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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeDim 14 Avr - 23:49

Citation :
Un cri retenti à travers la pièce, dans un sursaut, elle lâcha sa tasse qui vint se briser en un bruit sourd contre le sol. Il faisait nuit. À cette heure là, les locaux de la boîte journalistique où elle travaillait étaient déserts depuis de longues heures. Elle était toujours là, elle occupait à ranger les dossiers comme on le lui avait demandé, à préparer le bureau de sa patronne pour que cette dernière n’ai pas a tendre trop le bras pour attraper ce dont elle aurait besoin le lendemain, à photocopier tout ce qui devait être photocopier, à envoyer tout ce qui devait être envoyé. Elle tournait au café pour survivre et elle restait accrochée à l’espoir qu’un jour, elle aurait un meilleur poste que celui qu’elle occupait. Prudemment elle avança jusqu’au couloir où elle tomba sur un type chargé de la sécurité qui l’a fit à nouveau sursauter si bien qu’elle eut l’impression que son cœur s’était arrêté de battre. « Vous devez partir, vite ! » Elle regarda l’homme en face d’elle, les sourcils froncés, ne comprenant pas ce qu’il voulait dire. Elle n’avait aucune raison de partir. Elle avait du travail. « Pardon ? » Il l’attrapa par les épaules, elle pu ainsi apercevoir son bras ensanglanté auquel elle jeta un regard horrifié. « Vous devez fuir mademoiselle » Elle n’eut pas le temps d’ajouter autre chose que l’homme poussa un cri, malgré l’obscurité, elle distingua une tête plongée dans son cou, qui lui arrachait la chaire. Horrifiée elle recula de quelque pas alors que cette chose continuait de dévorer ce pauvre homme. Ça ne pouvait-être qu’un rêve, un cauchemar vraisemblablement. A force de reculer, elle heurta finalement quelqu’un, elle se retourna rapidement pour apercevoir sa patronne avec un drôle d’air. « Pardon, je ne vous avez pas vu, qu’est-ce que vous faites ici, si tard ? » Pour que sa patronne soit également là, c’était forcément un cauchemar. Elle était tellement chiante qu’elle venait même lui pourrir le peu de sommeil qu’elle consentait à lui laisser. Elle ne répondit que par un grognement inquiétant. « Vous allez bien ? » Toujours pas de réponse, mais elle avança vers elle d’un pas lent, agitant les bras en avant comme pour l’attraper. Posy-Snow recula jusqu’à ce que son pied heurte quelque chose. Elle baissa les yeux. Le gardien. La chose qui avait considérablement écorché son corps releva le visage vers elle et lui attrapa le pied. Elle poussa un cri agitant son pied jusqu’à se que l’emprise de cette chose se défasse. Sa patronne était désormais à deux pas d’elle, se teint mal cette allure cadavérique si semblable à cette chose qui venait de dévorer le gardien. Elle ne savait pas ce qui était en train de se passer, mais il était hors de question qu’elle finisse comme ça. Elle avait toute une vie devant elle, une carrière qui ne demandait qu’à être propulsée, un mariage imminent et des enfants qui, elle le savait finirait par voir le jour. Pas fini qu’elle meurt dévorer par sa salope de patronne, elle lui bouffait déjà suffisamment la vie comme ça. Elle attrapa rapidement le pistolet attaché à la ceinture du gardien avant de repartir vers les bureaux. « Fichez le camp ! » Les deux choses continuaient de la suivre et finalement, dans les bureaux, au cinquantième étage de ce building gigantesque, elle n’avait aucun moyen de sortir. Ils étaient là s’approchant toujours d’elle. il fallait qu’elle parte. Sans prendre le temps de réfléchir d’avantage elle tira lamentablement contre le mur. Elle n’avait jamais utilisé d’arme, le bruit la déstabilisa, son poignet se fit douloureux et finalement elle ne les avait juste énervés d’avantage. Laissant tomber le pistolet sur le sol elle attrapa l’extincteur contre le mur pour venir fracasser le crane de cette chose qui avait attaqué le gardien, puis de sa patronne qui semblait bien décidée à faire d’elle son repas. Elle relâcha l’extincteur, ramassa le flingue et ses affaires avant de courir vers les escaliers pour échapper à cet enfer.
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeDim 14 Avr - 23:50

