You'll never walk alonex x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
HISTOIRE DE VOTRE PERSONNAGE :

Les choses de la vie font que ceux à qui nous faisons les promesses de ne jamais se quitter, finissent toujours par ne jamais aboutir. Le destin fait, quand à lui, Accomplir ce qui doit être accomplis, Réunis ce qui doit être Réunis, le hasard n'a aucunement sa place dans ces choses là. Le gens changent et camarade de classe qui était autrefois juste de bon amis, deviennent parfois bien plus que cela. "il était une fois" raconte les histoire pour enfant. Il était une fois la vie et ce qu'on ne peut éviter, la vie et ceux qu'elle nous pousse à ne pas repousser. Les contraires s'attire, et nous n'avons parfois pas les même valeurs, ni la même morale, ni les mêmes chemin. Pourquoi? Personne n'a encore jamais eu de réponse... ou certains diront... C'est la vie...

Le Soleil avait décidé de repointer le bout de ses rayons. Le printemps venait à peine d'arriver et l'on pouvait déjà entendre les oiseaux matinaux bercer la brise du vent qui ,tel une danse majestueuse, faisait balancer les arbres de droites à gauche. Entre la pluie ou la neige, on ne peut pas dire que ces dernier temps l'Irlande fut l'endroit Idyllique pour flâner en plein air. Je m'était réveillé tôt ce matins là et à travers la vitre de la pittoresque bâtisse qui me servait de demeure, je restait cloitré un bon moment plongé dans le peu de souvenir qu'il pouvait me rester. Toujours ces même rêves qui me rappelle que j'ai tout gâché. Les souvenirs sont un sentiment assez étrange quand on y pense, ils peuvent nous transmettre une certaine nostalgie mais aussi vous réveillez en instant les plus dur moment de votre existence. Ce sentiment de culpabilité me ronge au plus profond de moi, alors que je sais que cette fois-ci elle ne me pardonnera pas que toutes ces promesses n'ont plus aucune valeurs. J'ai cette peur qui m'enivre à chaque fois que j'ouvre les yeux, à chaque fois qu'un nouveau jours se lève. La peur de perdre celle que j'aime tant, la première femme qui à put me faire croire en quelque chose dont je n'avais jamais cru. Celle qui dès le premier regard, à réveiller mon cœur d'un grand coup de poing qui aurait mis K.O le plus grand des boxeurs. Celle qui d'un sourire, me donnait les ailes d'aller lui décrocher la lune que tant d'homme avait pu promettre à leurs bien-aimée. Aujourd'hui je fais partie de ces hommes, lâche et petit qui n'ont pas eu la noblesse de faire vivre à leur princesse le compte de fée qui avait était tant miroité. Je me servis un énième verre d'Eau de Feu Française à plus de 150 Gallions la bouteille et je contemplais le liquide caresser le fond du verre avec volupté et raffinement. Le délicat parfum qui autrefois me faisait saliver n'était plus que l'odeur pestilentielle des regrets et de la solitude. L'alcool glissait maintenant le long de ma gorge me rappelant quel goût amer avait ses crises de colère et ses disputes incessantes. C'est à présent tout ce qu'il me restait. Je n'ai plus de famille ou du moins les dernières paroles que j'ai pu avoir à leurs égard ne les feront pas se soucier de mon état moral. L'oiseau enfermé dans sa cage d'un amour trop fort, à finit par s'envoler à la moindre brise d'air, à la moindre sensation de liberté qu'il n'avait plus. Certain diront que même si sur le plan affectif il se retrouve seul, il leur reste toujours leurs boulot pour se changer les idées, un boulot où il trouve leurs échappée. Même ça je l'ai perdu. Ma carrière d'écrivain était ma plus grande fierté, il a fallut que je gâche ça aussi. Plus aucune inspiration. je passe des nuits entières devant cette page blanche alors que l'encre de ma plume sèche avant même que je n'ai pu écrire un seul mot. Que me reste t'il comme échappatoire? L'alcool et ses mérite de vous relaxer et de vous emmenez dans un autre monde paisible ou tout en quoi vous avez toujours eu foi existe toujours. Je sais que trucider mon foie n'est cependant pas la bonne solution. Alors que-dois je faire? Mettre fin à mes jours tout de suite plutôt que de me menacer avec une bombe à retardement? Je pourrais oui...je pourrais aussi recommencer tout à zéro. Un nouveau boulot pour commencer, puis de nouveau amis, et pourquoi pas un nouvel amour. J'ai accepté cette séparation provisoire mais au fond de moi je ne peux me passer d'elle. Aucune femme ne lui arrivera à la cheville. J'ai certes des aventures mais elle ne sont là que pour assouvir mes besoins et désirs d'homme. Jamais aucune ne pourra me faire ressentir la moindre émotions. Elles me semble tellement toutes tristes et sans aucun intérêt. Mais comment pouvoir recommencer une partie si pour moi celle d'avant n'est pas terminée. Je ne peux pas sacrifier mes dernières pièces sous prétexte que mon adversaire n'a plus envie de jouer. "Echec", peut être mais tant que je n'ai pas pensé au pire, il n'y aura pas de "Math". Je regardais un long moment les derniers centilitre du poison brunâtre avant de reposer mon verre sans le quitter des yeux. l'allumette se frotta au souffre si vigoureusement qu'elle alluma rapidement la cigarette que je venais de poser sur le coin de mes lèvres. Celle là aussi voulait ma mort, mais j'étais bien déterminé à continuer de vivre pour et avec celle que le destin avait mené jusqu'à moi.

