(2.2) “ black hearts w/amadeus + antoine.

≡ hiboux envoyés : · **≡ date d'arrivée :** 01/05/2013

2.2 amadeus & antoine

La forêt gronde insidieusement, alors qu'un vent glacial vient secouer les branches épaisses des arbres presque dénués de feuilles et d'épines. La lune est haute dans le ciel, presque inatteignable du regard à travers les branchages, pourtant elle diffuse à Amadeus assez de lumière pour qu'il puisse aisément se frayer un chemin à travers la frondaison des arbres. Mais déjà la brume se lève, s'épaissit et rend l'air encore plus glacial qu'il ne l'est : figé, comme mort. Et Amadeus n'a pas besoin de beaucoup de temps pour comprendre ce qui arrive, le manteau noir de la destinée referme son voile autour de lui - au loin, il aperçoit vainement un sorcier - Antoine - tenter d'échapper à une bonne dizaines de Détraqueurs. Ramenés par certains Mangemorts du Ministère, ceux-ci semblent décidés à supprimer le membre de l'Ordre, et pourtant, bien vite, un certain nombre d'entre eux se retournent bien vite contre Amadeus. Amadeus qu'ils connaissent tant et pour cause, c'est un ancien prisonnier d'Azkaban : les ennemis de nos ennemis deviennent alors... quoi donc ? Ennemis ou alliés ? Il est alors question pour le membre de l'Ordre et le Mangemort de savoir s'ils vont faire équipe, ou alors profiter des faiblesses de l'autre.

- instructions et explications.
+ amadeus transporte avec lui les plans d'un des plus importants quartier général de mangemorts à londres, il va le perdre pendant son "face à face" avec antoine (puisque amadeus a obtenu le plus petit score au lancé de dés).
+ l'ordre de passage se fait comme donné dans le titre, le sujet commence lorsque les détraqueurs font leur apparition, et c'est amadeus qui commence en premier, puis ce sera au tour de antoine de répondre.
+ d'autres informations pourraient être fournies par la suite.

✤ ✤ ✤

Amadeus gardait une main serré sur sa baguette, prêt à réagir au premier premier problème. La seconde ranger tranquillement dans sa poche serrait pourtant un rouleau de papier glisser à l’intérieur de la doublure de son manteau. Il avait déjà fait suffisamment de bêtise pour la journée, il ne tenait pas à en faire de nouvelle aujourd’hui, il rejoindrait les autres, donnerait les plans, et ça serait bien. Très bien. Son regard se faisait fuyant, et furtif, voltigeait d’arbre en arbre, vérifiant nerveusement aux alentours qu’il n’était pas suivit, et qu’il ne fonçait pas droit dans le mur. L’air d’hivers lui entaillait déjà la chair quand subitement une silhouette noir se pointa à l’horizon et se rapprocha à l’horizon se rapprochant de lui fuyant visiblement quelques choses. Le froid s’intensifia subitement, les arbres gelèrent sur le passage d’un vent mortel invisible qu’Amadeus reconnu instantanément et qu’il ne mis pas longtemps à reconnaître. Des détraqueurs. Si les détraqueurs ne semblaient pas l’avoir remarqué, et semblait bien plus accorder d’importance aux sorciers situés à quelques dizaines de mètres de lui, Amadeus était déjà pétrifier par une vieille peur, et était incapable de réagir. Il avait beau savoir que depuis que Lord Voldemort était de retour les détraqueurs était passé à la botte du Seigneur des Ténèbres, il imaginait mal ses bêtes affreuses réellement faire la différence entre un mangemort et un autre sorcier, et craignait de devoir subir encore l’un de leur baiser. Il avait à peine conscient d’être au milieu de la forêt, libre d’être vu par mille membre de l’ordre, notamment par le pauvre sorcier contre qui s’acharnait les détraqueurs -mais qui contrairement à lui, avait une chance de pouvoir se défendre. Il restait là, tétanisé, bloqué dans sa noirceur, dans sa douleur, éradiquant lui même ce qu’il pouvait y avoir de bon dans l’espoir vain de se rendre invincible face à ces cauchemars... Comme si cela pouvait être si simple.