Citation :
Il est temps de rentrer maintenant. Lincoln regarde par la grande fenêtre du salon tout en enfilant son manteau épais, observant la neige qui recouvre d’une épaisse couche tout ce sur quoi elle est tombée. Elle aurait peut-être dû transplaner aujourd’hui au lieu de venir en voiture, ce que sa mère était en train de lui faire remarquer alors qu’elle s’emmitouflait dans sa grosse écharpe blanche. Jane Bennett n’était pas contre le fait que sa fille utilise des inventions moldues dans la vie de tous les jours, elle trouvait cela plutôt bien que Lincoln soit ouverte et s’intéresse à tout. Mais parfois, la logique de sa fille lui échappait. Il est vrai que sur ce coup-là, elle n’a pas été fine. Lincoln sourit à sa mère alors et, déposant un baiser sur la joue de chacun de ses parents, lui assure qu’il n’y a que dans leur rue qu’il y a autant de neige sur la route, et que les déneigeuses moldues ont fait des miracles sur la route jusque son appartement. Après avoir répété une troisième fois qu’elle ferait quand même bien attention, Lincoln ferme la porte principale du manoir et s’approche de la mini Cooper noire aux vitres fumées qui l’attend à côté du portail appuyant déjà sur la clé pour l’ouvrir souriante. A chaque fois qu’elle ouvre sa voiture de loin, elle ne peut s’empêcher de penser à l’expression hilarante que son père a eu la première fois qu’il la vue faire, s’exclamant à quel point c’est fou comme les inventions moldues peuvent parfois être similaires à la magie.

Après avoir retiré son manteau et avoir fait un dernier signe à ses parents une fois à l’intérieur de la voiture, elle prend alors la route prudemment. Elle a dit la vérité à ses parents, toutes les routes principales et secondaires de Londres ont été parfaitement déneigées. C’est les deux premières rues en sortant du manoir qui sont critiques. Après les avoir passées en roulant à peine plus rapidement que quelqu’un à pied, Lincoln n’accélère que très peu, ne voulant pas prendre de risques inutiles. C’est malheureusement en arrivant au virage pour accéder enfin à la rue principale que l’accident se produit. Lincoln, pourtant alerte et attentive, ne voit pas le garçon qui traverse la route d’un pas rapide, trop rapide. Il a eu le temps d’arriver et de traverser alors qu’elle vérifiait qu’il n’y avait personne de l’autre côté de la route. Lorsqu’elle s’en rend compte, il est maintenant trop tard et bien qu’elle ait appuyé sur le frein avec une force considérable, la voiture glisse sur la neige et percute le jeune homme, l’envoyant alors quelques mètres plus loin. A peine arrêtée, Lincoln bondit hors de la voiture pour courir vers le corps resté allongé sur la neige, comme endormi. « Est-ce que ça va ? » Elle s’agenouille alors près du garçon et le retourne délicatement pour découvrir qui est réellement sa victime. Elle le regarde un instant, juste pour s’assurer que ses yeux sont ouverts, mais reste figée un instant en reconnaissant le visage de Josh.

« Josh ! Mais qu’est-ce que tu fais là ! J’aurais pu te tuer si j’avais roulé plus vite ! » Elle ne l’avait pas revu depuis cet été et il avait encore tant changé. Elle passe alors sa main sur son visage, l’examinant en détail. La neige, qui se remet à tomber aussi fort que la nuit précédente ou le niveau de neige a monté en flèche, risque de le tremper encore plus qu’il ne l’est. Après s’être assuré qu’il n’avait rien de cassé, elle se redresse alors et le tire vers la voiture. « Monte. » Elle remonte alors dans la voiture et sort sa baguette de sa botte pendant qu’il s’installe à son tour. Elle dirige alors sa baguette sur lui et ses vêtements sèchent en un éclair, retrouvant alors une certaine chaleur. Elle démarre tout de suite la voiture pour se garer proprement et éviter un autre accident.

