, d’avoir fait attention au moindre petit détail sur les routes qu’il avait suivit, dans les villes dans lesquelles il s’était arrêté, mais il n’avait pas vu ça. Clara l’avait fait elle, sinon cet article ne serait pas là, dans ses affaires. « Depuis combien de temps tu le sais ? » Il serra la mâchoire avec force, particulièrement vexé qu’elle ne lui ait rien dit, qu’il soit resté là à chercher, qu’elle soit restée à ses côtés alors que ce qu’ils faisaient n’avait plus d’importance. Il avait cru qu’avec Clara, il avait brisé tous les serments qu’il avait pu faire le jour de son mariage. Il avait fait une erreur, ils avaient fait une erreur, ils étaient bien d’accord là-dessus. Peut-être que finalement elle, pendant tout ce temps, elle savait qu’il ne brisait rien du tout, parce qu’il n’y avait rien à briser. Elle avait de toute évidence choisi de le laisser se perdre dans l’ignorance, se morfondre dans la culpabilité. Elle lui avait proposé son aide mais, ce n’était clairement pas de l’aide qu’elle lui apportait en lui cachant volontairement l’ultime réponse à toutes ses questions. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien chercher elle pendant tout ce temps, si ce n’est du vent ? Elle savait qu’ils ne trouveraient jamais rien alors pourquoi avoir continué de la sorte ? Ça aurait été bien plus simple qu’elle lui dise la vérité et qu’ils repartent tous les deux de leur côté. « Quelques jours. Je voulais te le dire, je ne trouvais juste pas les mots. » Ce n’était pas une excuse recevable, rien ne l’aurait été de toute façon. Ils parlaient de sa femme là, celle pour qui il avait quitté son pays, celle qu’il aimait et qu’il avait voulu retrouver à tout prix. « Alors, ne rien dire semblait plus simple ? J’aurais préféré l’apprendre de toi avec des mots incertains plutôt que d’un bout de papier que tu as en ta possession depuis plusieurs jours ! » Il ne savait même plus ce qu’il ressentait en cet instant présent, il s’était sentit mourir, il s’était senti trahi, puis agacé et à chaque seconde qui passait, le bouillonnement dans ses veines n’avait plus de sens, c’était trop d’émotions différente d’un coup. « Je suis désolée, tu avais l’air toujours si déterminé, si positif, ce n’était pas évident de trouver le courage de gâcher tous tes espoirs ! » Il leva les yeux au ciel, il ne savait pas si elle entendait par là qu’elle avait voulu le protéger, éviter de le blesser, mais si c’était le cas, c’était un échec. Elle ne l’avait pas protégé, il était blessé, aussi bien par la mort de son épouse que par les non-dits de Clara. Il lui faisait confiance, sans doute trop. « C’est de ma femme que l’on parle, celle pour qui j’ai laissé ma fille seule au fin fond de la Russie ! On était là pour la rechercher et tu savais qu’elle était morte, qu’est-ce que tu pouvais bien chercher toi ? » Il laissa échapper un soupire avant de remettre l’article là où il l’avait trouvé et de récupérer ses affaires, il devait rentrer maintenant. « Laisse tomber, je ne veux pas savoir. Tu devrais rentrer chez toi maintenant, notre quête ensemble est finie apparemment. » Sans doute que si les choses s’étaient passés autrement, il aurait voulu rester en contact avec elle, s’il avait retrouvé sa femme, il aurait voulu aller en France, rester ami avec Clara, il aurait pu nier l’histoire qu’ils avaient eu ensemble, enfouir ses sentiments naissant pour continuer une relation amicale saine. Mais il n’y avait plus rien à entretenir, ni l’étincelle de sentiments naissant, ni amitié. Il n’y avait plus rien nulle part. Alors qu’il s’éloignait de Clara sans vraiment savoir où aller, il n’avait plus que l’impression qu’il y avait du vide devant lui, un vide infini et sombre dans lequel il s’enfoncer davantage à chaque pas qu’il faisait.

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