Spoiler:

Antoine frissonna. Il faisait frais et humide cette nuit là dans les profondeurs de la forêt de Dean. Mais ce vent, ce vent glacial qui montait tout à coup n'avait rien de naturel. Ce froid, cette atmosphère, Antoine le reconnaissait bien. Son cœur manqua un battement et il se retourna vivement, regardant à droite, à gauche, au-dessus de lui, partout. Ils devaient être là, quelque part, non loin d'ici. Il eut envie de courir, mais ses jambes ne répondirent pas tout de suite. Il retint son souffle et finit par voir une silhouette encapuchonnée approcher à une vingtaine de mètres, surgissant de nulle part. Puis une autre. Une autre. Encore une autre. Ses yeux s'arrondirent d'horreur, il serra instinctivement sa baguette et se mit à courir, sans réfléchir. Le froid semblait avoir paralysé son cerveau. Au bout d'une minute, il trébucha sur une racine et manqua de tomber. Les détraqueurs n'avaient aucun mal à le rattraper flottant avec aisance entre les arbres. Quel idiot. Pourquoi n'avait-il pas transplané ? Il jura et essaya de s'enfuir de nouveau, sentant le froid lui enserrer les entrailles tandis que le premier détraqueur fondait sur lui. Il leva sa baguette. « Spero Patronum ! » Le sort était faible, Antoine n'ayant pas pu se concentrer suffisamment. Une faible lueur blanche sortit de sa baguette et perturba un peu le détraqueur. Antoine en profita pour prendre un peu d'avance - du moins, il le pensait. Il laissa échapper un cri d'horreur lorsque deux autres créatures arrivèrent presque devant lui. Il sentit que l'un d'eux commençait à l'attaquer. Il parvint à lancer un nouveau Patronus misérable, et s'échappa de nouveau, plus effrayé que jamais. Et soudain, une silhouette apparut au détour d'un arbre. Un homme. Il ne réfléchit pas et cria. « A l'aide ! » Il avait voulu dire "Courez !" au départ, mais la panique semblait avoir fait changer sa voix d'avis.

Spoiler:

D'un réflex aussi inutile que stupide, Amadeus finit par se décaler, et par se cacher derrière un arbre. S'accrochant à l'écorce gelé de l'arbre il espérait faiblement qu'aucun détraqueur ne le remarque et ne vienne s'en prendre à sa pauvre carcasse. Il ne se sentait pas réellement l'humeur de lutter contre eux, et savait que si l'un deux approchaient il leur concéderait n'importe quoi, son âme en premier lieux. Enfin ce qu'il en restait. L'expérience pouvait être intéressante. Il avait toujours rêvé de voir à quoi ressemblait l'âme noircit d'un meurtrier. Non il mentait. Il s'en fichait. Il n'en était d'ailleurs pas vraiment uns... Enfin c'était plus compliqué que ça. C'est ce qu'il disait tous. Respirant faiblement, l'air acide et froid lui déchirant les poumons, il parvenait peut à dissimuler son anxiété. Les yeux fermés, il pouvait tout de même distinguer les flux de lumière argentée qui jaillissait de derrière lui et qui peinait à faire fuir la orde de détraqueur qui s'attaquait à lui. Sorcier de pacotille. S'il ne voulait pas se battre pour lui même, pouvait-il au moins penser à lui, pauvre incapable pas fichu de faire un patronus qui allait se faire avaler avec s'il ne faisait rien. « A l'aide ! » Entendit-il finalement. Allons bon. Il n'était pas suicidaire. Il était juste pitoyable. Un rire jaune se coinça au fond de la gorge d'Amadeus, désespéré et noir. Toujours caché derrière son arbre qui ne le sauverait en rien d'une armé de détraqueur qui avec vraiment beaucoup de mal chance se souviendrait qu'il était un fugitif d'Azkaban. M'enfin ces choses là ne devait pas avoir de mémoire. Son rire finit par s'étouffer dans l'air glacial. « Attend cinq minutes tu veux ! Je vais me racheter une âme, rapprendre à faire ce que tu fais si mal et je te file un coup de main ! » railla-t-il l'esprit déjà mis à vif alors qu'aucun détraqueur ne s'était encore attaqué à lui. D'ailleurs il espérait honnêtement que les bestioles n'avaient pas d'ouïe. Sinon il était cuit. « Ressaisit toi mon gars ! Ne soit pas plus con que tu n'en as l'air ! Je suis sûr que tu peux le faire. » Et bien quoi ? Il fallait peut être seulement l'encourager ! « Mais dépêche toi ! Un souvenir heureux ! » Il savait bien que la théorie était plus simple que la pratique. Pour preuve, il était incapable de faire l'une de ses bestioles même un simple filet se refusait à lui depuis bien trop longtemps. Mais là il allait bien falloir faire quelque chose. Pour une raison obscur il ne comptait pas mourir ici.