Une fois le moteur éteint, elle se tourne vers Joshua, lui sourit et le prend dans ses bras pour le serrer contre elle. Elle sait qu’il ne vient jamais à noël d’habitude, et le comprend parfaitement. C’est bien pour ça qu’elle est si surprise de le voir ici. Même si son père s’est toujours montré courtois avec elle et sa famille, elle sait très bien comment il se comporte envers son fils. Elle ne se souvient pas trop d’avant, avant que Josh n’arrive à Poudlard. Elle ne le voyait que l’été quand elle rentrait chez ses parents. Elle se souvient qu’elle avait été ravie de savoir qu’elle assisterait à sa première année, à son premier jour, à sa répartition. Ce soir-là elle l’avait applaudit, même s’il n’avait pas été envoyé à Serdaigle. Il était tellement mignon, dans sa petite robe. Elle aimait bien lui lancer des petites vannes et l’embêter, mais elle l’adorait. Elle a pourtant tout de suite su, quand le Choixpeau a crié Gryffondor, que son père risquait fort de ne pas être aussi ravi qu’elle. Ses parents ne lui avaient jamais caché que leur voisin était un mangemort au temps de Voldemort Acte I, et qu’il le restait certainement. Elle n’a jamais vraiment compris sa réaction. Peut-être parce que ses parents à elle ont été ravis qu’elle soit envoyée à Serdaigle, même si sa mère était allée à Poufsouffle et que son père était un Gryffondor. Elle a compris l’ampleur des dégâts lorsque Josh lui a annoncé qu’il ne rentrerait pas pour noël. C’est ce jour-là qu’elle a décidé d’être là pour lui. Enfin, plus que comme sa voisine qui lui fait signe quand elle le voit dans le couloir et qui lui demande comment se passent ses cours. Elle est d’ailleurs restée à Poudlard aussi pour noël cette année-là. Ses parents bien que déçus, ont tout de suite compris sa décision et l’ont même encouragé à rester, leur envoyant pour tous les deux chaque jour des vacances une petite lettre avec une part de gâteau pour chacun. C’est pendant ces vacances-là qu’elle s’est attachée à lui. Pendant ces deux semaines, pas une seule seconde elle n’a regretté d’être restée. Elle avait pu profiter des décorations de noël plus longtemps, assister au réveillon à l’école, diner avec Dumbledore et tous les autres professeurs et élèves à la même table. Elle avait aussi passé chaque jour avec Josh, à jouer aux échecs, à l’aider à s’améliorer au Quidditch, ou tout simplement à ne rien faire. Ils restaient souvent allongés tous les deux sur une table de la Grande Salle près du feu, à attendre un énième gâteau de la part des elfes de maison qui avaient l’air ravis de leur envoyer autant de petits cakes tous aussi décorés les uns que les autres, se dépêchant de s’asseoir correctement dès que McGonagall passait avant de reprendre leur place confortable une fois les lieux sûrs. Elle avait tout de même eu l’impression de passer noël en famille. Elle avait passé tellement de temps avec lui qu’elle avait beaucoup de mal à se dire que non, ce n’était pas son petit frère, et qu’il ne fallait pas s’imaginer pouvoir l’emmener partout avec elle une fois rentrée à Londres.

