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Moses Fleming
Moses Fleming
ADMIN ❖ we are the champions
≡ ton pseudo : MARY-W.
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≡ date d'arrivée : 05/04/2012
≡ tes points : 90 points.
≡ ta disponibilité rp : xx pris.
≡ ton avatar : mads mikkelsen.
≡ tes crédits : @odistole (avatar), tumblr (gifs).
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≡ âge du perso : quarante ans.
≡ amoureusement : immunisé.
≡ son emploi : professeur de sortilèges à poudlard.
≡ statut de sang : sorcier de sang-pur, noble jusqu'au bout des doigts, qui tient à la dignité de sa famille.
≡ sa maison : ancien gryffondor, un choix qu'il n'a jamais particulièrement compris ni accepté, tous les siens finissant normalement chez les serpentards.
≡ sa baguette : bois d'ébène, spécialisation en maléfices, longueur de trente-deux centimètres avec pour centre un ventricule de coeur de dragon.
MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeSam 3 Aoû - 0:21

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Maeron Rosier
Maeron Rosier
ADMIN ❖ we are the champions
≡ ton pseudo : sweet poison.
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≡ date d'arrivée : 04/04/2012
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≡ ton avatar : aidan turner.
≡ tes crédits : jukebox joints (avatar).
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≡ âge du perso : 30 ans.
≡ amoureusement : veuf d'un premier mariage, déjà fiancé de nouveau.
≡ son emploi : rafleur.
≡ statut de sang : sang-pur.
≡ sa maison : poufsouffle.
≡ niveau d'études : études terminées avec 11 buses et 10 aspics.
≡ sa baguette : bois de chataîgné, vingt-sept centimètres, crin de licorne.
≡ son patronus : il est incapable de créer un patronus suite au décès de son épouse, mais avant c'était un corbeau.
≡ son amortencia : l'odeur de la prairie, celle si familière des sucreries de chez honeydukes ainsi qu'une teinte de chocolat.
MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeSam 3 Aoû - 0:43

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Invité
MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeSam 3 Aoû - 1:22

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Melian Greengrass
Melian Greengrass
ADMIN ❖ we are the champions
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≡ ton avatar : eleanor tomlinson.
≡ tes crédits : @wildworld (avatar), tumblr (gifs).
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≡ âge du perso : vingt-six ans.
≡ amoureusement : mariée, techniquement, même si elle ne semble plus en porter le nom.
≡ son emploi : auparavant, elle travaillait à la ménagerie magique, désormais, elle est une fugitive.
≡ statut de sang : c'est une sorcière de sang-pur, d'ces sang-pur qu'on estime traitres pour ne pas se croire au-dessus des autres.
≡ sa maison : elle était chez les gryffondor; elle n'a pourtant jamais cru en son courage.
≡ sa baguette : baguette en bois de cyprès, avec une plume de phénix pour cœur, elle est spécialisée en métamorphose, et mesure approximativement vingt-sept centimètres.
≡ son patronus : il prenait la forme d'un geai, mais désormais elle ne peut plus en produire. rien d'autre qu'un vague amas argenté.
≡ son amortencia : la potion a toujours eu la senteur du grand air, un parfum d'ébène au creux de ses cheveux et du vieux bois.
MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeSam 3 Aoû - 1:45