"je crois en mon étoile, en ma chance, même si plus rien ne brille. Dans le noir j'aperçois encore ce filament de lumière qui me pousse à aller de l'avant et à persister. M'accrocher à mon oxygène, respirer à plein poumon la fraicheur d'un amour peut être pas perdu. L'on tombe parfois de haut, mais n'est-il pas pour mieux se relever. J'avance à l'aveugle guidé par son parfum. J'avance mais je n'entend plus rien, juste ses éclats de rire. j'avance et je ne ressens plus rien juste mon coeur, qui re-bat...qui re-bat..qui re-part...qui re-nait..."

La vie d'un homme en cavale n'est pas chose simple. Il faut sans cesse se cacher, se méfier de tout le monde, fuir dès qu'une attaque de mangemort surgit. Parfois j'aimerais retrouver le confort d'un lit ou la chaleur d'un feu de cheminée mais je n'ai pas le choix. Si j'ai fuis c'est pour la protéger, pour ne pas qu'il s'en prenne à elle. Je lui dois bien ça! Pour tout ce qu'elle a fait pour moi, pour l'homme que je suis devenu. Je ne regrette rien, si ce n'est de ne pas avoir été à la hauteur de ses attentes. Maggie méritait un homme qui prenne soin d'elle, qui lui apporte la stabilité et l'épanouissement quotidien d'un couple. Je n'ai pas pu lui offrir alors pourrais-je peut-être faire en sorte qu'il ne lui arrive rien de veiller sur sa vie puisqu'elle a changé la mienne. les yeux fixés sur un bouquin de Mortimer Livingstone intitulé "La muse aux yeux d'or'. je fut emporté, comme envouté dans mes souvenirs.