Spoiler:

Si Antoine s'était attendu à quelque chose de la part de ce gars au loin, ça aurait été qu'il se mette à courir comme un dératé. Avec un peu de chance il aurait pu tomber sur quelqu'un qui soit bien frais et dispo, plein d'énergie, super fort en patronus, et qui aurait pu l'aider - oui d'accord, avec beaucoup de chance. Mais là, il vit simplement le gars se cacher derrière un arbre. Il l'entendit lui crier des choses mais il ne comprit pas, trop occupé à s'enfuir et à se débattre avec ses créatures affreuses. Le vent sifflait à ses oreilles. Ok Antoine, un souvenir heureux. Merde, merde, qu'est-ce qui serait assez fort ? Oh putain, une racine ! Vite, vite ! Tourne-toi, juste un peu... Sofia. Si ça avait été un film moldu, il aurait fermé les yeux sous l'émotion, mais là il avait assez besoin de voir, en fait. Sofia, son visage quand elle sourit. « Expecto Patronum ! » Un filet blanc sortit de sa baguette, suffisamment pour le protéger quelque peu. Les deux détraqueurs qui le suivaient directement s'arrêtèrent, gênés par le bouclier de fumée. Il s'approchait de plus en plus de là où le mec s'était planqué. Peut-être s'était-il enfui pendant qu'il regardait ailleurs... Et non, il était là, plaqué contre le tronc de l'arbre. Antoine n'en croyait pas ses yeux. « Cours, par Merlin, cours ! T'as une baguette ? » Antoine aidait les gens par réflexe en général, mais si l'homme ne tenait pas à sa vie, il ne le traînerait pas par les oreilles. Lui tenait à la sienne.

Le froid cherchait à l’engloutir. Il sentait la vie s’éteindre dans la sève qui l’entourait, il sentait l’air glaciale se rapprocher et lécher sa peau. Les détraqueurs étaient là, partout, cherchant à avaler toute part de vie qui trainait par ici. Pourquoi diable avait-il cherché à trainer par ici. Il ne pouvait rien faire. Pas même bouger le petit doigt, pas même essayer un patronus qui se refuserait obligatoirement à lui. Fichue magie blanche. Il n’avait que son cynisme, que sa coquille vide pour se protéger des attaques des détraqueurs. Il y allait peut être un peu fort. Et il n’était même pas sur que l’abrutit pas fichu de faire un patronus - il pouvait bien parler lui...- puisse l’entendre, mais au cas ou, peut être qu’il se taperait un fou rire diabolique ensemble et que ça ferait fuir les détraqueurs. Ou pas. Il entendit son coéquipier - qui n’avait rien d’un coéquipier et qui chercherait probablement à lui faire la peau dès que cette histoire serait finit - essayer de faire un patronus descend pour se protéger des attaques incessante de ses saletés de bête. « Cours, par Merlin, cours ! T'as une baguette ? » Entendit-il brutalement dans son oreille alors que le mec avait reculé visiblement protéger par un élan de fumée blanchâtre et salvatrice. Pas si mauvais que ça peut être. Par Merlin... C’était une expression étrange et idiote... mais puisqu’il fallait courir. «Tu me prends pour quoi l’idiot ?» Lui demander s’il avait une baguette... En soit sa baguette ne lui servirait pas à grand chose... Ce n’est pas comme si il pouvait faire quoique ce soit contre les détraqueurs avec. Ses jambes commencèrent à courir malgré lui... Comme si finalement les ordres de l’homme avait eu raison de sa volonté endormis par la peur latente des détraqueurs. «On fait quoi maintenant ? On cours jusqu’à ce qu’il nous rattrape ? Je t’ai dis que je ne pouvais pas faire de patronus !» Criait-il à l’étouffé alors qu’il courait toujours et que l’air glaciale profitait de ce moment pour s’engouffrer dans sa gorge et lui brûler les poumons. Il ne pouvait mobilisé son esprit sur rien d’heureux, chaque évènement un temps soit peu lumineux de sa vie ayant été balayé par des années d’horreur et de noirceur. Même Béatrice s’envolait dans un nuage ardent de fumée acre et noir. «Arrête de courir et bas toi ! Lâche» Finit-il par hurler à nouveau alors qu’il sentait que les détraqueurs les rattrapait progressivement. Amadeus avait beau tenir fermement sa baguette, il n’arrivait pas à réfléchir une seconde sur à quoi elle pourrait lui servir, chaque de ses muscles se tétanisait sous l’emprise grandissante que les détraqueurs de plus en plus proche de lui semblait avoir sur lui. Si l’autre ne faisait pas quelque chose, et vite, il ne serait bientôt plus que de boule lumineuse d’âme flottant dans le néant avant de disparaître à jamais.