Citation :
Blodwyn n’avait que rarement eu l’occasion de quitter la maison d’Elwood, depuis qu’elle y avait élu domicile. Elle n’en avait pas eu grandement envie, de toute manière, comme si elle avait pu croire que se couper du monde allait également lui permettre d’oublier sa tristesse, cette rage siégeant au fond de ses entrailles et la dévorant de l’intérieur. Grossière erreur, sans doute, tandis qu’entre les quatre murs de la petite maison, elle n’avait fait que les ressasser avec plus de force, plus de rage encore qu’elle ne l’aurait fait dans une vaste forêt, sous cette tente, si familière. Cette même tente sous laquelle elle ne voulait pas retourner, elle ne pourrait pas retourner sans qu’inlassablement, ses pensées se raccrochent à chacun des souvenirs qu’elle avait là-dedans, en compagnie d’Eamonn. Pas forcément les plus heureux de leur vie, certainement pas les plus malheureux, sans nul doute possible – juste, des instants comme ça, furtifs, volés à l’existence, arrachés au destin – des moments pendant lesquels son fiancé avait réussi à la faire sourire, à la faire rire, malgré les difficultés qui leur tombaient brusquement sur les épaules. Qu’elle amenait à eux, elle, la née-moldue, considérée d’office comme une traitresse, une voleuse de baguette bonne à jeter à Azkaban : la vie d’Eamonn aurait été bien différente, s’il n’avait jamais connue la jeune femme, s’il s’était marié avec une sang-pur – ensemble, ils se seraient contentés d’observer la guerre de loin, de continuer leur vie et ainsi de suite. Au lieu de cela, elle était celle qui se terrait, observait la guerre de loin en profitant des autres ; en profitant du sacrifice d’Eamonn. Il était mort, et elle se contentait d’être là, impuissante et insignifiante, pauvre petite née-moldue que tout le monde plaignait, mais que personne n’osait secouer – elle est en deuil, devaient se dire beaucoup de gens : elle l’était, et elle se détestait de porter cette peine comme un boulet à sa cheville l’empêchant d’avancer, l’empêchant de faire valoir sa vie. De lui donner une quelconque importance, rien que pour faire honneur au sacrifice de son fiancé. Au fond, elle ne savait pas, elle ne savait plus, ne saurait jamais – ce qu’il aurait pu attendre d’elle dans de telles circonstances, s’il aurait voulu que leur histoire se termine à la Romeo et Juliette, l’un incapable de vivre sans l’autre. S’il acceptait sans sourciller qu’elle reste là, parfaitement inutile, s’il pourrait comprendre un tant soit peu, ou s’il aurait préféré la voir se soulever de rage et remuer ciel et terre pour mettre fin à cette guerre qui avait déjà arraché trop de vies à ce monde. Elle savait, en cet instant, qu’Eamonn aurait pu trouver les paroles nécessaires à l’orienter dans ses propres songes, à déceler au fond d’elle-même ce qui pouvait valoir la peine d’être sauvé, pour elle : sa vie, les souvenirs qu’elle avait d’eux ensemble, l’héritage qu’elle pourrait porter une fois cette guerre terminée, la paix qu’ils avaient pu ressentir l’un avec l’autre, bien qu’il soit un sang-pur et elle, une née-moldue. L’amertume de Blodwyn la faisait cracher sur tout ceci à présent, elle aurait préféré crever elle aussi dans cette forêt plutôt qu’avoir à être porteuse, donneuse d’un quelconque message ; elle aurait préféré laisser cette charge à n’importe qui d’autre, si tant est qu’elle n’ait pas à être séparé de son fiancé. D’une quelconque manière : si pour cela, ils auraient dû mourir ensemble, inconnus et ignorés dans l’infinitude de cette existence, qu’il en soit ainsi – rien de tout ce qu’elle connaissait aujourd’hui, rien de ce qui faisait son quotidien dans cette petite baraque de Bloxam Creek ne lui donnait la moindre impression que ça en valait la peine.

