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 Bellatrix Lestrange.

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MessageSujet: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeMar 10 Sep - 20:54



Bellatrix Lestrange
NOM : Lestrange. ∞ PRÉNOM(S) : Bellatrix. ∞ ÂGE : 46 ans. ∞ STATUT DU SANG : Pur, quel question, les sang-pur sont limités aux familles déjà existantes, plus d'informations ici et DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 20 Mars 1951, au Manoir Black, celui de son père et de sa mère. ∞ STATUT AMOUREUX : Mariée avec Rodolphus Lestrange par un mariage arrangé. ∞ EMPLOI : Mangemort. ∞ BAGUETTE : Noyr, 30 centimètres, ventricule de cœur de dragon, impitoyable et vient de l'allée des embrumes, première baguette étant été détruite par le ministère à sa capture.. Plus d'informations sur les baguettes ici. ∞ PATRONUS : Adolescence nundu puis serpent, plus rien actuellement. ∞ ÉPOUVANTARD : Son Maître mort. ∞ GROUPE : Mangemort. ∞ CRÉDITS : écrire ici.
06/09 BUSES & 04/09 ASPICS | SLYTHERIN
(à effacer lors de l'exécution de la fiche : pour obtenir un poste au ministère, il faut avoir réussi toutes ses BUSES et tous ses ASPICS. 9 est le maximum de nombre de BUSES/ASPICS tentés, vous pouvez toujours diminuer, mais ne pas augmenter ce chiffre. A Poudlard, vous ne pouvez pas choisir la maison de votre personnage, il faut passer le test par ici)

L'AVIS DE VOTRE PERSONNAGE SUR LE RETOUR DE VOLDEMORT : écrire ici, en un minimum de cinq lignes.Bellatrix était folle de joie lorsqu'elle a senti la marque la brûler ce fameux soir, le 24 juin 1995, même si cette joie était teinté de déception, de la tristesse même, enfermée dans sa cellule à Azkaban, elle ne pouvait même pas le rejoindre, lui sa raison de vie, son Maître, son Lord et tellement plus même si elle refuse de l'avouer. Jamais, elle n'a cru à la mort de son maître, ce qui est bien une preuve de toute sa fidélité pour son maître. Tout ses mouvements après la disparition de son maître avait été pour le retrouver, dont la torture des Londubat. Une fois capturé, par loyauté et par conviction, elle a avoué fièrement son appartenance au mangemort, s'en vantant même, fière de son acte et de ses choix. Bella n'attend qu'une chose au retour de son maître, le servir avec encore plus de dévotion et de folie, beaucoup de mort, de torture et de sang, pour lui permettre de s'élever au rang de maître de tout les sorciers du Royaume-Uni et même plus loin s'il le désire.

CE QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES : écrire ici, en un minimum de cinq lignes.C'est de la vermine, ils sont juste bons à se retrouver dans les cachots de son maître et finir tué par son maître, ses camarades ou elle même. Maintenant qu'elle a exterminé son traître de cousin, sa prochaine mission personnelle est devenue Nymphadora Tonks, sa nièce, mais ne dites jamais nièce devant elle, cette traîtresse ne mérite que la mort à ses yeux et elle compte bien laver complètement le nom des Black, après l'auror membre de l'ordre du phénix, son prochain but sera sa traîtresse de sœur Andromeda. C'est ce qu'elle pense, mais dans l'ordre, il n'y a pas que la traîtresse qu'elle ne supporte pas, non, tous, tous ces amoureux de moldus ne méritent pas d'avoir le droit de se déplacer librement dans le monde sorcier, pas plus que les sangs de bourbe qui salissent le monde sorcier. Elle déteste tout d'eux, que ce soit leur choix de vie, leurs idéaux, leurs personnalités, leurs croyances. Dans les membres de l'ordre, elle voue aussi une haine farouche à Minerva McGonagall, Molly Weasley et Arthur Weasley, des vieilles rancœurs d'école, pour les trois.

TON PERSONNAGE FACE A LA SITUATION ACTUELLE : Bellatrix se sent très bien dans l'état actuel des choses, elle peut se déplacer librement puisque le ministère est tombée, elle peut se déplacer librement dans les rues. Une chose qui lui a longtemps manqués, entre le temps passé à Azkaban et son temps d'évadé d'Azkaban recherché. Il y a un autre avantage à la situation actuelle pour elle, plus avantageux même, elle peut semer le chaos sans vergogne, s'amuser à torturer des traîtres et des sangs de bourbe pour son simple plaisir et parce que ça sert son maître. Elle nage en pleine bonheur, attendant le moment d'attraper les membres de l'ordre et Potter avec un peu de chance pour montrer tout son engagement à son maître. Tout ça pour dire que Bellatrix est dans son élément dans la situation actuelle. ici.

Le doloris est ma signature.

L'enfance de l'aînée des Black.

Je suis née le 20 mars 1951 au manoir Black, le manoir de mon père, Cygnus Black II et ma mère était Druella Black, née Rosier. J'étais le premier petit-enfant de mon grand-père, Pollux Black. J'étais un beau bébé, bien portant, beau avec la peau douce, les yeux rieurs et éveillé, d'après ce que j'en conclus des photos que j'ai vu, mais je ne m'en souviens pas, j'étais trop jeune. À six mois, j'ai commencé à marcher à quatre pattes, à neuf, j'essayais de parler, mais les résultats probants, n'ont eu lieu qu'à un ans et deux mois, j'étais pas vraiment pour parler rapidement. Dès mes premiers mois, j'ai commencé à faire des actes magiques, minimes, comme envoyer une peluche contre le mur ou la faire venir dans mon lit, faire clignoter les étoiles flottant au plafond de ma chambre, rien d'exceptionnel, j'étais un bébé.  J'ai toujours cherché mon autonomie, cherchant à apprendre le plus rapidement possible ce que mes parents, mais plus souvent les elfes, me montraient.

Vers mes deux ans, quand ma mère est tombée enceinte, j'étais jalouse, c'est pas comme si mes parents s'occupaient souvent de moi, non, c'était surtout les elfes, mais ça signifiait pour mon petit cerveau la première définition du mot partage. Je ne serais jamais faîtes pour partager, ce qui se prouvera plus tard, mes parents avaient presque l'air joyeux pendant ces neuf mois, espérant visiblement un garçon, ils déchantèrent quand naquit encore une petite fille, Andromeda, ma sœur, pour quelques dix-sept années, mais enfin, pour moi, ce bébé n'était pas et ne serait jamais le bienvenue, ça criait, ça pleurait, ça puait, c'était devenu l'occupation des elfes, ce qui était pour me déplaire, les elfes étaient mes jouets, mes poupées grandeurs natures, ma distraction et ma distraction s'en allait pour s'occuper de l'autre arriviste, me laissant seul avec mes jouets rares acheté par mes parents.

À deux ans, j'avais déjà mes longs cheveux noirs et bouclés, qui ne me quittèrent jamais, même si à ce moment, ils étaient toujours coiffés, parce que les elfes prenaient soins de le faire. À trois ans, j'étais souvent tenté d'étouffer ma sœur, elle criait trop souvent à mon goût, mais les elfes étaient toujours là pour m'arrêter, alors qu'ils auraient mieux fait de me laisser faire. Elle parlait, marchait, courrait et je détestais ça, parce qu'elle me suivait partout, mais moi, je ne voulais pas être son amie, elle n'avait strictement aucun intérêt pour moi, une petite fille de trois ans, sauf servir de jouer. Il n'était pas rare que avec des petits signes de magie tout accidentel, je l'accroche au mur pour qu'elle tienne compagnie au tableau, je savais que la fessé ne tarderait pas, mais j'étais réellement amusée de faire ça, riant à gorge déployé. Quand je fêtais mes quatre ans, elle en avait deux, elle me ressemblait vraiment beaucoup, ce qui m'énervait encore plus, je voulais pas d'une moi en petite, elle devait être elle, pas comme moi, nos caractères étaient déjà bien différents, cependant.

À la naissance de Narcissa, en 1955, jje pris beaucoup mieux les choses, elle était assez éloigné de moi, j'avais déjà grandit et elle ne me dérangeait pas, surtout qu'elle avait les yeux bleu, pas comme moi. Mes parents décidèrent qu'il était temps pour moi, d'agir en héritière des Black et aussi un peu en héritier, comme l'abandon était arrivé, ils ne voulaient plus essayer une fois de plus, alors étant l'aînée, je me devais d'être la fille la plus parfaite, pour être choisie pour le meilleur héritage. Les choses commencèrent par la base, le masque des sangs purs, mais Père abandonna, j'étais trop jeune et indisciplinée pour comprendre, je ne me concentrais pas assez longtemps sur la tache. Alors il passa à autre chose, le choix des bons couverts à table, c'est rentré très facilement, je voulais qu'il soit fier de moi. Mon père faisait toujours plus de geste vers moi que ma mère, je crois qu'il me préférait aux deux autres, il me prenait souvent à part pour m'apprendre des choses, ce qu'il ne faisait pas avec mes sœurs, Mère était plus heureuse de s'occuper de Narcissa et même d'Andromeda, cette dernière pourtant était comme moi physique ou presque. Ma mère ne semble jamais m'avoir aimé, même me supportait, je crains que pour elle, je n'agissais trop comme un garçon, la fierté que me montrait mon père était ce qui faisait que ma mère m'ignorait.