C'était un soir de janvier. J'étais fier de moi! Content de mon travail! J'avais écris une trentaine de pages en seulement quelques heures. J'ignorais encore le succès qu'aurais ce livre mais pour moi et ma triste vie s'en était un! Je me sentais bien dans ma tête et dans mon corps, je vivais ce débordement d'inspiration comme une nouvelle vie, une renaissance. Il m'avait suffit de lever mes yeux sur elle et de croiser les siens, d'entendre sa voix douce et mélodieuse m'envouter comme une sirène piégeait les marins. Elle était comme une révélation, un électrochoc surpuissant qui me ramenait des limbes. Je pouvais à présent rire et jouir de chaque instant. Mes problèmes n'était plus que dérision et futilité. Je souriais à la vie comme si c'était un cadeau si précieux que j'attendais depuis tant d'années. Maggie était tout ça pour moi alors que je la connaissais à peine. Je me devais de la retrouver et comme si j'étais guidé par une force invisible, je poussais ce soir la l'énorme porte en chaine de la British Library. J'avançais lentement dans chaque immense rayons qui comptais pas loin de centaines de livres tous classé méticuleusement par genre ou par auteur. Il y avait du monde malgré l'heure tardive et il était difficile de pouvoir faire son choix sans être dérangé ou bousculé par de fervents lecteurs. Mais je n'étais pas là pour me choisir un livre. Croire en sa chance, en son étoile. La probabilité qu'elle soit là? Pas plus de deux chance sur cent! Mais pourtant il fallait y croire, c'est bien la raison pour laquelle tout le jours je me rendais à la bibliothèque comme pour forcer le destin. Je lui avais certes laissé mon adresse sur le livre que je lui avait dédicacé, mais je ne pouvais pas attendre qu'elle se décide à faire le pas. J'avais eu raison de venir ici depuis plus de cinq jours. Elle se tenait à quelque mètre de moi penchée sur le rayon des nouveautés. Mon cœur s'accéléra et ma respiration devenait saccadée. Le temps sans elle m'avais semblé une éternité. J'avais ce sentiment de la connaitre depuis toujours, comme si elle faisait partie de ma vie avant même que je ne la rencontre. un léger rictus s'était dessiné sur le coin de mes lèvres. J'était à présent derrière elle et je pouvais sentir son parfum qui me fit fermer les yeux et profiter de ce moment comme si je voulais imprégner cette odeur dans un coin de ma tête et ne jamais l'oublier. Elle avait saisit un ouvrage d'un écrivain que j'avais eu l'honneur de rencontrer. Je vous le conseille vivement... a moins que vous ne préféreriez...CECI!J'avais passé mon bras au dessus de son épaule pour lui tendre un exemplaire de mon dernier roman. Elle fut surprise mais afficha le plus beau de ces sourires une fois m'eut elle reconnu. Je plongeais mon regard dans le sien, alors qu'elle saisit mon livre pour le remettre à sa place. Je pense en avoir déjà un exemplaire et qui plus est dédicacé. Elle avait l'air si impressionnée par ma présence que ça devenait vraiment attachant. Elle écrivait ma vie tout j'écrivais de manière biographique la vie de personnage inventé de toute pièce. Nous avons discuté pas mal de temps dans cette librairie juste avant de l'inviter chez moi. Hésitante elle prétexta qu'elle devait rentrer mais je lui fit promettre de venir me voir. Elle ne me mentit pas parce que dès le lendemain elle était allongée dans des draps de satin blottie contre mon torse. Nous ne nous sommes plus jamais quitté. On restait parfois des journées entière dans les bras l'un de l'autre, ne se souciant pas du temps qui passait et encore moins de ce que pouvais penser les autres. Nous étions bien en parfaite harmonie en totale symbiose. Je profitais de chaque moment passés avec elle même les plus futiles. Je pouvais la regarder des heures les yeux fermés apaisée dans un doux rêve ou encore l'écouter me parler de ces projet ou de ses rêves sans me lasser une seule seconde. Je me surprenais parfois d'être si amoureux que je ne pouvais plus imaginer vivre sans elle. Les nuits, j'avais l'impression d'être intouchable, aussi puissants que le seigneur des ténèbres. Son corps parfait profilait contre le mien comme si nous ne faisions plus qu'un. Je connaissais par cœur chaque courbe, chaque détails de ce qui faisait d'elle un être unique. tu m'aimes? me demandait-elle souvent sur ton anxieux comme si elle avait peur que cette idylle se termine un jour. Le mot aimer était faible, chaque jours je tentait de trouver un mot qui signifierais bien plus que ça. J'aurais tant voulu lui faire comprendre que je serais capable de donner ma vie pour elle. Oui je t'aime et jamais plus je ne pourrais aimer quelqu'un d'autre Comme rassurée elle m'affichait son plus beau sourire dont elle seule avait le secret. Après lui avoir fait l'amour une dernière fois, je fermais les yeux et m'endormait serein, épanouit, comblé.