Aucun bonheur ne pourrait plus jamais annihiler cette tristesse sans fond qui la vidait de l’intérieur ; lentement, chaque nouvelle journée lui arrachait une part d’âme, et ce qu’elle avait été se remplissait d’un profond silence, distrait bourdonnement morne et déprimant. Ses pas crissant dans la neige, Blodwyn observait les alentours comme un nouveau-né apparaissant à peine à la surface du monde, s’extrayant des bras de sa mère pour observer l’alentours : la nuit avait plongé le tout dans un silence de plomb, semblable à ceux auxquels elle s’était habituée lors de sa longue période de fuite en compagnie d’Eamonn. Là-bas, seuls les bruits de la forêt avaient interrompu leur tête à tête, tant et si bien que, si Blodwyn en avait eu peur au début, elle avait fini par s’habituer à tout cela. Aux bêtes des bois, et également au froid, qui avait vite commencé à les dévorer de part en part, lorsque le mois de novembre avait pointé son allure brumeuse : le ciel avait pris peu à peu une teinte grisâtre, pour ne devenir qu’un épais océan tumultueux qui déversait parfois des rideaux de pluie, se faisait secouer d’autres fois par des vents violents. Les alentours de Bloxam Creek lui restaient encore peu familiers, hostiles presque, comme si elle s’était attendue à voir un ennemi débarquer d’un coin du paysage à n’importe quel moment. Inconsciemment, Blodwyn eut un mouvement pour s’assurer que sa baguette était bel et bien là, avant de suivre son ami à travers la neige gelée. Ils ne s’enfonçaient qu’à peine dans celle-ci tant il faisait froid, et la rousse resserra bientôt l’étreinte délicate de sa grosse veste autour de ses épaules. Distraitement, elle écouta les quelques paroles d’Elwood, affichant un fin sourire alors qu’il évoquait des souvenirs lointains, qui devaient avoir une toute autre allure pour lui à présent, qu’à cette époque où il gambadait à travers la ville en compagnie de sa sœur. Cette même sœur qui l’avait fait condamner à Azkaban, de ce qu’elle avait compris à travers les informations que Alice lui avait fournies sur lui, ainsi que de ce qu’elle avait pu lui arracher, en rares paroles nostalgiques, lors de leurs face à face. « Moi je suis fille unique. » Finit-elle par articuler, comme si ça pouvait un tant soit peu répondre à une question qu’Elwood lui avait lancée dans la pénombre qui les englobait. Un léger rire passant à ses lèvres à cet instant, la jeune femme haussa légèrement les épaules, comme pour souligner inutilement que ce n’était pas grave, certainement pas le plus grand regret de son existence : elle avait été tant choyée par sa mère et ses grands-parents, que ni l’absence de son père, ni l’absence d’un quelconque frère ou autre sœur n’avaient eu d’importance pour elle. « Ça ne m’a jamais empêchée de partir discrètement en échappant à l’attention de ma mère. » A cette époque-là, jeunes et candides, ils devaient sûrement penser à d’autres choses, alors qu’aujourd’hui, Blodwyn était bien consciente qu’elle se ferait un sang-d’encre si elle perdait de vue les enfants qu’elle aurait un jour – qu’elle aurait eu un jour, puisqu’elle ne s’imaginait pas un quelconque avenir avec qui que ce soit d’autre que l’homme qu’elle avait toujours aimé. Qui n’était plus, désormais. Et hormis un mariage qu’ils n’avaient eu de cesse de repousser – par immaturité ou par imprudence – ils n’avaient rien construit de bien concret ; n’en restait pas moins que l’absence d’Eamonn dans sa vie lui crevait le cœur un peu plus à chaque heure qui passait. Ca faisait, encore aujourd’hui, des jours après, un mal de chien, semblable à celui d’une lame plantée dans les côtes, qui ne faisait que creuser son sillage un peu plus chaque jour. C’était ça, le destin hurlant à chaque aube à la jeune femme qu’elle était seule, bel et bien seule ; pour cette journée et à tout jamais.