Quand j'eus cinq ans, mon père repris pour les émotions, pour le masque de sang pur, en faisant de grand effort de concentration, j'arrivais à le faire en public, je le faisais avec beaucoup de fierté. J'étais loin de la petite fille modèle, j'aimais faire des caprices aux elfes de maison et me battre avec mes sœurs, c'était ma joie, de tirer les cheveux d'Andromeda jusqu'à ce qu'elle ait trop mal et qu'elle cède, faisant tous ce que je voulais. J'avais pas vraiment beaucoup de temps à moi, mes parents voulaient absolument que j'apprenne la musique et le chant, pour une raison qui m'est inconnue, mais je le fis, choisissant d'apprendre la guitare. Je comprends maintenant, toutes les femmes de sang pur se doivent d'apprendre ceci, c'est comme le masque, la danse et être bon en classe. Normalement, la musique, on l'apprend pour pouvoir s'occuper de ses enfants, pour les calmer durant les crises. Je me demande pourquoi ils ont insisté pour me l'apprendre, puisque même ma mère ne m'a jamais ou presque porté.

À six ans, j'appris à lire, écrire et compter, je pris toute l'année pour apprendre à me débrouiller parfaitement en lecture, ma facilité c'est tout ce qui était calcul, ça m'amusait, je trouvais ça facile et très distrayant. Quand je sus lire assez bien, je m'amusais à lire tout ce qui me passait dans les mains, sauf les lettres pour mes parents, je tenais tout de même assez à la vie pour ne pas le faire, mais c'était si amusant, d'être supérieure à mes sœurs, de pouvoir lire, même si ça n'attira pas plus de regard à Mère et Père, c'était une fierté personnelle, je me pavanais en lisant à chaque fois que je voyais mes sœurs. Le soir, mon père m'apprenait à jouer aux échecs, il avait remarqué ma logique, alors il m'apprit à jouer aux échecs, ce qui devient ma passion, j'aimais prévoir les mouvements possibles de l'adverse, faire dans la tactique, c'était aussi des moments en tête à tête avec Père, j'aimais cette proximité, à sa manière, il me rendait intéressante, il me montrait que dans cette grande maison, il n'y avait pas que Andromeda et Narcissa. Cet été là, vers juin, il m'emmena dans la petite forêt bordant l'est du manoir, il me fit découvrir le lac. On passa des semaines à nous y rendre tout les matins, pour que j'apprenne à nager, c'était pour lui, le moment que j'apprenne. Étant assez fan de l'eau, ça ne me gênais pas, même si je préfère toujours un bon bain chaud à la nage dans un lac, c'est beaucoup plus propre.

C'est à sept ans que je fus capable de chanter très bien, alors le professeur prit Andromeda en classe, alors que mon père m'apprenait la danse, la valse. La valse devint ma pire hantise, mais je ne le dis pas. N'allez pas croire que je ne sais pas danser, c'est juste que je déteste danser, c'est une perte de temps et d'énergie pour pas grand chose. Mon premier accident magique se passa un soir, mes parents étaient invités à un bal au ministère et comme j'avais l'âge requis pour les présentations chez les sang pur, ils avaient décidé de m'emmener. Ma mère sortit une robe rose de ma penderie, mais je la fit brûler entre ses mains, je ne voulais pas porter cette vieille robe rose, tout juste bonne pour une petite fille, pour moi, j'étais une grande fille, en plus j'avais horreur du robe, une couleur que ma mère semblait affectionner pour ses filles, au plaisir de Narcissa. Ma mère s'énerva, ne notant même pas mon accident magique, elle ne m'a jamais beaucoup aimé, quand mon père entra, se fut autre chose, il me félicita pour la première fois, je lui accordais mon plus beau sourire de petite fille, il m'invita à choisir ma tenue, en précisant que je devais porter une robe. Je pris la seule robe noire présente dans mon armoire, elle avait des fines bretelles, moulait le haut de mon corps avant de s'élargir à la taille, je l'accompagnais de chaussures noires ouverte, avant de prendre une de mes petite cape noire, que j'accrochais avec une attache en forme de B. La soirée au ministère fut longue et horrible pour moi, j'y rencontrais le gratin des sangs purs, dont mon futur mari même si je ne le savais pas encore.

À huit ans, je réussis à contrôler vraiment en permanence mon masque, du réveil au coucher, sans me poser de question. Père décida qu'il était temps de changer ma chambre, il fit mettre un lit à baldaquin, avec des tentures vertes, mais sans rien sur le dessus, comme j'avais osé demander à mes parents de laisser les étoiles au plafond, je les affectionnais, elles étaient rassurante. Bien sur, je n'avais pas dit ça à Père, j'avais dit que je désirais tout connaître des étoiles et que regarder le plafond restait plus simple que de me coucher dans le parc en pleine nuit, surtout qu'on ne peut pas savoir quelle créature rode après les défenses du manoir. Pour que j'apprenne plus rapidement, il avait ajouté les noms des étoiles et des constellations au plafond, toujours fluorescente. Pour le reste de la chambre, mon armoire en forme de chouette blanche fut remplacé par une armoire en hêtre, j'eus une table de chevet plus grande, avec un tiroir. Une commode trouva le mur en face de mon lit, à côté de mon armoire, un miroir s'ajouta au dessus, mes rideaux furent changés par des rideaux argentés. Je l'aimais ainsi ma chambre. Je me rapprochais aussi de Narcissa à ce moment-là, je ne sais pas pour quelle raison, mais avec ses cheveux blonds, sa peau pâle, elle me faisait penser à une fille faible ayant besoin d'aide et de protection. À cet âge, j'assistais à mon premier enterrement, celui de Regulus Black, le cousin de mon grand-père, c'était une tradition que tout les Black soient présents aux enterrements des autres, alors ce jour avait été la grande réunion de famille.

À neuf ans, mes relations avec Narcissa qui en avait cinq étaient presque amicale, quand je ne devais pas apprendre ou que je n'étais pas à la bibliothèque pour apprendre des sorts, où bien encore en train de me battre avec Andromeda, j'étais avec elle, je jouais avec elle, c'était toujours quand Mère était occupée ailleurs, elle n'aimait pas que je tourne trop autour de son petit bijou, parce que Cissy était sa préférée. C'est d'ailleurs Cissy qui m'a trouvé mon surnom, quand elle avait cinq ans, un jour, alors qu'on jouait, elle m'a appelé Bella, je l'ai d'abord remise en place, lui interdisant de m'appeler une nouvelle fois ainsi, comme j'adore mon prénom de guerrière, mais ça ne l'empêcha pas de recommencer, s'en tenant aux moments où nous étions ensemble juste toutes les deux. Il y a eu un autre événement, la naissance du premier héritier de mon oncle Orion et de ma tante Walburga, Sirius Orion Black, ma première pensée a été, en quoi ça m'intéresse d'avoir un cousin, mais je ne l'ai pas dit, j'ai félicité ma tante et mon oncle avec politesse.

À dix ans, quand l'hiver fit place au printemps, mon père décida qu'il était l'heure d'apprendre à utiliser mon cadeau de Noël, un balai, alors il prit deux heures de son temps pour m'apprendre. Je passais une bonne partie de mon temps libre à voler, quand il m'arrivait de chuter, un gros coussin était toujours là pour me réceptionner, les joies de la magie accidentelle. Je ne faisais pas que ça, me battre avec Andromeda restait ma priorité quand elle sortait de ses leçons, aidant Cissy a lire mieux, parce que je commençais à vraiment ressentir de l'affection pour la petite, allant même jusqu'à la couvrir quand elle devait être puni, disant que c'était moi. Nos quatre ans de différences faisaient que je supportais beaucoup mieux sa présence que celle de son aînée, mais ça avait aussi à voir avec le fait qu'Andromeda me ressemblait trop physiquement pour que je l'apprécie, j'avais trop l'impression de me revoir à son âge quand je la voyais, sauf dans son comportement. Il y eut aussi la naissance du petit frère de Sirius, Regulus Arcturus Black, qui m'arracha la même réaction que la naissance de Sirius, des félicitations polies.

À onze ans, j'eus la surprise sans en être une d'avoir ma lettre pour Poudlard, je ne l'eus qu'après le moment où chacun de mes parents l'eurent lu. J'en ressentis un affront à ma vie, c'était ma lettre, la première que je recevais ne s'adressant qu'à moi, quand on m'autorisa à quitter la table du petit déjeuner, je m'enfermais dans ma chambre pour la lire. J'étais tellement heureuse que je me mis à pleurer, une chose n'arrivant que rarement chez moi, quand je fus calmé, le déjeuner avait commencé, alors je restais dans ma chambre. J'aimais ma chambre à cet âge, j'avais un lit à baldaquin aux couleurs de Serpentard, avec une petite armoire en bois de hêtre, un coffre où plus petite je rangeais mes jouets qui avaient bien changé depuis le temps, une commode pour mes sous-vêtements, une petite table de chevet sur laquelle j'avais toujours un chandelier avec une bougie posé. Et pour finir, la fenêtre, qui donnait et donne toujours sur le parc du manoir Black, un beau parc à la belle décoration. Un parc dans lequel mon père m'avait appris à voler, dans lequel j'ai passé des moments super avec mes sœurs et à voler seul dans mon coin. Après l'arrivée de la lettre, mon attente fut longue, quand un matin, avant l'heure du petit déjeuner, mon père me réveilla, il m'ordonna de me préparer et de prendre ma liste d'affaires. C'est en silence que je m'exécutais, on pris un petit déjeuner très silencieux, il ne m'adressa pas un mot, on aurait pu entendre une mouche voler, si mouche il y avait eu au manoir.