Après une longue étreinte, peut-être un peu trop longue au goût de Joshua ( mais elle s’en fout ), Lincoln le lâche enfin et se réinstalle correctement sur son siège. Elle est toujours un peu secouée à cause de l’accident, mais rassurée quand même qu’il n’ai rien. Elle tourne alors la clé pour redémarrer et le chauffage reprend son activité. Regardant autour pour s’assurer qu’elle peut se réinsérer sur la route sans problèmes, elle reprend alors le chemin de l’appart. « On rentre à la maison, tu m’expliqueras tout ça là-bas. » Le trajet se passe cette fois bien mieux, aucun autre garçon de dix-huit ans ne venant se jeter sous ses roues, ils arrivent alors en bas de chez elle en dix minutes. Elle sort alors de la voiture, avec ses affaires sous le bras et, une fois la voiture fermée, attrape la main de Josh pour transplaner jusqu’à l’entrée de l’appartement. Oui, elle prend la voiture pour un trajet de dix minutes et transplane pour deux minutes, logique. Une fois ses affaires posées sur une chaise, elle se dirige alors vers la cuisine où elle sort une casserole pour lui préparer un chocolat chaud. « Alors, qu’est-ce qu’il a fait encore ? » dit-elle en versant du lait et du chocolat en poudre dans la casserole qu’elle mélange ensuite avec une cuillère qu’elle finit par laisser touiller toute seule pour aller chercher un carrot cake dans le frigo qu’elle coupe et met dans une assiette pour lui apporter sur le bar de sa cuisine à l’américaine. Elle s’installe alors face à lui et le regarde, se demandant s’il n’aurait pas encore grandi depuis cet été. Ca fait combien, quatre ans qu’il la dépasse maintenant ? Il pourrait s’arrêter là quand même, c’est déprimant. « Il est encore et toujours en rogne que tu n’ai pas choisi la maison de tonton Voldy à l’école ? » Elle essayait toujours de rendre ça moins dramatique que ce que son père en avait fait. Ils savaient très bien tous les deux que Joshua n’y était pour rien, mais son père pensait le contraire, c’est bien pour ça qu’elle avait tourné sa phrase ainsi. Son père l’accablait déjà assez, elle n’était pas là pour en faire autant. Elle essayait plutôt de le faire sourire. S’il était à Londres, c’est qu’il était chez ses parents, et ça ne pouvait engendrer que du mauvais pour Joshua. Mais elle voulait qu’il en parle, que ça sorte. Ca lui éviterait de ressasser tout ça tout seul, ça ne pouvait que lui faire du bien. Et il savait qu’elle était là pour lui, qu’elle était de son côté, et ça aussi, ça ne pouvait que lui faire du bien. Même si elle savait qu’il n’avait certainement pas été à l’origine de son retour à Londres pour les vacances, elle était contente qu’il soit là. C’était généralement à lui qu’elle pensait pendant la période de noël.
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeDim 14 Avr - 23:51

J'aime bien ton ctrl+v Saíréann :sucette:

Citation :
110 + 35 = 145 points
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeDim 14 Avr - 23:53

Citation :
Un cri retenti à travers la pièce, dans un sursaut, elle lâcha sa tasse qui vint se briser en un bruit sourd contre le sol. Il faisait nuit. À cette heure là, les locaux de la boîte journalistique où elle travaillait étaient déserts depuis de longues heures. Elle était toujours là, elle occupait à ranger les dossiers comme on le lui avait demandé, à préparer le bureau de sa patronne pour que cette dernière n’ai pas a tendre trop le bras pour attraper ce dont elle aurait besoin le lendemain, à photocopier tout ce qui devait être