« Un jour, j’ai perdu ma mère, dans la foule. Je pensais que c’était le pire jour de ma vie, à une époque. » Il y en avait eu d’autres depuis, à nouveau, un sourire passa sur les lèvres de Blodwyn, presque sans expression, plus nostalgique, triste même, qu’autre chose. « Je ne suis pas vraiment bonne pour me débrouiller toute seule. Je pense qu’elle m’a retrouvée surtout parce que je pleurais plus fort que les autres enfants. » Il y eut un rire cette fois, passant la frontière de sa bouche pour disparaître dans le néant : elle ne savait pas pourquoi elle racontait ça, c’était on ne peut plus anecdotique, presque barbant. Elle se rendit compte brusquement, qu’elle n’avait pas vu sa mère depuis des lustres, et que la guerre qui se prolongeait, ne lui donnerait sûrement pas l’occasion de la revoir avant un long moment. Jamais, peut-être. Elle ne savait pas, la destinée n’était définitivement pas de son côté ces derniers temps, et Blodwyn avait perdu ce brin d’optimisme qui avait participé à la faire vraiment sourire en des circonstances aussi déprimantes. Elwood chassa la tornade brutale de ses pensées, en quelques paroles, et elle releva les yeux vers l’horizon comme pour y distinguer un quelconque feu d’artifices. Mais il n’y avait rien encore, et c’est dans un soupir, qu’elle se laissa tomber, assise dans la neige, tout en prenant des mains d’Elwood l’alcool qu’elle avait emmené avec eux. D’un geste, elle en but tout un trait, grimaçant légèrement, sans même sûrement que son vis-à-vis ne remarque quoique ce soit, tant la nuit était noire et sans vie : ils avaient sans doute fait exprès d’éteindre quelques lumières aux alentours, afin que tout le monde, à des kilomètres à la ronde, puisse profiter dignement du spectacle. En quelques efforts, elle parvint à enfoncer la bouteille de Whisky Pur Feu dans la neige, avant de se laisser tomber, allongée dans celle-ci. La neige lui mouillant les cheveux, refroidissant presque aussitôt l’arrière de son crâne, Blodwyn observa les étoiles – combien de fois l’avaient-ils fait ça, avec Eamonn ? Que ce soit depuis leur fuite, ou avant – c’était d’un romantisme niais, mais ils s’octroyaient alors le luxe de réviser leurs vieux cours d’astronomie, tout en se laissant ouvertement posséder par l’immensité du ciel au-dessus de leur tête. L’univers était à une infinie distance d’eux, l’univers lui riait à la figure, lui renvoyait son malheur parce qu’il n’en avait rien à foutre : les jours avançaient, la nuit s’était levée, avec sa cascade d’étoiles scintillantes, l’univers était toujours aussi bien équilibré, aussi naturellement beau, bien qu’Eamonn ait été ôté à cette vie. L’être humain n’avait sans doute que ce qu’il méritait – la rousse n’avait que trop peu souvent philosophé sur tout ça ; sa vie avait eu un sens, avant, quand elle l’avait passée au côté d’Eamonn, à présent, elle s’occupait surtout à instinctivement chercher un nouvel intérêt à vivre. Une larme fugitive glissa sur la blancheur de sa joue, elle l’effaça aussitôt d’un bref mouvement de main, avant de se redresser finalement – il valait mieux pour elle qu’elle ne réfléchisse pas plus, Elwood n’était certainement pas venu pour ça. Elle ne savait même pas pourquoi il était venu, certes, pour fêter le nouvel an comme il l’avait dit, mais à quoi bon ? Par pitié pour la pauvre Blodwyn malheureuse et désespérée, ou parce qu’il l’aimait bien, quand bien même ils ne se connaissaient pas depuis très longtemps ? Pour quelques secondes, elle observa le jeune homme, qui s’était assis à côté d’elle, la question lui brûlant les lèvres. Mais elle frissonna, serra les bras et oublia presque aussitôt cette préoccupation on ne peut plus secondaire – elle ne voulait même pas connaître la réponse ; ils étaient bien ici, sans avoir à se poser plus de questions. Si rares étaient les moments où Blodwyn parvenait à être en paix avec elle-même, pour quelques secondes à peine, il valait mieux qu’elle en profite pleinement – quelque-chose dans ce genre-là. Elle tourna donc à nouveau ses yeux vers le ciel, là-bas, cette limite infinie entre la terre et le céleste d’un noir d’encre. Rien. « Ils prennent leur temps, il n’est pas encore minuit, visiblement. » Malheureusement pour eux, elle n’avait pas de montre – l’heure était le cadet de ses soucis, elle vivait tellement à l’envers, dormant quand elle le pouvait, tournant en rond le reste du temps, qu’il pouvait bien être trois heures du matin qu’elle ne s’en serait pas rendue compte sans qu’on le lui dise. Attendre minuit pour fêter la nouvelle année, était après tout, une coutume inscrite dans le monde moldu tout comme dans le monde de la magie, depuis des générations déjà ; mais ce soir, elle avait comme envie de contourner, d’oublier, de piétiner ces stupides traditions. Et de… Elle souffla. Un nouveau regard sur Elwood la décida, se rapprochant, elle vint poser sa tête sur son épaule, passant un bras autour du sien pour se coller contre lui : il ne faisait plus si froid que ça, au final, et la légère brise d’hiver lui caressait le visage en ce qu’elle ressentait comme une délicate sensation. Peu à peu, Blodwyn ferma les yeux, écoutant le silence ; elle crut un instant, déceler dans l’air, le parfum d’Eamonn, sa chaleur si réconfortante, sa voix, au creux de son oreille – c’était doux parfois, de tomber dans l’oubli.
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeSam 3 Aoû - 2:33

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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeLun 5 Aoû - 13:12

Citation :
Malcolm Tucker
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeLun 5 Aoû - 15:57