Arrivé au chemin de traverse, il m'emmena à Gringotts, là, c'est avec plaisir que j'obtins la clé de mon propre coffre, il avait été ouvert à ma naissance, mais mon père ne me la donnait que maintenant. Une fois la clé de mon coffre, le numéro 413 dans ma poche, on récupéra de l'argent dans le coffre familiale, avant de quitter la banque. Il m'emmena à la bijouterie, là, il acheta une simple chaîne en argent pour que j'y passe ma clé, je le fis et l'attachais à mon cou, la laissant pendre sur mon torse, sous ma robe. On passa ensuite rapidement chercher les livres, les plumes, l'encre, les parchemins, une malle gravée de mes initiales deux B, des uniformes, les ingrédients de potions, le chaudron, les affaires pour la botanique, mais je trépignais d'impatience d'avoir ma baguette, j'en rêvais depuis des années, elle était dans ma tête, la plus belle des baguettes. Lorsqu'on pénétra chez Ollivander, il me mesura, après m'avoir demandé la main avec laquelle je tiendrais ma baguette, je répondis la droite. Je ne sais pas comment il choisit, mais il essaya une bonne dizaine de baguette sur moi, en if, en houx, en vigne, en ébène, en charme, avec différents cœurs, ce qui détruisit assez efficacement sa boutique, avant qu'il ne me tende la baguette parfaite. La sensation reste encore bien en moi, cette douce chaleur dans ma main, comme une connexion, puis les étincelles vertes et argent qui en sortirent. Son commentaire fut simple, noyer, ventricule de cœur de Magyar à pointes, de 30,1 centimètres mais le mieux fut la mention impitoyable. Les signes de mon futur était déjà entre mes mains, à cet instant là, pour sept petits gallions, il venait de me donner le premier indice de ma vie futur sans le savoir.

En rentrant, Mère devint complètement folle, assurant que mon père n'avait pas à m'emmener avec lui au chemin de Traverse pour mes affaires d'écoles, que seul les héritiers étaient conduits par leurs parents, que les mères s'occupaient des filles, qui avaient des besoins plus spécifiques et plus de pudeur que les hommes. Ce jour-là, fut le jour où pour la première fois, je pus voir mes parents se disputer et j'en étais la cause, une parole me blessa, mon père dit que j'étais l'héritier parfait, seul mon sexe n'était pas le bon, mais je restais là, attendant qu'on m'autorise à monter dans ma chambre, Mère finit par partir folle de rage, je restais là, puis Père quitta la pièce, je décidais de monter dans ma chambre. Je rangeais mes uniformes, mon chaudron et toutes mes affaires dans ma malle, à l'exception de mes livres et de ma baguette. Les semaines suivantes, je lus mes livres, essayant au fur et à mesure les sorts que j'apprenais, le manoir étant protégé pour ne pas laisser voir l'utilisation de la magie avant l'âge requis. Je m'impatientais attendant pour rentrer à l'école, mes parents ne se parlèrent pas de tout l'été, passant par mes sœurs pour avoir ce qu'ils voulaient. Les voir faire chambre à part n'était pas inhabituel, mais Père déménagea encore un étage plus haut, à l'étage de ma chambre. Mes parents avaient chacun leur chambre au premier, Narcissa et Andromeda se trouvaient au troisième, j'étais entre elles et mes parents, j'avais la bibliothèque à mon étage, ainsi qu'une salle de bain et des pièces vides, dont l'une ne contenant que l'arbre généalogique des Black et quatre fauteuils.

La suite sur le second post.
Black démon PRÉNOM : Samual. ∞ PERSONNAGE : De la saga ∞ PAYS : France. ∞ COMMENT AS-TU CONNU PI : Google. ∞ TON AVIS SUR PI : Sympas, sinon je me serais pas inscrit ∞ UN DERNIER MOT : . ∞ CÉLÉBRITÉ PRISE : Helena Bonham Carter.



Dernière édition par Bellatrix Lestrange le Mer 11 Sep - 11:26, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeMar 10 Sep - 21:44


Toujours pur, J.K.R devise des Black en français dans le texte.


Les années à Poudlard.

Le 1 septembre 1962 arriva trop lentement à mes yeux, j'avais perdu patience la semaine après l'achat de mes livres, alors pour croire à une rentrée plus rapide, j'avais lu mes livres, j'étais restée tranquille pendant toute l'attente. Après des salutations d'usages sur le quai de la gare, ce qui veut dire, des salutations froides et toutes Black, je pénétrais dans le Poudlard Express, l'endroit qui allait me mener à Poudlard, la place qui a influencé toute ma vie. Je pris place dans un compartiment vide, portant sans difficulté ma malle dans le porte bagage, les elfes l'ayant muni de ce qui devait être leur façon de lancer un poids plume. Je n'allais pas m'en plaindre, s'était plus facile ainsi, rapidement des garçons et filles de sang pur s'assirent avec moi. On parla un peu, même si c'était superficiel, comme la plupart des conversations que l'on peut avoir entre sang pur. Le train commença son voyage au loin, loin de nos familles et de nos maisons, ce qui ne m'inquiétait pas tant que ça. Les paysages à l'extérieur n'avait rien d'extraordinaire, mais je n'ai pas quitté la vitre une seule seconde, le moyen de transport moldu me gênant plus que tout, j'avais espérait que par miracle, ils avaient enlevés cette chose, mais non. Lorsque le train arriva en gare, je les regardais tous courir comme s'ils étaient poursuivit par une armée de dragon, c'est lentement après tout le monde que je quitte mon siège, au moins en faisant ça, aucun sang impur ne risque de me salir en me touchant.

Une fois dehors, c'est une femme qui nous appelle, je ne connais pas son nom, je l'apprendrais plus tard, il doit être insignifiant, je m'approche, puisqu'elle demande les premières années, mais simplement pour cette raison. Je suis le mouvement en traînant des pieds comme mes camarades sang pur et futur serpentard. Arrivé au barque, je me retrouve dans une barque avec trois autres filles de mon âge et surtout de ma société. Je me mets à l'arrière, regardant autour de moi, c'est que de l'obscurité, il y a un vent froide, comme souvent autour des lacs, la barque bouge. Soudain, le château nous apparaît, je le trouve merveilleux éclairé comme ça, mais je n'en montre rien, affichant que mon masque. La balade se termine rapidement, à mon grand bonheur, j'aime l'eau, mais pas gelée et en pleine nuit, je la préfère chaude et dans un bon bain. Lorsqu'on arrive dans la petite salle, on nous entasse et une femme qui m'est vraiment pas sympathique dès le départ nous parle des différentes maisons et des qualités de chacune, des règles de l'école, je n'écoute que vaguement, ma maison sera Serpentard, je suis née pour être à Serpentard, je suis une Black. Elle nous laisse quelques minutes seuls, avant de nous faire entrer dans une pièce, on passe devant la grande table des professeurs la longeant, passant au bout des tables des élèves, je repère la table des Serpentard, je remarque Lestrange, que je reconnais, on nous force toujours à parler pendant les réceptions. On doit écouter la chanson d'un vieux chapeau sans intérêt, ensuite la femme, McGonagall laisse se dérouler une longue liste, elle nous explique que quand elle nous appelle, on doit s'asseoir sur le tabouret à trois pieds puis elle posera le chapeau sur notre tête, je renifle bruyamment, ce qui me fait m'attirer un regard noir de la femme.

Cependant, elle commence son appel, je suis dans les premiers noms, je lui envoie un sourire suffisant, elle me pose même pas le vieux morceau de tissu sur ma tête que je suis envoyée à Serpentard, mon sourire passe de suffisant à narquois, alors que je me relève, m'asseyant à la table des verts et argent, qui applaudit, fort heureusement pour eux, ils se doivent d'applaudir une Black. Je commence à manger en silence lorsque le dîner apparaît, ne m'occupant pas des autres. J'apprends vite que je suis très peu douée en potion et botanique, mais quand il s'agit de duel, je suis bien la meilleure, c'est dommage que ce ne soit pas une matière scolaire mais des bagarres avec les Gryffondor et les autres maisons. Pour la réputation des Black, c'est loin d'être ça, j'ai des notes très acceptable dans presque toutes les matières, mais Père doit se noyer sous les lettres de mes professeurs lui disant que je suis encore et toujours en retenue pour insubordination, provocation, bagarre, duel, pour avoir blessé un autre élève. Je ne tiens vraiment pas en place, pour me punir, il m'interdit de rentrer pour les vacances de Noël. Il en sera ainsi tout les ans, je l'exaspère tellement pas mon comportement indécent à l'école, que je suis condamnée à passé les vacances de Noël à l'école. Pour les études, je maintiens mes résultats, tout en étant une vraie terreur pour mes camarades, on m'associe même à la bande des Serpentard, me cataloguant comme les garçons, mes contacts avec les filles sont restreints. Je finis ma première année, impatiente de rentrer, mais je déchante en arrivant à la maison, mon père me paye un tuteur qui s'acharne sur moi pendant tout l'été pour que j'apprenne les potions, mais rien. Dès cette année-là, trois personnes devinrent mes plus grand ennemi, Minerva McGonagall, même si elle était ma professeur, je ne la supportais pas, elle me le rendait bien, me mettant en retenue dès qu'elle en avait l'occasion. Les deux autres étaient Molly Prewett et Arthur Weasley, deux élèves d'un an plus âgé que moi et des Gryffondor.

Une fois à la maison, je revois avec plaisir Père et Narcissa, mais je suis aussi forcée d'aller à toutes les soirées, comme le bal des Malefoy, des Lestrange, du ministère, les dîners, je sais que tout les dîners organisés sont pour voir si je peux faire une bonne épouse pour l'aîné masculin de la famille, alors tout en me tenant bien, j'espère qu'ils ne me choisiront pas, que personne ne me choisira. Je ne veux pas d'un mariage, pas d'un mariage arrangé avec quelqu'un que je connais à peine, que je déteste même peut-être, mais c'est les traditions, alors si on me choisit, j'épouserais l'homme que je dois épouser, pour les Black, pour ma lignée.