photocopier, à envoyer tout ce qui devait être envoyé. Elle tournait au café pour survivre et elle restait accrochée à l’espoir qu’un jour, elle aurait un meilleur poste que celui qu’elle occupait. Prudemment elle avança jusqu’au couloir où elle tomba sur un type chargé de la sécurité qui l’a fit à nouveau sursauter si bien qu’elle eut l’impression que son cœur s’était arrêté de battre. « Vous devez partir, vite ! » Elle regarda l’homme en face d’elle, les sourcils froncés, ne comprenant pas ce qu’il voulait dire. Elle n’avait aucune raison de partir. Elle avait du travail. « Pardon ? » Il l’attrapa par les épaules, elle pu ainsi apercevoir son bras ensanglanté auquel elle jeta un regard horrifié. « Vous devez fuir mademoiselle » Elle n’eut pas le temps d’ajouter autre chose que l’homme poussa un cri, malgré l’obscurité, elle distingua une tête plongée dans son cou, qui lui arrachait la chaire. Horrifiée elle recula de quelque pas alors que cette chose continuait de dévorer ce pauvre homme. Ça ne pouvait-être qu’un rêve, un cauchemar vraisemblablement. A force de reculer, elle heurta finalement quelqu’un, elle se retourna rapidement pour apercevoir sa patronne avec un drôle d’air. « Pardon, je ne vous avez pas vu, qu’est-ce que vous faites ici, si tard ? » Pour que sa patronne soit également là, c’était forcément un cauchemar. Elle était tellement chiante qu’elle venait même lui pourrir le peu de sommeil qu’elle consentait à lui laisser. Elle ne répondit que par un grognement inquiétant. « Vous allez bien ? » Toujours pas de réponse, mais elle avança vers elle d’un pas lent, agitant les bras en avant comme pour l’attraper. Posy-Snow recula jusqu’à ce que son pied heurte quelque chose. Elle baissa les yeux. Le gardien. La chose qui avait considérablement écorché son corps releva le visage vers elle et lui attrapa le pied. Elle poussa un cri agitant son pied jusqu’à se que l’emprise de cette chose se défasse. Sa patronne était désormais à deux pas d’elle, se teint mal cette allure cadavérique si semblable à cette chose qui venait de dévorer le gardien. Elle ne savait pas ce qui était en train de se passer, mais il était hors de question qu’elle finisse comme ça. Elle avait toute une vie devant elle, une carrière qui ne demandait qu’à être propulsée, un mariage imminent et des enfants qui, elle le savait finirait par voir le jour. Pas fini qu’elle meurt dévorer par sa salope de patronne, elle lui bouffait déjà suffisamment la vie comme ça. Elle attrapa rapidement le pistolet attaché à la ceinture du gardien avant de repartir vers les bureaux. « Fichez le camp ! » Les deux choses continuaient de la suivre et finalement, dans les bureaux, au cinquantième étage de ce building gigantesque, elle n’avait aucun moyen de sortir. Ils étaient là s’approchant toujours d’elle. il fallait qu’elle parte. Sans prendre le temps de réfléchir d’avantage elle tira lamentablement contre le mur. Elle n’avait jamais utilisé d’arme, le bruit la déstabilisa, son poignet se fit douloureux et finalement elle ne les avait juste énervés d’avantage. Laissant tomber le pistolet sur le sol elle attrapa l’extincteur contre le mur pour venir fracasser le crane de cette chose qui avait attaqué le gardien, puis de sa patronne qui semblait bien décidée à faire d’elle son repas. Elle relâcha l’extincteur, ramassa le flingue et ses affaires avant de courir vers les escaliers pour échapper à cet enfer.
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeDim 14 Avr - 23:58