Citation :
Shausivian
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeLun 5 Aoû - 22:27

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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeMar 6 Aoû - 10:18

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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeMar 6 Aoû - 10:44

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Maeron Rosier
Maeron Rosier
ADMIN ❖ we are the champions
≡ ton pseudo : sweet poison.
≡ hiboux envoyés : 14042
≡ date d'arrivée : 04/04/2012
≡ tes points : 125 points.
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≡ âge du perso : 30 ans.
≡ amoureusement : veuf d'un premier mariage, déjà fiancé de nouveau.
≡ son emploi : rafleur.
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≡ sa maison : poufsouffle.
≡ niveau d'études : études terminées avec 11 buses et 10 aspics.
≡ sa baguette : bois de chataîgné, vingt-sept centimètres, crin de licorne.
≡ son patronus : il est incapable de créer un patronus suite au décès de son épouse, mais avant c'était un corbeau.
≡ son amortencia : l'odeur de la prairie, celle si familière des sucreries de chez honeydukes ainsi qu'une teinte de chocolat.
MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeMar 6 Aoû - 10:45

Citation :
April N. Rehenna
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeMer 7 Aoû - 23:14

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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeDim 11 Aoû - 19:22

Citation :
An American in Paris
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Maeron Rosier
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeLun 12 Aoû - 11:35

Citation :
KIT HARINGTON ∞ 22
MATT SMITH ∞ 24
RICHARD MADDEN ∞ 29
MATT BOMER ∞ 19
TYLER HOECHLIN ∞ 16
DYLAN O'BRIEN ∞ 21
HENRY CAVILL ∞ 23
JOSEPH MORGAN ∞ 05
JAMIE DORNAN ∞ 20
ANDREW GARFIELD ∞ 21
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeLun 12 Aoû - 19:30

Citation :
Prayers For Bobby
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Charlie Weasley
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≡ sa baguette : sa baguette magique est en bois d'ébène. Elle mesure 22,5 cm et contient un poil de licorne.
≡ son patronus : un ours.
≡ son amortencia : ....
MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeLun 12 Aoû - 20:38

Citation :
+1, peut-on me réserver Emilia s'il vous plait ?
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeLun 12 Aoû - 23:34

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Charlie Weasley
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≡ âge du perso : vingt-cinq ans.
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≡ son emploi : soigneur de dragon à gringotts.
≡ statut de sang : sang-pur.
≡ sa maison : gryffondor.
≡ niveau d'études : études terminées avec six buses et six aspics.
≡ sa baguette : sa baguette magique est en bois d'ébène. Elle mesure 22,5 cm et contient un poil de licorne.
≡ son patronus : un ours.
≡ son amortencia : ....
MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeMar 13 Aoû - 2:25

Citation :
KIT HARINGTON ∞ 24
MATT SMITH ∞ 27
RICHARD MADDEN ∞ 37
MATT BOMER ∞ 17
TYLER HOECHLIN ∞ 12
DYLAN O'BRIEN ∞ 22
HENRY CAVILL ∞ 25
JAMIE DORNAN ∞ 16
ANDREW GARFIELD ∞ 20
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeMar 13 Aoû - 12:31

Citation :
(wb) ❝
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeMar 13 Aoû - 12:45

Citation :
inventé, grâce à clive.
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeMar 13 Aoû - 16:17

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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeMar 13 Aoû - 17:15

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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeMer 14 Aoû - 15:55