Ma deuxième année est à l'image de la première, même si le petit nouveau de la bande arrive, en la personne de Rabastan Lestrange, contrairement à son frère, je l'apprécie, on pourrait presque dire qu'on est ami, lorsque les autres garçons sont loin. Je passe une année calme, partant parfois de mon côté, quand j'ai des problèmes de filles, enfin surtout le gros problèmes de filles qu'on a tout les mois, parce que dans ces moments là, je pourrais taper tout mes camarades, alors je m'éloigne. Je m'amuse de mes camarades qui ne comprennent pas que je peux devenir encore plus folle et caractérielle, dans ces moments, le nombre de mes retenues augmente de plus en plus. Les vacances sont calmes, comme toujours pleines de dîners, de galas, de bal, une horreur, seul changement, je suis noyée sous les cours de potion et de botanique, mon père n'aime pas mes résultats pitoyable dans ses matières, je m'améliore un peu, mais vraiment pas de beaucoup.

Les choses changent en troisième année, Andromeda arrive, je me fais plus discrète, mais c'est pas la meilleure des choses, je me sens frustrée, j'ai la nette impression qu'elle m'espionne. Mes parents semblent satisfait de ne pas recevoir autant de lettre que les autres années, ce qui me fait presque rire, quand ils me disent que même comme ça, je ne rentrerais pas pour Noël. C'est pas que l'absence à la table de la famille à Noël me gêne, l'ambiance à Poudlard est même meilleur, surtout que je n'aime pas Noël, tout est froid, même si chez moi, c'est monnaie courante la froideur. Je suis presque soulagée de rentrer à la maison en cette fin d'année, en 1965, j'ai fêté mes quatorze ans à Poudlard, j'attends toujours que le verdict tombe, si mon futur époux est plus vieux que moi, il ne tardera pas, s'il est de mon âge, j'ai encore un an, mais si il est plus jeune, j'en ai encore plus, j'espère la dernière solution, j'aimerais vivre libre un ans après ma sortie de Poudlard ou plus, mais je peux toujours rêver, sauf si on me donne Lucius Malefoy et là, je crois que sauter de la tour d'astronomie sera le mieux que je puisse faire.

La quatrième année se déroula comme les autres, même si je me mis à regarder les garçons, ce qui ne me faisais pas grand chose, c'était juste les garçons, je cherchais qui allait devenir mon mari, je sentais que la décision était presque prise. En septembre, on obtient toutes les deux, avec Andromeda, une autorisation spéciale de sortie de Poudlard pour assister à l'enterrement de Lycoris Black, une des cousines de mon grand-père. J'y assiste par obligation. Heureusement, durant l'été, j'ai trouvé une autre motivation à ma vie, le maître, le Lord, le Seigneur des Ténèbres, ce qui m'évite de penser à ces fiançailles trop souvent, je vois la clé de ma liberté en cet homme tout en sauvant les idéaux sang pur. Comment je l'ai découvert ?À la maison, Père ne parle que de lui avec ses amis, enfin ses connaissances, les autres sang pur, il veut faire régner les sangs purs, nous mettre tout en haut de l'échelle. Il est devenu mon obsession, je me suis même fait mon abonnement à la gazette du sorcier, pour lire les dégâts qu'il fait dans le monde, je ressens un plaisir pur à lire les massacres qui se passent, la guerre qu'il met en place. Je n'ai parlé de cette obsession à personne, c'est mon secret, un jour, je ferrais parti des siens, de ses hommes, la seule femme au milieu des hommes, un héritier au féminin pour mon père.

À Noël en 1965, ma vie bascule, la réalité des traditions me rattrape. Mon cadeau de Noël est horrible, enfin, le deuxième cadeau, celui qui m'annonce que je dois me rapprocher de Rodolphus Lestrange car il deviendra mon mari dans quelques années, à ma sortie de Poudlard. Je monte à la tour d'astronomie, contemplant longtemps la lettre entre mes mains, ma sentence est tombée. Le jour que je redoutais le plus, la tradition que je redoutais le plus. Celle du mariage arrangée. Déjà très jeune, j'étais consciente que je ne voulais pas d'enfant., j'aurais voulut pouvoir vivre libre, sans mari pour me dicter mes actes. Là, cependant, c'était une demande muette que je donne des héritiers à la famille Lestrange, que je porte un enfant mâle, je sentis les larmes piquer mes yeux, mais je les empêchais de sortir, les Black ne pleurent pas, les héritiers ne pleurent pas. Je me vois plus comme une héritière pour mon comportement, mais bien comme un héritier, mon père l'a dit, je suis un héritier presque parfait, sauf que je ne suis pas un homme. C'est Rodolphus qui me retrouva celui que j'avais le moins envie de voir à l'instant présent, surtout que j'aurais préféré de loin être promise à un autre, Rodolphus et moi, on ne s'entend que dans la bagarre.

-Joyeux Noël, Bellatrix, furent ses paroles sans ton.

-Dégages, Rodolphus, je vais déjà t'avoir sur le dos toute ma vie, je dis en grognant.

Je ne lui ai pas laissé le temps de partir, je suis partie, une fois dans mon dortoir, j'envoyais ma réponse à Père, lui disant que j'étais ravie de savoir que j'étais promise à un homme dès maintenant, mais ce n'était que mensonge, je ne le faisais que pour suivre les traditions en lesquelles je croyais, en me disant que j'aurais largement préféré le petit frère, mais c'était pas aux enfants de choisir, mais bien à leurs pères. En quatre ans, j'avais bien changé depuis mon arrivée à Poudlard, mes cheveux étaient toujours noirs, bouclés, longs, mais je ne prenais pas le temps de les coiffés, mon masque avait changé, pour devenir railleur et provocateur en permanence. Mes formes étaient visibles, mes tenues se voyaient plus raccourcis par mes soins, leur donnant une allure provocante qui me coûtait beaucoup de retenues, surtout de McGo et des rappelles aux règles de mon père, mais c'était moi, mon identité et je n'avais pas envie de la cacher. J'avais aussi bien grandi, tout en restant dans les tailles normales des femmes.

La cinquième année, l'année des buses arrive, mais aussi l'arrivée de Narcissa à Poudlard, comme Andromeda et moi, elle est à Serpentard, digne descendante des Black. Mes pensées sont tournées ailleurs, vers mon obsession grandissante, j'en oublie même mes sœurs. Quand je n'étais pas en train de me battre, d'étudier pour mes buses ou en retenue, je pensais à Lui, je me l'imaginais, beau, grand, fort et froid, sans pitié et sans cœur, ça fait naître en moi une sensation que je n'ai jamais ressenti. J'évite au maximum les sorties à Pré-Au-Lard et Rodolphus quand je suis seule, je n'essaye pas vraiment de me rapprocher de lui, même si je le devrais, nos parents ont dit que lorsqu'on sort de l'école, on doit toujours être vu ensemble et comme un beau couple de fiancé, voilà la raison qui me cloître dans l'école, là, pas besoin de jouer les couples, on est juste les deux membres d'une bande qui cherche la bagarre. Mes résultats de buses mettent mon père de vraiment mauvaise humeur quand il les reçoit, cependant pour le coup, il ne peut plus rien faire, ce qui m'arrange bien, plus de potion, plus de botanique et plus de rune, un soulagement, il m'oblige cependant à prendre toutes les autres matières pour mes aspics.

La sixième année se passe bien, Rodolphus est en septième année, mais on continue à terroriser les Gryffondor, Poufsouffle et Serdaigle, nos relations sont seulement différentes, une gêne est entre nous, on évite de se trouver côte à côte, je reçois de façon fréquente des mises en garde de Mère, pas très sympathique, mais je fais avec, c'est surtout pour me dire que je ne dois être vu seule avec aucun garçon, que je ne dois pas laisser un garçon me toucher, que je dois être pure le jour de mon mariage. Plus elle me parle de ça et plus j'ai envie d'aller contre, quand un jour, elle m'annonce qu'Andromeda lui a dit qu'elle m'avait vu parler avec Rabastan tard dans la nuit dans la salle commune, j'explose, je me prends violemment la tête avec ma sœur, cette sale rapporteuse, je le fais en plein milieu de la grande salle, avant de partir vers ma salle commune. En chemin, je croise Rabastan, détestant ma sœur pour avoir prétendu que nous étions trop proche et ma mère pour croire que je briserais les traditions, je l'embrasse dans ce couloir, avant de m'éloigner, j'ai fait une grosse erreur, mais c'est rien, je lui demande de ne rien dire, il le fera, pour qu'on soit sauf tout les deux, il serait très mal vu si on apprenait qu'il avait embrassé la fiancée de son frère. À l'exception de cet incident, des efforts de ma mère pour me rendre folle et des essais que je fais pour me rapprocher de Rodolphus, l'année est comme les autres.

À la fin de ma sixième année, mes parents me regardent attentivement, comme s'ils cherchaient un changement en moi. Les Lestrange viennent souvent dîner, avec leurs deux fils, je ne dis rien, j'enfile une robe noire très courte avec des endroits en dentelles, lorsque je suis prête, je descends. Ils sont tous assis dans la salle à manger, je salue poliment l'assemblée, Rodolphus tire ma chaise et je m'assois. Les dîners complet tournent autour du mariage qui a lieu l'année suivante, pour que je finisse mes études en m'appelant Black, je les écoute sans donner de réponse, ce n'est pas à moi de dire ce que je souhaite. Je suis soulagée quand les Lestrange partent, je monte dans ma chambre, je reste là toute les nuits quand ils sont venus, éveillait, tenté de m'enfuir, de fuguer, mon mariage semble déjà horrible. Plus Mère et Madame Lestrange en parlent, plus je me sens mal, c'est le mélange des mariages qu'elles auraient voulu, tout ce que je ne voudrais jamais, même si on me donnait tout les gallions du monde. L'été est une horreur pour tout le monde, je passe mon temps dans la bibliothèque apprenant par cœur tout les sorts de magie noire, que j'essaye ensuite bien caché dans ma chambre, je sais que mon père n'apprécierait pas que je veuille devenir mangemort, mais je le veux et je le serais.