Finalement, l'autre se mit à courir, et les voilà en train de détaler comme des lapins à travers la forêt en essayant de ne pas trébucher sur une racine ou pire, de se faire voler leur âme. Cependant, Antoine ne semblait pas pouvoir espérer une grande aide de la part de son nouvel acolyte. Ne savait-il pas invoquer un patronus ? Certaines personnes n'avaient jamais étudié le sort, mais quand même... Antoine n'eut pas le temps de s'attarder sur les quelques soupçons qui commençaient à se former dans son esprit. Apparemment, il était un idiot. Oui, il avait certainement l'air d'en être un, ce n'était pas faux. « On fait quoi maintenant ? On cours jusqu’à ce qu’il nous rattrape ? Je t’ai dis que je ne pouvais pas faire de patronus ! » Antoine ne répondit pas tout de suite, essoufflé. « Arrête de courir et bas toi ! Lâche ! » Touché. C'était exactement le genre de choses à dire pour tiquer son orgueil de bon Gryffondor. Il grogna. « Lâche ? » Lâche, ah ouais ? Il allait voir ce qu'il allait voir. Cette fois, il n'eut pas la peine de réfléchir, sa conviction lui suffit. « Expecto Patronum ! » Le patronus fut cette fois une réussite, et le hérisson argenté qui sortit de sa baguette les protégea tous deux des détraqueurs qui les poursuivaient. Pour combien de temps, ça, seul Merlin le savait. « Tu peux transplaner ? » Antoine n'était pas sûr d'y arriver, après la dépense d'énergie de la course et de ses patronus successifs. Si l'autre pouvait les emmener loin d'ici... Mais pouvait-il se fier à lui ? Il se rapprocha de lui tout en gardant son attention sur le patronus. S'il s'enfuyait sans lui, il essayerait au moins de l'attraper avant qu'il ne disparaisse.

Amadeus s’énervait intérieurement face à la stupidité apparente de celui qui lui sauvait tout de même probablement la vie. Ne s’était-il pas rendu compte de ce qu’il était vraiment ? N’avait-il pas compris que si leurs vies n’avaient pas été en danger à cause des détraqueurs la sienne l’aurait été par sa simple présence ? Il avait pourtant été clair. De nombreuse fois. Il ne pouvait pas faire de patronus. Ok ça voulait dire plusieurs choses. Soit qu’il était pitoyable en magie... Un vrai noeud noeud. Ou un cracmoll. Mais il avait une baguette. Il ne se serait pas emmerdé d’une baguette s’il ne pouvait rien sortit. Ou alors il était un pourris. Un mangemort, un échappé d’Azkaban, un mec à l’esprit noir et pourris, qu’on ne pouvait pas sauver. Amadeus ne voyait aucune autre raison de ne pas être fichu de sortir cette vitale fumée blanche, ses animaux splendide. Enfin de ne plus être fichu. Les détraqueurs lui avait brisé la capacité d’en tirer un... Bien avant qu’il s’enrôle malgré lui du coté des mangemorts. « Lâche ? » Ah touché. Il fallait s’en douter... C’était quelque chose d’assez courant chez les membres de l’ordre de ne pas aimer qu’on les traites de lâche. Amadeus savait qu’il en était un. Il savait qu’on pouvait le taxer de tous les défauts du monde. Il était un lâche téméraire et irréfléchie. Et ça ne donnait pas grand chose d’intéressant. « Expecto Patronum ! » C’était pas trop tôt. Pour une raison inconnu Amadeus s’était arrêté en même temps que son coéquipier inattendu pour le regarder jeter un sort qui leur sauverait peut être la vie... S’il le faisait correctement bien sûr. L’animal magique sortit de la baguette de l’homme et Amadeus se sentit brutalement en sécurité, ressentant même une certaine chaleur et paix intérieur à mesure que les détraqueurs s’éloignaient sous le coup de l’animal blanc. « Tu peux transplaner ? » Ca suffisait ses questions à la con. Bien sûr qu’il pouvait. Il n’avait un problème qu’avec le détraqueur. Et peut être quelques sorts hautement compliqué. Il regarda derrière lui et envisagea de se tirer seul. En même temps il avait une mission à accomplir et sauver un membre de l’ordre des détraqueurs n’en faisait pas partit... En plus le bougre pourrait toujours se retourner contre lui... En même temps sans lui il ne serait pas là pour réfléchir à s’il le sauvait ou pas. Fait chiez. BA pour toute la vie là. Il attrapa d’un geste brusque le col du mec et transplana loin d’ici. Il arriva plus loin dans la forêt en espérant qu’elle n’était pas bourré de détraqueur. Au pire il recommencerait sitôt arrivé. Mais si l’autre se retournait contre lui, il était plus dur à suivre dans une forêt que dans une plaine. Alors qu’il touchait bientôt le sol il donna une impulsion à l’autre pour le faire dégager de son emprise et le jeta loin de lui... Fallait pas déconné. Lui aussi avait une mission à accomplir, et il fallait la finir. Il retomba sur ses pieds et commença à partir lâchant un vague «Au plaisir» mesquin et peu convaincu.

» On ne peut pas revenir sur le passé ▬ Antoine & Tim
» (2.2) somebody help ? ♦ amadeus & daley
» (2.2) Partner in crime ▬ antoine
» Don't worry be happy ▬ ANTOINE
» (2.2) Kiss me if you love me ▬ ANTOINE

(2.2) “ black hearts w/amadeus + antoine.

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