Si j'ai retenu une chose sur notre relation, c'est que toute chose à une fin. Au début tout est rose, mais cela finit bien vite par faner. je ne sais pas ce qui nous à tant éloigné sans doute mon fichu caractère. Mon coté sombre et lugubre, cette impression que je donne de toujours faire la gueule ou encore mes crises de colères et saute d'humeur quand je n'obtient pas quelque chose. La vie d'un écrivain n'est pas simple un jour vous connaissez la prospérité et le lendemain tout s'effondre, vous êtes oublié comme si un oubliator avait effacé votre existence de la tête de toute la population. C'est un véritable tourbillon qui emmène tout sur votre passage, votre amour propre, votre identité et tout ce qui tourne autour de ce que vous avez toujours été. Elle ne méritait cependant pas tout ce que je lui ai infligé. Certes elle à elle aussi son caractère bien trempé mais ce n'est pas pour autant je devais la rendre responsable de ma descente au enfer. L'eau-de-feu à commencé à entrer dans mon quotidien. Au départ c'était quelques verres pour me détendre mais aujourd'hui, je sais que j'ai un réel problème avec l'alcool et que cela ne va pas arranger ma triste vie. Regarde toi, tu ne ressembles plus à rien, tu n'es pas l'homme que j'ai épousé Archie! ses reproches résonnaient dans ma tête comme un écho lancinant. Je me forçais de ne pas lui répondre sachant pertinemment que ça ne ferait qu'empirer la situation. Je ne pouvais plus supporter l'entendre me crier dessus me rappeler que c'était mieux avant ou que notre couple partait à la dérive. Je ne voulais pas entendre ça, je n'étais pas prêt à renoncer à ce qui m'était arrivé de mieux dans ma vie. Je n'étais plus celui que j'étais, il fallait que je me fasse une raison. Je n'étais plus que l'ombre de moi même un fantôme qui errait dans les souvenirs d'une carrière littéraire qu'il s'était imposé dès sa plus tendre enfance. Déjà à poudlard, j'étais la risée de pas mal de monde, préférant passer du temps à étudier ou à lire des bouquins plutôt de draguer les filles ou collectionner les cartes chocogrenouilles comme le faisait les enfants de mon âge. J'arborais fièrement les couleurs bleu et argent des Serdaigles et je faisait la fierté de mes parents et de me professeurs mais j'étais seul, profondément seul. J'avais pour amis les quelques personnage de romans que je pouvais lire, espérant qu'il pourrait un jour sortir des pages et me consoler quand la lumière du couvre-feu s'éteignait. Je me surprenais parfois à pleurer, espérant qu'un jour on m'accepterait pour ce que j'étais. Un jour le petit garçon que j'étais écrirait lui aussi des livres et serait adulé par tout ceux, qui, des années auparavant se seraient moqué du débile Archie Lethbridge. Nous avons finit par nous mettre d'accord. Chacun vivrait sa vie de son côté. Pas questions de divorcer mais peut être que le fait d'être séparé les rapprocheraient un peu. C'est contradictoire je vous l'accorde. Voilà deux ans qu'ils vivent comme ça et sincèrement ça commence à me peser. Elle me manque... Tout me manque! Elle de son cotés se plait de la situation vu qu'elle ne revient pas. Dois-je l'oublier? Faire une croix sur Maggie? Je ne peux m'y résoudre mais pourtant j'ai la ferme impression qu'elle retombera amoureuse. Sans doute un homme de son âge. Le fait que je sois en fuite ne m'aide pas à juger la situation, Je n'ai plus aucune nouvelle et j'évite de lui en donner de peur que les raffleurs retrouve ma trace ou bien encore qu'il se serve d'elle pour me retrouver. Je ne suis pas prêt de revenir et puis je m'y suis vis à ma vie de fugitif. Je pense même quitter l'Europe, vivre loin de tout ce qui me rappelle Maggie. J'ai l'impression de tourner en rond et la seule façon de ne plus tourner est de sortir du cercle

Un brouhaha qui venait de dehors me fit sortir de mes pensées. Je relu une énième fois le titre de la couverture bleue de "la muse au yeux d'or" avant de le redéposer sur le bureau. Je pris ensuite une feuille trempant la plume dans l'encrier. Je me devais de me reprendre en main et sans réfléchir les première lettre se dessinait sur la feuille restée blanche trop longtemps. "Je m'appelle Archibald Lethbridge, je suis un pauvre con et j'ai laissé partir la femme de ma vie..."

Code:

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J'adore ce scénario
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche

Bienvenue
Bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas

Anh O_o

Merci à vous deux !!

BIENVENUE
bon courage pour ta fiche (a)

Si tu as des questions, n'hésite pas

Merci ;) j'hésiterais pas dans ce cas !

bienvenue

Bienvenue & bon courage pour ta fiche *-*
(Et là… Ewan + écrivain = moulin rouge à mater en urgence)

Excellent choix de scénario
Bienvenue et bon courage pour ta fiche

Haaaaan Ewan Il est trop rare sur les forums

Bienvenue parmi nous !

Bienvenue pas encore de prénom ! lol. Bon courage pour la rédaction de ta fiche.

Margaery I. Lethbridge a écrit:

BIENVENUE mon mari adoré
Merci encore d'avoir pris le scénario, bon courage pour ta fiche, hâte de lire ça
Et si tu as la moindre question, tu sais où me trouver

Ma petite femme
J'aurais surement des questions pour que tu m'éclaires un peu plus sur Archi ;)
Mais je te Mpotte :)


Merci à vous tous sinon!

Bienvenue à toi

Bienvenue à toi

Merciii :)

Louise: j'adore ton avatar

Les chaussettes de l'archi-duchesse sont-elles sèches ou archi-sèches? Pardon, c'était facile mais j'avais envie. Bienvenue sur PI, et bon courage pour la rédaction de ta fiche J'ai hâte de voir ce duo à l'oeuvre

Pas si facile que ça! Même si le plus difficile était d'oser le poster :)
Merci à toi! Hâte quand à moi d'avoir un lien avec Miss Davis !

MAJ/ Première partie terminée.

Bienvenuuuuuuuuuuuue sur PI

Merci à tout les deux ;)

tu n'as pas confondu, les "we are both" c'est ceux qui sont dans un camp, les running up that hill ceux qui se balade partout x)
du coup, faut vous mettre d"accord que je sache où le ranger le petit Archie

Apparemment je n'avais pas tout compris ^^

Va pour "running up that hill" je change dans ma fiche :)

Merci en tout cas!