Avant mon départ pour ma septième année, mes parents me font venir dans le salon, ils me surveillent pendant que je salue Rodolphus, des salutations courtoises. Je passe ma septième année à m'amuser, comme dans le passé, même si Weasley et Prewett ne sont plus là, j'ai changé de victime préférée. Le pire reste les sorties à Pré-au-lard, je dois assister à toutes pour voir mon très cher fiancé, ce qui me fais ouvertement pas plaisir, je ne le cache pas, on est ensemble, assis à une table au trois balais, silencieux, attendant que le temps passe, parlant peu, juste des dernières nouvelles de la gazette. Alors, je m'arrange pour tomber très malade juste avant les sorties, comme ça, l'infirmière me garde de force à l'infirmerie et mes sœurs le préviennent que je suis malade et que je ne pourrais pas venir. À la mi-mai, quand durant la sortie à Pré-Au-Lard, la réalité me rattrape, Mère et Madame Lestrange m'attendant, pour une fois, pas de trace de Rodolphus, qui devait pourtant m'attendre dans la clairière qu'on voit de Poudlard pour parler (là où se trouve la cabane hurlante ensuite), Mère me transplane au chemin de Traverse, chez un tailleur, elle m'oblige à enfiler ma robe de mariée. Ma robe est simple, mais rose, très élégante, moulant mes formes sans être provocante, je ne l'aime pas du tout, je la déteste, elle sait que je déteste le rose, que j'ai horreur de cette couleur. Je retourne à Poudlard en transplanant juste devant les grilles comme j'ai mon permis depuis le mois de mai de l'année passé.

Me souvenant du rendez-vous avec Rodolphus, je vais à la clairière, il est assis sur un rocher, il relève la tête à mon arrivée, un petit sourire aux coins des lèvres, je sens que je vais m'amuser, je m'adosse à un arbre proche, attendant qu'il parle.

-Bella, tu ne pourras pas me détester à vie, je l'ai pas plus choisi que toi ce mariage.

-Je sais, Rody, mais j'en ai marre de voir ta gueule à chaque sortie, c'est pire que si on était déjà marié.

-Dans un peu plus d'un mois, on le sera. Tu pourrais faire un effort, jouer le jeu. Tu vas passer ta vie dans un manoir, à attendre que le temps passe, tu devrais en être enchanté.

-On va s'arrêter là, je suis pas ton animal de compagnie que tu mettras en cage dans un manoir, sinon tu en feras les frais. On se revoit au mariage.

Je m'en vais en le laissant là, si déjà il commence à me traiter comme une femme commune, nos relations vont commencer à devenir vraiment très tendues. Je sens que l'annonce que je veux devenir mangemort va le faire sauter au plafond, au moins, on aura un peu d'animation au manoir. Je passe la fin de mon année en comptant les jours qui me restent avant qu'on ne m'arrache la relative liberté que j'ai à Poudlard. La fin de l'année arrive trop vite, le dernier retour du Poudlard Express avec moi à l'intérieur et le début de ma vie de femme.

De Black à Lestrange, de femme à mangemort.

Deux semaines passent avant mon mariage, j'ai le plaisir de ne pas voir mon futur époux. Le jour venu, à huit heure du matin, je suis dans une chambre au manoir Lestrange, avec toutes mes affaires, ma robe m'y attend, je regarde autour de moi, c'est moche. Les murs sont bleus, le lit grand avec des draps blancs, une vieille armoire, tout est vieux, je déteste ça, je m'assois sur le lit, mais fissa Mère et ma future belle-mère Madame Lestrange m'obligent à me lever, m'ordonnant de prendre une douche, je mis rend en silence. Je prends ma douche, faisant durer le moment le plus longtemps possibles, mais au bout de vingt minutes, on me rappelle à l'ordre, je sors de l'eau chaude et je me drape d'une serviette, je sors dans la chambre, je demande mes vêtements à ma mère qui me donne que mes sous-vêtements. Je les enfile dans la salle de bain, ils sont de la même couleur que ma peau, simple, tout ce qu'il y a de plus banale, même s'il y a de la dentelle sur la culotte. Je ressors après avoir mis une serviette pour maintenir mes cheveux mouillés et remis la serviette autour de mon corps. Rapidement, je dois tomber la serviette devant Mère et Madame Lestrange, je déteste ça, j'aime provoqué, mais là, on me demande de la soumission, de montrer mon corps, même si j'ai des sous-vêtements. J'enfile la robe, presque heureuse de la voir, ma mère passe deux heures par la suite à me coiffer, s'énervant contre les nœuds ayant presque sept ans, pendant que Madame Lestrange me maquille, je me retiens de pleurer quand je me vois dans le miroir, je suis horrible, si différente de moi-même.

Mes cheveux ont été relevés en un chignon stricte et serré, mes yeux sont maquillés d'un rose pâle comme mes lèvres, on a mis de la poudre magique sur mes joues pour qu'elle semble rosit. La robe me moule encore plus que dans mes souvenirs, mais je lui accorde qu'elle met ma poitrine en valeur et la forme de mon corps. J'ai pas vraiment le temps de réfléchir que je suis mise au bras de Père, on passe dans l'allée crée par les chaises des invités, tout les sangs purs dignes de ce nom de Grande-Bretagne et même des cousins lointains d'autres pays, j'arrive en face de Rodolphus qui même s'il ne m'aime pas prend ma main comme il en est coutume et l'embrasse. La cérémonie se passe rapidement fort heureusement, elle est suivit d'un banquet, tout le blabla est dit, les félicitations de rigueur, le souhait qu'on perpétue rapidement les lignées. J'ouvre le bal avec Rodolphus comme le veut la coutume, puis je danse avec Père et avec mon beau-père, puisqu'il s'agit des seuls hommes qui ont le droit de danser avec moi, même si ce n'est pas dit clairement. C'est tard dans la soirée, après le second banquet que nos parents nous poussent presque dans la chambre dans laquelle j'ai été préparé, j'ai très envie de courir, je sais que je ne le peux pas, il faut après tout, consommer le mariage et essayer de faire un héritier. Je m'étonne de ne pas être gênée quand je me retrouve nue face à un Rodolphus nu, mais le reste est du domaine du privé.

À partir de ce jour, je vis au quotidien avec la famille Lestrange, dont je fais parti, j'aime pas ce manoir, mais je dois faire bonne impression. Je trouve néanmoins toutes les excuses du monde pour rentrer chez moi, comme parler avec mes sœurs, sortir faire les boutiques avec Narcissa, voir des amis, ce dernier point est un pur mensonge, que Rodolphus sait en être un, mais il ne m'en empêche pas. Les premiers mois sont étranges à mes yeux, j'ai beaucoup de mal avec ce nouvel environnement, en octobre, un soir, Rodolphus rentre en se tenant le bras gauche, je comprends tout de suite, j'ai entendu parler de la marque des ténèbres, de sa marque, à Lui, l'homme qui habite mes pensées et m'a fait choisir une vie d'homme et non celle d'une femme. J'emmène Rodolphus dans la chambre que nous partageons, je soulève sa manche. Elle est là, la marque, aussi magnifique que je me l'étais imaginé, un crâne avec un serpent qui sort de ce qui était la bouche de ce crâne. Je ressens une forte jalousie de voir que Rodolphus l'a reçu avant moi, que Rodolphus l'a rencontré avant moi. Même si ça reste logique, il a quitté Poudlard avant moi. Je me mets pourtant en colère, la jalousie me fait réagir ainsi, les paroles sortent de ma bouche sans que je ne les contrôle.

-Je la veux, je veux le rencontrer.

Ces simples mots signent notre première dispute, il arque que je suis une femme, juste bonne à porter un héritier et à rester à la maison, prise de colère, je lui lance un doloris, je le regarde se tordre de douleur au sol, sentant un plaisir indescriptible quand il crie là à mes pieds. Je retire le sort avant de quitter le manoir, je transplane dans l'allée des Embrumes et je rentre dans un bar, je prends soin de rabattre ma capuche avant, je m'assois seule à une table et je commande un verre de whisky pur feu, je le descends d'une traite et j'en commande un second, un homme m'observe avec un sourire sadique et froid au fond de la salle, n'aimant pas la façon dont il me regarde, je prends mon verre, me lève, je vais m'asseoir en face de lui, pointant ma baguette sur lui sous la table pour ne pas trop me faire remarquer. Et pour éviter une bagarre générale, dont j'aurais peu de chance de ressortir avec ma capuche toujours rabattu sur ma tête.

-T'as un problème toi, t'es qui pour regarder une Black comme ça.

-Communément, l'homme que tu cherches. Il me semble que tu es une Lestrange, claque la voix et j'adore cette voix autoritaire, froide et grave.

-Je suis mariée, alors je ne cherche pas d'homme. Une Black reste toujours une Black.