Citation :
Jared était un malade. Ça ne datait pas d'aujourd'hui. Il n'était pas devenu ce monstre du jour ou ou lendemain. Avant d'entrer à Poudlard, il était - ou pensait - être un moldu comme les autres, à jouer et à se disputer gentiment avec son petit frère. Ensuite, il est entré à Poudlard. Ses parents disaient aux voisins qu'il allait dans une école pour jeunes surdoués. chaque été, durant les vacances, Jared rentrait chez lui. Plus le temps passait, et plus les voisins moldus du garçon avait l'impression que quelque chose n'allait pas chez ce garçon, il y avait une once de folie dans son regard. C'était un drôle de garçon qui faisait de plus en plus peur avec les années. Ses voisins commençaient à se méfier de lui. Ils fermaient leurs portes et leur fenêtres quand le garçon passait devant leur maison et lançait son habituel regard mesquin. Mais personne n'a jamais dît quoique ce soit sur lui. Ils n'avaient pas besoin de parlé pour comprendre qu'ils pensaient la même chose du garçon. Ils auraient peut-être du parler, avertir les parents du garçons. Peut-être que s'ils avaient su véritablement le malade qu'était leur fils, ils ne se seraient pas fait tué par lui. Il était difficile de savoir ce qui se serait passer s'ils avaient su. Tout cela n'avait plus aucune importante. C'était le passé. Jared se rappelait à quel point il avait galéré avant de devenir mangemort. Et avoir eu tant de mal à s'en sortir lui faisait haïr tous ceux qui venaient d'une bonne famille et avaient la chance d'être destiné à devenir mangemort, mais réussissaient à trouver une raison de s'enfuir, de devenir des sales traitres. Jared détestait les traitres, plus que tout au monde. Peut-être même encore plus que les sang-de-bourbe. Ils voulaient les voir mourir. Et ça ne le dérangerait pas de tuer un traitre, ça lui ferait sûrement d'éliminer ces abominables sorciers qui refusaient un vie qui était pourtant si merveilleuse. Jared savait que - lui - ne changerait de vie pour rien au monde. Sa vie était devenue tellement parfaite. Il était mangemort, pouvait tuer tous les sang-de-bourbe à sa guise, avait un - faux - frère qu'il aimait beaucoup - il était une des deux seules personnes que Jared aimait sincèrement - et il était marié avec une femme qu'il adorait - elle était la deuxième personne de ce monde qu'il aimait véritablement -. Il avait travaillé dur pour avoir tout ça. Il avait tout ce dont un homme pouvait rêver. Qui pourrait ne pas souhaiter avoir la même vie que lui?
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeMer 14 Aoû - 19:13

Citation :
Jane Siberry & KD Lang
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 5 Icon_minitimeJeu 15 Aoû - 11:36

Citation :
Trop souvent, Hester avait cessé de penser aux conséquences de ses actes. Quelques heures plus tôt, en compagnie d’Ainsley, quand, ensemble elles avaient décidé de faire en sorte de faire d’avantage bouger les choses, elle n’y avait pas pensé. Aucune d’elles n’y avait pensé. Là, coincée dans le bureau de Fleming, elle comprenait mieux que jamais de quoi les mangemorts étaient capables. Allongée contre le sol froid du bureau du mangemort, elle avait l’impression que jamais elle ne s’en sortirait vivante. Elle avait l’impression qu’elle allait mourir ici et que personne ne viendrait pour l’aider. C’était un fait, personne n’allait débarquer dans ce bureau pour lui sauver la mise. Personne ne savait qu’elle été ici, si ce n’est Fleming et elle. Elle avait pris des risques et voilà où elle en été arrivée. Elle essayait de se dire qu’au moins contrairement au jeune Mclay, elle n’allait pas mourir sans raison. Au fond, elle ne savait pas ce que Fleming avait concrètement contre elle, mais c’était plus facile de ce dire que ce soir, elle payait les conséquences de tous ces instants où elle avait tenu tête aux mangemorts, restant attachée à ses convictions jusqu’au bout, c’était plus réconfortant que de ce dire que Fleming avait juste besoin de se défouler sur quelqu’un et il avait fallu que ce soit elle. La mort n’avait pourtant rien de réconfortant, il était clair qu’elle ne voulait pas finir ici, pourtant, elle ne trouvait plus la force de se relever. Tout ce qu’elle sentait, c’était les pavés gelés contre lesquels elle était, cette froideur qui contrastait avec celle du sang encore chaud qui coulait le long de son dos. La douleur était là, déchirante et elle avait l’impression de la raviver à chaque fois qu’elle tentait de bouger ne serait ce qu’un petit doigt. Elle le savait pourtant, si elle voulait avoir une chance de s’enfuir, il allait falloir qu’elle se redresse et c’était bien parce qu’elle avait l’impression que ça lui était désormais impossible, qu’elle finissait par se dire qu’elle allait mourir ici. Elle n’avait jamais été aussi défaitiste. La guerre lui avait ôté une partie de l’espoir qui avait fait qu’à une époque – définitivement révolue et très lointaine – elle était ce genre de personne qui ne baissait jamais les bras. Là pourtant, depuis quelques mois, elle ne cessait d’abandonner, comme si la plupart des choses semblaient perdue d’avance, parfois même comme si la guerre elle-même était déjà perdue. La mort de Mclay n’avait été qu’un indice de plus pour laisser entendre aux élèves de Poudlard que quoi qu’il arrive, ils avaient perdu. Aux côtés d’Ainsley elle avait pourtant retrouvé l’espoir qui lui avait manqué. Elle s’était rendu à l’évidence, s’ils ne faisaient rien, ils étaient morts ; s’ils tentaient quelque chose, ils étaient morts. Autant ne pas rester les bras croisés à attendre qu’on vienne les chercher pour les tuer. Ainsley lui avait donné la motivation nécessaire pour lutter, mais le mangemort était en train de tout lui pomper. Elle espérait qu’au moins Ainsley tiendrait plus longtemps qu’elle, elle espérait surtout que la jeune femme puisse tenir plus longtemps qu’elle. Elle avait finalement foi en sa jeune amie, bien plus qu’en elle-même. Ainsley réussirait là où elle, elle s’était bien plantée.