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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeDim 14 Avr - 23:59

Faut bien que je l'enregistre si je veux pouvoir essayer de faire ma réponse demain. :angel:

Citation :
« Evitons la Roumanie alors, ce sera mieux pour nous deux, et puis la Roumanie ne fait pas particulièrement partie des pays que j’aimerais visiter. »
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeLun 15 Avr - 0:03

Citation :
Un cri retenti à travers la pièce, dans un sursaut, elle lâcha sa tasse qui vint se briser en un bruit sourd contre le sol. Il faisait nuit. À cette heure là, les locaux de la boîte journalistique où elle travaillait étaient déserts depuis de longues heures. Elle était toujours là, elle occupait à ranger les dossiers comme on le lui avait demandé, à préparer le bureau de sa patronne pour que cette dernière n’ai pas a tendre trop le bras pour attraper ce dont elle aurait besoin le lendemain, à photocopier tout ce qui devait être photocopier, à envoyer tout ce qui devait être envoyé. Elle tournait au café pour survivre et elle restait accrochée à l’espoir qu’un jour, elle aurait un meilleur poste que celui qu’elle occupait. Prudemment elle avança jusqu’au couloir où elle tomba sur un type chargé de la sécurité qui l’a fit à nouveau sursauter si bien qu’elle eut l’impression que son cœur s’était arrêté de battre. « Vous devez partir, vite ! » Elle regarda l’homme en face d’elle, les sourcils froncés, ne comprenant pas ce qu’il voulait dire. Elle n’avait aucune raison de partir. Elle avait du travail. « Pardon ? » Il l’attrapa par les épaules, elle pu ainsi apercevoir son bras ensanglanté auquel elle jeta un regard horrifié. « Vous devez fuir mademoiselle » Elle n’eut pas le temps d’ajouter autre chose que l’homme poussa un cri, malgré l’obscurité, elle distingua une tête plongée dans son cou, qui lui arrachait la chaire. Horrifiée elle recula de quelque pas alors que cette chose continuait de dévorer ce pauvre homme. Ça ne pouvait-être qu’un rêve, un cauchemar vraisemblablement. A force de reculer, elle heurta finalement quelqu’un, elle se retourna rapidement pour apercevoir sa patronne avec un drôle d’air. « Pardon, je ne vous avez pas vu, qu’est-ce que vous faites ici, si tard ? » Pour que sa patronne soit également là, c’était forcément un cauchemar. Elle était tellement chiante qu’elle venait même lui pourrir le peu de sommeil qu’elle consentait à lui laisser. Elle ne répondit que par un grognement inquiétant. « Vous allez bien ? » Toujours pas de réponse, mais elle avança vers elle d’un pas lent, agitant les bras en avant comme pour l’attraper. Posy-Snow recula jusqu’à ce que son pied heurte quelque chose. Elle baissa les yeux. Le gardien. La chose qui avait considérablement écorché son corps releva le visage vers elle et lui attrapa le pied. Elle poussa un cri agitant son pied jusqu’à se que l’emprise de cette chose se défasse. Sa patronne était désormais à deux pas d’elle, se teint mal cette allure cadavérique si semblable à cette chose qui venait de dévorer le gardien. Elle ne savait pas ce qui était en train de se passer, mais il était hors de question qu’elle finisse comme ça. Elle avait toute une vie devant elle, une carrière qui ne demandait qu’à être propulsée, un mariage imminent et des enfants qui, elle le savait finirait par voir le jour. Pas fini qu’elle meurt dévorer par sa salope de patronne, elle lui bouffait déjà suffisamment la vie comme ça. Elle attrapa rapidement le pistolet attaché à la ceinture du gardien avant de repartir vers les bureaux. « Fichez le camp ! » Les deux choses continuaient de la suivre et finalement, dans les bureaux, au cinquantième étage de ce building gigantesque, elle n’avait aucun moyen de sortir. Ils étaient là s’approchant toujours d’elle. il fallait qu’elle parte. Sans prendre le temps de réfléchir d’avantage elle tira lamentablement contre le mur. Elle n’avait jamais utilisé d’arme, le bruit la déstabilisa, son poignet se fit douloureux et finalement elle ne les avait juste énervés d’avantage. Laissant tomber le pistolet sur le sol elle attrapa l’extincteur contre le mur pour venir fracasser le crane de cette chose qui avait attaqué le gardien, puis de sa patronne qui semblait bien décidée à faire d’elle son repas. Elle relâcha l’extincteur, ramassa le flingue et ses affaires avant de courir vers les escaliers pour échapper à cet enfer.
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeLun 15 Avr - 0:04

Citation :
« Evitons la Roumanie alors, ce sera mieux pour nous deux, et puis la Roumanie ne fait pas particulièrement partie des pays que j’aimerais visiter. »
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeLun 15 Avr - 0:20