Il me donne juste des coordonnées et s'en va, il a touché un point, je suis assez curieuse, il semble savoir très bien que je veux rencontrer le Seigneur des Ténèbres, je ne sais pas pourquoi, surtout que je n'ai que vu sa bouche, le reste étant caché. Je bois encore un verre de whisky pur feu, avant de me décider à transplaner aux coordonnées données. J'arrive dans un endroit sinistre, mais je ne ressens aucune peur, l'homme du bar sort de l'ombre et se présente comme le maître, je m'excuse pour la façon dont je l'ai traité et il me demande pourquoi je veux tant le rejoindre, moi, une femme. Je lui donne une opinion, claire, je ne veux pas être juste comme toutes les autres femmes qui pouponne et traîne, je veux de l'action dans ma vie, de la douleur, de la torture, du sang, me battre pour une cause juste. Il m'écoute, je panique quand il ne dit rien plusieurs minutes après que j'ai terminé de parlé. Je lève les yeux, il a retiré sa capuche, je m'accroche tout de suite à son regard rouge, je suis hypnotisée, simplement et complètement hypnotisée, je quitte ses yeux, il a les cheveux noirs, les traits durs, tout son visage n'exprime que froideur et sadisme, pourtant mon corps semble aimer ça, j'ai le cœur qui bat tellement vite qu'il pourrait sortir de ma poitrine. Je remarquerais plus tard que mon patronus a changé depuis ma dernière année, passant d'un nundu à un serpent géant, depuis je le cache avec grand soin.

Il me dit de revenir la nuit prochaine, au même endroit, qu'il trouvera bien quelqu'un pour m'expliquer les règles et juger si je peux ou non être une recrue acceptable. Le lendemain, il me met entre les mains d'un mangemort, Avery, j'écoute ce qu'il me dit avec attention, avant de simplement dire que je veux faire mes preuves et pas tourner autour du pot avec des explications, il me rit au nez et je cris un endoloris qu'il esquive, il me regarde riant toujours, avant de dire qu'il va voir ce qu'il peut trouver à faire faire à une femme. Je le mets au défi, d'un duel, si je me bats assez bien, il me fait entrer dans le cercle des mangemorts et me faisant passer les épreuves, si je ne fais pas mes preuves, je m'en vais et je le laisse tranquille. Il accepte, sûrement ne supportant pas de me voir le provoquer, moi, une femme.

Deux semaines plus tard, le fameux duel à lieux, mais il a fait venir le Maître pour juger, plutôt le maître a dû venir pour faire le juge. Je me bats au meilleur de mes capacités, mes motivations sont d'assez l'impressionner pour qu'il me donne la chance de faire réellement mes preuves. C'est sans dire un mot qu'il s'en va, Avery part quelques instants plus tard, je reste encore deux minutes, le temps de soigner la plaie que le mangemort a réussi à me faire au bras droit. Je rentre, je me couche dans ma chambre, nous avons d'un commun accord muet accepté le fait de ne pas dormir ensemble Rodolphus et moi, ou vraiment que très rarement. Pendant trois jours, je commence à perdre espoir, quand un matin un hibou me porte une lettre, Rodolphus veut la lire avant moi et je lui fais savoir d'un regard qu'il a pas intérêt à le faire, j'ouvre ma lettre, c'est une invitation à la prochaine réunion de mangemort, il est dit que c'est trois jours plus tard, que je devrais rejoindre Avery dans la clairière sinistre, qu'il me transplanera au lieu de rendez-vous.

Pendant les trois jours suivants, je suis la plus souriante des femmes, mes beaux-parents croient même que je suis tombée enceinte, mais je ne démens pas, je suis sur mon petit nuage à moi. Je vais devenir un mangemort, je vais servir le maître et surtout je vais le revoir, encore une fois, encore plein de fois. Le soir de la réunion, j'enfile une robe provocante, celles qui ont remplies mon armoire, elle est noire sans manche, avec de la dentelle sur le décolleté, un vêtement merveilleux, très bien même pour un duel, j'enfile des hautes bottes à lacets avec cinq centimètres de talons, puis je passe un cape dont je rabats la capuche. Je retrouve Avery qui m'attrape le bras et on transplane, la salle est pleine d'homme masqué et encapuchonné, avant même le début de la réunion, mon Lord fait venir une famille moldu, il y a la mère, le père, les deux fils et la fille. Il m'appelle, j'entends les petits cris étranglés quand les hommes entendent mon nom, Black, je les vois se regarder entre eux, cherchant à savoir qui de ma famille a pu rejoindre le Lord sans mettre ses amis au courant. Je m'avance vers l'endroit où il se trouve, dos au mangemort, seulement séparé de mon maître par la famille moldu, il est assis sur un trône, la pièce est sombre, mais il est toujours aussi beau. Je pose un genoux à terre, baissant la tête une seconde avant de le regarder dans les yeux.

-Maître. Que puis je pour vous ?

-Tortures et tues cette famille, Black et tu auras ta marque.

Je ne me le fais pas dire deux fois, je torture la famille en commençant par la petite fille, je déteste vraiment les enfants, je les tue, en finissant par le père de famille. Mon maître me fait ensuite le plus beau cadeau du monde, il appose sa marque sur mon bras, me touchant de sa baguette, quand il se met à siffler, parlant fourchelang, je sens un frisson me parcourir, mais je ne sais ce qu'il représente, je sais juste que c'est gênant devant lui. Depuis ce jour, je le sers, en faisant en permanence mes preuves, faisant de mon mieux pour grimper les échelons, pour me rapprocher de ses plus intimes, je me montre impitoyable quand je suis en raid, respectueuse pendant les réunions et perfectionniste quand il m'envoie en mission. Ma signature devint rapidement le sortilège Doloris, mon petit préféré, mon chouchou, mon petit sort, le sort qui me fait me sentir si supérieure, si proche du but, si proche de la victoire de mon maître.

L'adaptation dans le monde des hommes a été complexe pour moi, une femme. Comme les autres, mon maître m'a donné un masque pour cacher mon visage, mais je ne m'en cache pas aux réunions, je suis bien l'une des seule personnes à montrer ouvertement mon visage, les autres ne sont tous que des lâches, disant qu'ils veulent faire de notre monde un monde meilleur sans montrer leurs visages devant leurs alliés, ils me dégoûtent. Enfin, on en était à l'intégration, c'est un duel au quotidien, je me bats assez souvent avec mes camarades qui n'acceptent pas la présence d'une femme, heureusement que je suis très douée en duel et que je me débrouille très bien avec la torture. À Noël de l'année 1969, mes parents ont invités les Lestrange à venir, dont mon mari et moi, ainsi que Rabastan. Je retrouve Cissy deux heures avant le dîner, je porte comme toujours une robe avec des longues manches, comme je n'ai pas annoncé à mes parents que j'avais rejoint le Seigneur des Ténèbres.

Le repas se passe bien, même si entre Rodolphus et moi, c'est toujours tendu, depuis que j'ai pris la porte le soir où il a reçu sa marque, encore plus depuis qu'il a appris que je lui ai caché que j'allais la prendre et que je l'ai. Quand mon père oriente la conversation de ce côté, je retiens mon souffle, je sens que les choses vont mal tourner, j'ai raison, mon mari me lance un regard noir, puis un grand sourire qui ne présage rien de bon.

-Bella, pourquoi tu ne donnes pas ton avis, tu aimes tellement le servir.

-Bellatrix Black, ta place n'est pas au combat, c'est la place des hommes, tu es faîtes pour rester docilement à la maison, pour attendre ton mari quand il rentre du travail et pour porter l'héritier des Lestrange, hurle ma mère.

-J'ai fait mon choix, j'ai vu ce que ça donne de rester à la maison à attendre que les choses se passent. Je veux agir, aider le maître à accomplir les changements de notre monde, nous mettre, nous les seuls personnes méritant de vivre dans le monde sorcier et de le diriger au pouvoir. La vie de femme au foyer n'est pas pour moi et ne le sera jamais.

La dispute se poursuit ainsi pendant plus d'une heure, mes beaux-parents et Rodolphus mettant leurs grains de sel dans la querelle familiale, mon père reste étrangement silencieux. Il ordonne le cessé le feu, avant d'annoncer à Narcissa qu'elle épousera Lucius Malefoy, ma sœur donne les réponses de convenances. Je comprends que mes parents ont décidé de faire de nos fiançailles un cadeau de Noël, je sais que Andromeda n'a pas encore reçu le sien. À la fin du dîner, on rentre au Manoir Lestrange avec les Lestrange, je prends ma chambre, on a décidé depuis peu qu'il serait plus simple pour nous de faire chambre à part avec Rodolphus, ce qui est pour mon plus grand plaisir. J'aime dormir seul et depuis notre dernière nuit ensemble, en tant qu'amant, je me sens assez gênée, tout le temps que j'étais avec Rodolphus, je n'ai que pensé à mon maître, j'ai pris plus de plaisir que jamais. Je n'arrive pas à comprendre ce qu'il m'arrive, je suis mieux loin de lui.

L'année 1970 s'amorce, j'assiste aux réunions de mangemort, me plaçant le plus loin possible de mon mari, ce qui n'a échappé à personne. Je vais dans l'allée des embrumes, achetant les derniers livres de magie noire, voulant tout savoir, être capable de lancer tout les sorts. D'un autre côté, je prends aussi les livres de soins, je me débrouille pour apprendre à les lancer sans blessé, après tout, avec la profession que j'exerce, je pense qu'il est mieux de savoir se soigner par soi-même, on ne sait jamais si un jour, je dois m'échapper ou si je pars en mission et que je suis blessée, il me faut être capable de pouvoir continuer même affaiblie. En mars, je reçois une lettre de Rabastan, il me demande de le présenter au maître quand il aura terminé Poudlard, j'accepte, pour notre semblant d'amitié, parce qu'il est mon beau-frère, mais surtout parce que je sais que Rodolphus va hurler en apprenant que son frère a préféré me demander à moi plutôt qu'à lui de le présenter. Après une réunion, mon maître me demande de rester, je suis stressée, gênée et mon corps bat tellement vite que je crois qu'il va s'arrêter sur le champs à force d'avoir trop travailler, que je vais mourir là, seule en tête à tête avec mon maître.