Elle avait été traitée avec bien trop de clémence, c’était ce qu’il disait. Ça avait tout d’une blague. Dans le monde normal ce n’était pas de la clémence ça, mais sans doute qu’ils ne vivaient même pas dans le même monde. Dans le sien à elle, ce n’était pas de la clémence que de torturer injustement une adolescente de seize ans. Dans le monde normal, ceux qui faisaient ça étaient condamnés à la prison ou à l’hôpital psychiatrique à vie car il était clair que ce n’était pas dans la nature humaine que d’agir ainsi. Ce comportement témoignait d’un problème psychiatrique inquiétant. Le fait qu’il puisse trouver ça clément ne faisait qu’enfoncer d’avantage le clou. Il était clair que ce type était bon pour l’asile. Comme toute réponse, elle se contenta d’un léger rire, aussi ironique que tremblant. Ces paroles n’avaient clairement rien de drôle, elles étaient juste parfaitement insensées. Si ça c’était de la clémence, elle espérait vraiment qu’elle se soit complètement vidée de son sang avant qu’il ne lui montre ce que ça faisait quand il laissait de côté la clémence. Quoi qu’il puisse en dire, elle, elle avait toujours écouté ses parents. Elle était venue dans ce château parce qu’ils lui avaient dit d’y aller. Si elle y était restée alors qu’elle avait bien compris qu’il n’y avait plus aucune sécurité entre ses murs, c’était une autre histoire. Oui, il y avait un garçon, mais il n’y avait pas que ça. Joshua l’avait convaincue – à tord de toute évidence – de rester au château, c’était bien pour lui qu’elle était encore là. Mais aussi pour ses amis, pour des gens comme Aisnley qu’elle n’avait pas voulu laisser tomber, pourtant il était clair que si elle s’en sortait vivante, elle n’aurait que faire des promesses qu’elle avait pu leur faire, à Joshua, à Ainsley, à ses autres amis. Si elle s’en sortait vivante, elle quitterait ce maudit château. Il était certain qu’elle serait plus en sécurité loin de Poudlard, elle pourrait se cacher au lieu de rester toujours visible aux yeux de l’ennemi, aux yeux de Fleming. « Je n’avais juste pas envie de laisser tomber mes amis. On dit que l’union fait la force. » C’était vrai. Elle avait eu plus de force en compagnie d’autrui que là, seule dans le bureau du mangemort. Le sang qui manquait à ses veines ne l’aidait pas non plus à être particulièrement forte. « Peut-être que quelqu’un me cherche, après tout. » Ses camarades de Serdaigle avaient peut-être remarqué qu’elle était absente depuis trop longtemps, peut-être que quelqu’un était en train de se demander où elle était. Il était pourtant clair que ce quelqu’un ne la trouverait pas, déjà parce que personne de censé n’oserait débarquer à l’improviste dans le bureau du mangemort mais surtout parce qu’elle n’avait prévenu personne qu’elle se rendait dans le bureau de Fleming. Elle était partie sans dire un mot à qui que ce soit. C’était mieux ainsi sans doute, au moins, personne ne regretterait de l’avoir laissée partir vers une mort certaine.
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