Citation :
Un cri retenti à travers la pièce, dans un sursaut, elle lâcha sa tasse qui vint se briser en un bruit sourd contre le sol. Il faisait nuit. À cette heure là, les locaux de la boîte journalistique où elle travaillait étaient déserts depuis de longues heures. Elle était toujours là, elle occupait à ranger les dossiers comme on le lui avait demandé, à préparer le bureau de sa patronne pour que cette dernière n’ai pas a tendre trop le bras pour attraper ce dont elle aurait besoin le lendemain, à photocopier tout ce qui devait être photocopier, à envoyer tout ce qui devait être envoyé. Elle tournait au café pour survivre et elle restait accrochée à l’espoir qu’un jour, elle aurait un meilleur poste que celui qu’elle occupait. Prudemment elle avança jusqu’au couloir où elle tomba sur un type chargé de la sécurité qui l’a fit à nouveau sursauter si bien qu’elle eut l’impression que son cœur s’était arrêté de battre. « Vous devez partir, vite ! » Elle regarda l’homme en face d’elle, les sourcils froncés, ne comprenant pas ce qu’il voulait dire. Elle n’avait aucune raison de partir. Elle avait du travail. « Pardon ? » Il l’attrapa par les épaules, elle pu ainsi apercevoir son bras ensanglanté auquel elle jeta un regard horrifié. « Vous devez fuir mademoiselle » Elle n’eut pas le temps d’ajouter autre chose que l’homme poussa un cri, malgré l’obscurité, elle distingua une tête plongée dans son cou, qui lui arrachait la chaire. Horrifiée elle recula de quelque pas alors que cette chose continuait de dévorer ce pauvre homme. Ça ne pouvait-être qu’un rêve, un cauchemar vraisemblablement. A force de reculer, elle heurta finalement quelqu’un, elle se retourna rapidement pour apercevoir sa patronne avec un drôle d’air. « Pardon, je ne vous avez pas vu, qu’est-ce que vous faites ici, si tard ? » Pour que sa patronne soit également là, c’était forcément un cauchemar. Elle était tellement chiante qu’elle venait même lui pourrir le peu de sommeil qu’elle consentait à lui laisser. Elle ne répondit que par un grognement inquiétant. « Vous allez bien ? » Toujours pas de réponse, mais elle avança vers elle d’un pas lent, agitant les bras en avant comme pour l’attraper. Posy-Snow recula jusqu’à ce que son pied heurte quelque chose. Elle baissa les yeux. Le gardien. La chose qui avait considérablement écorché son corps releva le visage vers elle et lui attrapa le pied. Elle poussa un cri agitant son pied jusqu’à se que l’emprise de cette chose se défasse. Sa patronne était désormais à deux pas d’elle, se teint mal cette allure cadavérique si semblable à cette chose qui venait de dévorer le gardien. Elle ne savait pas ce qui était en train de se passer, mais il était hors de question qu’elle finisse comme ça. Elle avait toute une vie devant elle, une carrière qui ne demandait qu’à être propulsée, un mariage imminent et des enfants qui, elle le savait finirait par voir le jour. Pas fini qu’elle meurt dévorer par sa salope de patronne, elle lui bouffait déjà suffisamment la vie comme ça. Elle attrapa rapidement le pistolet attaché à la ceinture du gardien avant de repartir vers les bureaux. « Fichez le camp ! » Les deux choses continuaient de la suivre et finalement, dans les bureaux, au cinquantième étage de ce building gigantesque, elle n’avait aucun moyen de sortir. Ils étaient là s’approchant toujours d’elle. il fallait qu’elle parte. Sans prendre le temps de réfléchir d’avantage elle tira lamentablement contre le mur. Elle n’avait jamais utilisé d’arme, le bruit la déstabilisa, son poignet se fit douloureux et finalement elle ne les avait juste énervés d’avantage. Laissant tomber le pistolet sur le sol elle attrapa l’extincteur contre le mur pour venir fracasser le crane de cette chose qui avait attaqué le gardien, puis de sa patronne qui semblait bien décidée à faire d’elle son repas. Elle relâcha l’extincteur, ramassa le flingue et ses affaires avant de courir vers les escaliers pour échapper à cet enfer.
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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeLun 15 Avr - 6:52

Citation :
L’eau se déverse à la manière d’un torrent sur mon visage, collant mes mèches couleur ébène contre ma peau. Je ne cherche même pas à garder les yeux ouverts, me contentant de fermer les paupières pour apprécier
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Arabella Fleming
Arabella Fleming
ADMIN ❖ we are the champions
≡ ton pseudo : sweet poison (anaïs).
≡ hiboux envoyés : 2768
≡ date d'arrivée : 27/03/2013
≡ tes points : 185 points.
≡ ta disponibilité rp : free.
≡ ton avatar : sophie turner.
≡ tes crédits : jukebox joints (avatar).
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≡ âge du perso : dix-sept ans.
≡ amoureusement : fiancée, contre sa volonté.
≡ son emploi : étudiante, 7ième année à poudlard.
≡ statut de sang : sang-pur.
≡ sa maison : poufsouffle.
≡ niveau d'études : 7ième année, elle a déjà 7 buses.
≡ sa baguette : bois de noyer. Elle mesure 20,5 cm et contient une plume de phénix.
≡ son patronus : un panda roux.
≡ son amortencia : l'odeur de la cire à polir les balais, de l'herbre fraichement coupée et cette délicieuse odeur qui caractérise la grande salle de poudlard lors des repas.
MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeLun 15 Avr - 11:33

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MessageSujet: Re: → le ctrl+v.   → le ctrl+v. - Page 24 Icon_minitimeLun 15 Avr - 11:37

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