-Ton esprit est trop ouvert, tu vas apprendre les bases de l'occlumencie.

-Oui, Maître.

-Va-t-en, tout est dit.

Je fais une légère révérence et je quitte la salle de réunion, une fois sortit, je transplane dans l'allée des embrumes, je sais qu'il est prêt de deux heures du matin, mais j'ai besoin de boire, une chose que je ne peux faire au manoir sans passer pour une mauvaise femme. Je rentre dans le bar où j'ai rencontré mon maître, je m'assois à la table du fond, celle où je l'ai agressé et je commande une bouteille de Whisky Pur Feu, je suis devenue une habituée de l'endroit, quand la vie au manoir Lestrange me pèse trop, je viens ici. Je bois un premier verre, l'occlumencie, je dois apprendre l'occlumencie, j'en ai déjà entendu parlé, c'est de la magie de l'esprit, c'est la capacité à fermer son esprit aux autres. Alors mon maître est légimens, sinon il ne m'aurait pas ordonné d'apprendre l'occlumencie, comme il ne pourrait pas savoir que mon esprit est complètement ouvert. Je passe le reste de la nuit dans le bar, buvant tranquillement ma bouteille, je rentre à six heure du matin au manoir, je me couche avec un mal de tête atroce et les idées plus très clair.

Les mois passent, j'essaye d'apprendre l'occlumencie dans le plus grand secret, Rabastan rentre de Poudlard, il m'embrasse (dans le sens la prendre dans ses bras.) quand nous sommes seuls et on parle de son année, puis je lui demande ses motivations pour devenir mangemort, il me les énumère, elles sont relativement similaires à celle de tout les autres. Je ne le fais pas remarquer, mais je le pense, quand je lui dis que j'en parlerais au maître, je vois une étincelle dans ses yeux. Je dois attendre sept jours avant de pouvoir en parler à mon maître, j'ai une mission à finir avant, je profite qu'on soit seul dans son bureau quand je fais mon rapport pour lui toucher deux mots à propos de Rabastan. Il accepte de rencontré mon beau-frère, qui est marqué un plus tard, comme je l'avais prévu, Rodolphus fait une scène du tonnerre en apprenant que j'ai arrangé l'entrée de son frère chez les mangemorts.

L'année suivante, c'est-à-dire en 1971, je me fais une bonne place chez les mangemorts, arrivant par mes réussites à me retrouver très bien placé dans les rangs de mon maître, une place qui dérange, j'entends toutes les rumeurs me poursuivre, comme quoi je suis la maîtresse du maître, que je couche pour parvenir à mes fins, que je n'ai ma place que parce que j'écarte les jambes, mais je l'ignore. Au fond de moi, une petite voix me dit que j'aimerais que la partie amante soit vraie, mais je lui ordonne de se la fermer, je n'aime pas mon maître, je suis mariée, je suis fidèle à mon mari et je n'ai le droit d'être attirée par personne. Deux choses horribles se produisent cette année là, la première, ma sœur, Andromeda quitte le manoir, trahis la famille en partant avec un sang-de-bourbe, elle n'a qu'une chance, c'est que je ne l'ai plus jamais recroisée, sinon je lui aurais fait la peau sur le champs, même si c'est en plein milieu du Londres magique et devant les aurors, je la tuerais si je la vois. J'ai moi-même eu l'honneur de brûler son nom de la tapisserie familiale, surtout parce que ma mère pleurait sa fille disparue et que mon père utilisa ceci comme des excuses pour son comportement froid depuis la prise de ma marque. La seconde choses horribles, c'est l'entrée d'un Black à Gryffondor, mon cousin, Sirius Black III a été envoyé à Gryffondor, il a fait un affront à la famille Black, un très gros affront, surtout que la famille n'est déjà pas très calme depuis que nous comptons une traîtresse, j'espère simplement pour lui qu'il ne suivra pas le chemin de cette disparue, sinon c'est moi qu'il aura dans son ombre, prête à le tuer à la première occasion.

Mon occlumencie s'améliore de jour en jour, je crois, je ne sais pas trop, mais je l'espère. Je me sens de plus en plus bizarre en voyant mon maître, quand les autres tremblent de peur quand il siffle, je frissonne, je sens tout mon être demander qu'il continue. Quand il me parle, je voudrais qu'il ne s'arrête jamais, qu'il me parle toujours, je suis loyale et fidèle, à Lui, à cet homme, il pourrait me demander tout ce qu'il veut, je le ferais. En 1972, mon cousin, Regulus entre à Poudlard, il est envoyé à Serpentard, Narcissa m'envoie des lettres en me parlant de Sirius, elle joue mon espionne, puisque mon oncle et Père ne m'en diront jamais rien, mais je suis la mieux placée pour tuer ce traître, si il trahit et il est en très bon chemin pour le faire. J'oublie ce qu'il se passe à Poudlard quand je me bats avec l'Ordre du Phénix ou les aurors ou tout simplement quand je suis avec mon maître ou que je travaille pour lui. Je me fais de belles cicatrices en combattant, mais ce n'est rien. Depuis sa sortie de Poudlard, Lucius Malefoy nous a rejoint, mon bientôt beau-frère, je vois qu'il craint autant qu'il admire notre maître.

L'année 1973 est presque calme, ma sœur quitte l'école, se marie, un mariage qu'elle ne semble pas autant haïr que moi j'ai haïs le mien, ce qui est une relative bonne chose, maintenant qu'elle est la seule sœur qui me reste, nos liens sont plus forts, j'ai tout fait pour qu'elle suive le droit chemin, qu'elle ne se détourne pas à cause des deux traîtres de la famille et elle le fait parfaitement bien. Cette année signe aussi la déclaration claire que je ne ferais pas d'héritier aux Lestrange, Rodolphus a compris très clairement que les seuls potions présentes dans ma table de chevet étaient celle de contraception, que j'en prends une tout les jours. Comment en est il arrivé à venir fouiller dans ma chambre, c'est une bonne question, je crois que c'est parce que depuis un an, il veut vraiment plus que tout trouver un moyen pour que j'arrête de travailler pour le maître, ma présence gêne son ego, me montre comme la personne qui porte la culotte dans notre couple, ce qui est le cas. Je l'ai trouvé un après-midi que je devais sortir avec Narcissa, mais devant annulée pour une raison que j'ai pas demandé, je suis repartie de chez ma sœur, il était là, la tête dans mon armoire, cherchant je ne sais quoi, quand il m'a entendu, il est sorti en vitesse.

-Je ne te dérange pas au moins ? J'ai claqué froidement.

-Ce qui me dérange, c'est ça, a-t-il hurlé en montrant les potions.

-Et pourquoi, je veux pas d'un marmot braillard, je veux ma vie pour servir mon maître, rien de plus rien de moins. Comme elle est actuellement, elle me convient parfaitement.

-Tu me dois un héritier, on est marié, on doit faire vivre nos lignées après notre mort.

-D'une, je ne te dois rien, on est marié, on a consommé le mariage, nos relations s'arrêtent là. Il serait mieux de faire vivre nos lignées, mais j'ai pas envie de passer neuf mois enfermé ici, à porter une chose que je ne désire en aucun cas. Si on te pose des questions, tu n'as qu'à dire que je suis stérile, un point c'est tout. Sors de ma chambre et que je ne te reprenne pas à fouiller.

Cet homme finira par mourir de ma baguette s'il n'arrive pas à suivre ce que je décide, j'ai toujours des droits, je ne suis pas son esclave simplement parce que l'on est marié. D'accord, le mariage voudrait que je l'écoute, mais je me serais déjà suicider si j'avais dû suivre ses volontés, je suis beaucoup mieux ainsi, à faire ma vie comme je l'entends sans aller contre les traditions. Depuis deux ans, maintenant, nos relations sont devenues plus cordiales, avec Rodolphus, il arrive souvent que l'on fasse nos raids ensemble, avec Rabastan en plus, on a tout les trois la même philosophie, la même envie de tout faire pour le maître, d'être les meilleurs, d'être des pièces maîtresses dans sa conquête du monde, en claire, la même fidélité sans faille. Même si la mienne est teinté de plus de sentiment que je ne peux comprendre que je ne le voudrais. L'année 76 est bien entamé maintenant, durant l'été, un petit jeune nous a rejoint, Severus Rogue, spécial comme gamin, pas plus intéressant que ça, un sang-mêlé d'après moi, mais dans le fond, j'ai appris par Evan Rosier, mon cousin avec qui je suis en contact qu'il avait toujours des déboires avec les maraudeurs, le groupe dans lequel le traître de la famille est, il en est devenu plus intéressant, l'ennemi de mon ennemi est mon ami. Même si ami est un grand mot, mais qu'il déteste Sirius Black me le rend plus aimable, il n'en reste pas moins un gamin. Je ne lui ai jamais adressé la parole, je suis trop bien placé pour parler aux petits mangemorts, surtout que je me dois de toujours être dure devant les mangemorts, je suis toujours surveillée, je sais qu'aux moindres faux pas, mes camarades n'hésiteront pas à me descendre complètement pour avoir ma place, pour ne plus avoir une femme mieux vu qu'eux. Je reçois un objet à garder par mon maître, que je range en sécurité dans mon coffre à Gringotts avec un sort dessus.

Jusqu'en 1979, je travaille mon occlumencie en cachette, j'ai aussi gagner complètement le respect des mangemorts, ce qui est une bonne chose, je ne suis plus la femme qui prend une place d'homme, mais presque l'équivalent d'un homme à leurs yeux. En 1980, j'accueille froidement la naissance de mon neveu, mais il n'est pas intéressant pour moi, il est trop petit, pas en âge de commencer à être formé pour être mangemort, alors rapidement, je m'en détourne, prenant fréquemment des nouvelles de ma sœur, mais préférant me consacrer à mon maître, cet homme qui a changé ma vie. Je cherche sur les ordres de mon père deux enfants à partir du mois de juillet, puis il me dit d'arrêter, je ne comprends pas pourquoi, mais j'accepte sans poser de question. Lorsqu'il disparaît en octobre 1981, je comprends, pensant qu'il est toujours vivant, je me rend chez les Londubat, avec Rodolphus, Rabastan et Bartemius. On se fait capturer par les aurors, par ma faute, je veux à tout prix retrouver mon maître, ignorant tout ce qui peut m'entourer. C'est ainsi que l'on finit en audience au ministère avec mon mari, mon beau-frère et Barty, je revendique haut et fort mon appartenance, je n'ai rien à perdre et surtout, je défendrais mon maître jusqu'à ma mort, je mourrais pour lui.

Je suis presque joyeuse quand j'arrive à Azkaban, puisque je suis accueillie par les hurlements de Sirius, qui semble ne pas supporter les détraqueurs, ma cellule se trouvant juste en face de la sienne, j'ai ce petit plaisir plusieurs fois par jour, quand je ne suis pas moi-même trop proche des détraqueurs. Pendant quinze ans, la vie n'a pas été de tout repos, me rendant plus folle, plus cruelle, plus sadique et surtout plus déterminée. Pendant tout ce temps, j'ai cherché un moyen de m'évader, d'aller le retrouver, hurlant de rage en entendant parlé de l'évasion de ce traître à son sang que représente mon cousin. Ma joie en découvrant la marque réapparaître peu à peu, plus foncé que par le passé, avec la frustration de ne pouvoir aider mon maître pour son retour. J'avais toujours l'intime conviction qu'il me sortirait de là, ainsi que tout mes camarades mangemorts et il l'a fait. Ce 14 janvier de 1996, je m'en souviendrais à vie, même si mon état n'était pas des meilleurs, ma force me venait de mes idéaux, de mon Lord.

J'ai repris ensuite ma vie où je l'avais laissé, avec Rodolphus et Rabastan, ce lien familial renforcé par Azkaban, par cette expérience commune. Retrouvant aussi avec beaucoup de plaisir Narcissa, avant de lui faire des reproches sur la manière dont elle a éduqué son fils, le couvant trop, le rendant faible, moins digne d'être mangemort que s'il avait été élevé sans l'amour d'une mère. Lors de la bataille du département des mystères, je réalise un de mes plus grand rêve, tué l'un des traîtres à mon sang, Sirius Black, même si l'amertume reste, je n'ai pas pu prendre le temps de le torturer avant de le tuer. Je ne peux pas changer ça, ce que je regrette un peu, mais pas longtemps. Déjà je pars en hurlant de façon répétitive dans tout le ministère "J'ai tué Sirius Black!". Potter me suit en courant, il me lance un doloris par derrière, mais le rate, même si quand je me retourne au sol, quand je croise son regard, je suis certaine qu'il y serait arrivé en le relançant. Je me rendis compte quelques minutes plus tard que c'est mon maître qui tentait de l'inciter à le faire, je ris à gorge déployée. Quand Dumbledore arriva et entama son duel avec mon maître, j'en profitais pour prendre la poudre d'escampette en passant par une cheminée. J'arrivais directement au manoir Malefoy, lorsque mon maître revint, il me punit pour n'être pas resté, mais je me l'acceptais.

Au retour de mon neveu à la fin de l'année à Poudlard, je le formais à devenir un parfait mangemort, puisqu'il reçut la marque, je dus aussi lui apprendre l'occlumencie, pour qu'il se protège de Dumbledore durant l'année scolaire. Je vais également avec Narcissa chez Severus Snape pour lui faire faire un serment inviolable qu'il protégera mon neveu et accomplira sa mission s'il ne s'en montre pas digne. Un fait, le jeune blond ne s'en montre pas digne au moment de le faire, n'ayant montré que de la dignité en nous faisant entrer à Poudlard mes camarades et moi pour assister à sa mission. Après cette mission qui n'est pas un franc succès, je m'échappe sans vérifier que mes camarades me suivent, je transplane au quartier général et là, je les vois venir. Durant l'été 1997, je participe à un raid au Terrier, le domicile des Weasley, durant le mariage de l'un des nombreux enfants de la fratrie. Je travaille assidûment pour mon maître, qui a pris le pouvoir du ministère et de Poudlard, ce qui lui donne déjà le monde, à mes yeux, il ne reste qu'à soumettre les sorciers contre nous ou les tuer. En novembre 1997, mon coffre à Gringotts est attaqué, je vais constater les dégâts et il ne manque qu'une chose, la coupe que mon maître m'avait confié. Je vais le voir directement en rentrant, sa rage déborde et il me punit sans se contrôler, mais je le mérite, même si après cette punition, mon corps tremble pendant plusieurs heures, mais j'arrive à me déplacer, plus par fierté qu'autre chose. Je fais tout pour retrouver la confiance de mon maître, parce que je sais que les erreurs de mon neveu et de Lucius, ainsi que les quelques petites que j'ai faîtes, ont conduit à ce que tout ceux liés par le sang à moi soient en disgrâce.


Dernière édition par Bellatrix Lestrange le Mer 11 Sep - 11:28, édité 1 fois
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Charlie Weasley
Charlie Weasley
ADMIN ❖ we are the champions
≡ ton pseudo : sweet poison.
≡ hiboux envoyés : 5700
≡ date d'arrivée : 15/01/2013
≡ tes points : 50 points.
≡ ta disponibilité rp : free 1/3 (elladora + abraham).
≡ ton avatar : richard madden.
≡ tes crédits : rose red (avatar).
Bellatrix Lestrange. Tumblr_nlmij4kiVD1qjemobo1_250
≡ âge du perso : vingt-cinq ans.
≡ amoureusement : célibataire.
≡ son emploi : soigneur de dragon à gringotts.
≡ statut de sang : sang-pur.
≡ sa maison : gryffondor.
≡ niveau d'études : études terminées avec six buses et six aspics.
≡ sa baguette : sa baguette magique est en bois d'ébène. Elle mesure 22,5 cm et contient un poil de licorne.
≡ son patronus : un ours.
≡ son amortencia : ....
MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeMar 10 Sep - 22:40

Bienvenue, bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions n'hésite pas :red:
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MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeMar 10 Sep - 22:47

Merci.
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MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeMer 11 Sep - 10:38

    Welcome :)
    J'adore Bella :please: 
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MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeMer 11 Sep - 12:23

BELLA :wof: :
Bienvenue sur Pi I love you
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MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeMer 11 Sep - 12:52

Merci.
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MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeMer 11 Sep - 17:24

Bellaaaaaaaaaa :red: :red: Quel bon choix de personnage :bave: 
Bienvenue parmi nous !
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MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeMer 11 Sep - 18:35

Merci.
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MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeJeu 12 Sep - 8:58

Bienvenue parmi nous Samual ! Quelle présentation ! Je lirai tout ça quand j'aurai plus de temps !
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MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeJeu 12 Sep - 10:36

J'aime beaucoup ta fiche :puppy: je te valide :angel: 


— bravo, fiche validée ! —


TE VOILA LANCÉ DANS L'AVENTURE DE PI !
C'EST QUE TU ES MOTIVÉ DIS DONC ! Alors en cadeau, tu as le droit à un sourire de Snape (ou pas hein, :mdr:). Délire passé, je t'ajoute à ton petit groupe, de ton côté, pense à faire toutes les démarches nécessaires à ton arrivée sur le forum et il y en a, à faire :
Pour aider à la bonne marche des répartitions et du forum tout simplement, n'oublie pas non plus de recenser la maison et le rang de sang de ton personnage : ça peut toujours aider, et si tu as soudainement alzheimer, tu pourras toujours revenir dans ce sujet pour voir où se situe ton personnage. Petit bonus du hors jeu, tu auras bien entendu la possibilité de créer un scénario pour ton personnage, sans oublier de recenser l'avatar de celui-ci également (a). Pense aussi a remplir ton profil, au moins la partie concernant le personnage histoire que les autres membres puissent savoir son âge, sa maison et compagnie rapidement (a) Ceci dit, le remplir en intégralité, c'est encore mieux

Dans le monde de la magie, si ton personnage est un adulte, pense à recenser son emploi ainsi que sa place dans l'ordre du phénix s'il en a une. Ensuite si ton personnage est un élève érudit ou un adulte, pense à recenser son patronus ou sa capacité spéciale (facultative). A Poudlard, ton personnage a la possibilité de faire partie de l'armée de Dumbledore ou des préfets ou de l'équipe de quidditch de sa maison, à toi de voir (a). Qu'il soit élève ou sorcier accompli, si ton personnage a toute une famille, n'hésite pas à poster dans l'annuaire des familles afin que celle-ci soit affichée comme ouverte à de nouveaux visages.

Outre cela, n'oublie pas que tu peux également faire gagner des points à ton actuelle ou ancienne maison et gagner des cartes chocogrenouilles, essentielles à l'avenir du jeu, grâce à ton activité. Donc n'hésite pas à te lancer de le rp, nous rejoindre dans le flood, voter sur les topsites et de laisser un petit mot ici :coeur:


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MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitimeJeu 12 Sep - 11:39

Merci.
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MessageSujet: Re: Bellatrix Lestrange.   Bellatrix Lestrange. Icon_minitime

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Bellatrix Lestrange.

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