001. NOM DE FAMILLE Ҩ	BLACKHEART
002. PRÉNOM(S) Ҩ	SEPHORA ALICE
003. ÂGE Ҩ	DIX-SEPT ANS/b]
004. TON SANG Ҩ	SANG PUR
005. MAISON Ҩ	SERPENTARD
006. ANNÉE D'ÉTUDES Ҩ	7E ANNÉE
007. BAGUETTE Ҩ	BOIS DE CERISIER, ONGLES DE MANGEMORT, 23.5 CENTIMÈTRES, MOYENNEMENT FLEXIBLE
008. ÉPOUVANTARD Ҩ	MON FRERE EN SANG
009. PATRONUS Ҩ	MAGYAR À POINTES

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“hogwarts will always be there to welcome you home.”

“l'avis votre personnage sur voldemort”

Lord voldemort est de retour et plus personne ne peut le nier. Est-ce que votre personnage en a peur et pense que c'est fini, il va gagner et c'est la cata, pense-t-il qu'il n'est pas imbattable, ou alors est-ce qu'il est de son côté, bref, tout ce qu'il peut penser du seigneur des ténèbres. Rédigez ça en un minimum de cinq lignes.

“que pense-t-il de l'ordre du phénix ?”

L'Ordre du Phénix est une organisation créée par Albus Dumbledore pour lutter contre Lord Voldemort et ses Mangemorts et il est de retour. Que pense votre personnage des sorciers qui viennent grossir les rangs de la résistance ? Sont-ils des pions du regretté Dumbledore, des fous suicidaires ou des héros que vous rêvez d'égaler ? Rédigez ça en un minimum de b]cinq lignes.

“comment vit-il la situation actuelle ?”

La guerre, la crainte constante de se faire attaquer par des Mangemorts pour une quelconque raison. C'est la période que traverse le monde magique en ce moment, placée sous le joug de plus en plus puissant de Lord Voldemort. Partout, beaucoup de gens parlent, qu'est ce que pense votre personnage de tout ça ? A-t-il peur ou est-il excité à l'idée de marquer son nom dans l'histoire de la magie ? Rédigez ça en un minimum de cinq lignes.

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“every year is the same, muggles are everywhere.”

001. TON WEB PSEUDO Ҩ	PSEUDO EN MAJUSCULES.
002. TON ÂGE Ҩ	ÉCRIRE ICI
003. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ	ÉCRIRE ICI
004. PERSONNAGE Ҩ	INVENTÉ/SCÉNARIO OU DE LA SAGA
005. TON AVIS Ҩ	SUR LE FORUM
006. TROUVÉ PAR Ҩ	PAR QUI OU QUEL SITE AS-TU TROUVÉ PI
007. DERNIER MOT Ҩ	ÉCRIRE ICI
008. CONNEXION Ҩ	...J/7

C'était effroyable. Être enfermée dans cet endroit trempé jusqu'au pan de mur, avec cette odeur de moisi et d'humidité. Ses briques et ce sol aussi salubre qu'une cave. Oui, je n'aurais jamais cru être enfermé dans les cachots. Surtout, ceux de mon manoir. Je n'avais plus la force à combattre, plus la force à me lever et de gaspiller ma salive, plus la force tout simplement à sourire, verser une larme, laisser les yeux ouverts, pour scruter à quel point je suis un traître à son sang et une imbécile. Je me suis laissée aller, sans me rendre compte des conséquences qui viendraient ensuite. Tu n'es pas digne de la famille Blackheart, Sephora, m'avait tant répété mon père à mainte reprise. Je n'appartiens pas à cette famille, je ne suis pas comme eux, et je ne serais jamais comme eux. Ses paroles ne me touchent pas, et ne me toucheront jamais. Comment expliquer qu'une jeune fille comme moi, qui n'a jamais rien fait à la vie, est pu tomber sous un père méprisant et sadique, et une mère si impuissante et soumise à la fois. Elle n'a jamais rien fait pour moi, elle n'a jamais pu m'aider quand mon père me martyrisait à coup de Doloris. Elle ne pouvait pas m'aider. Mais, ma mère a toujours su me donner tout l'amour qu'elle le pouvait pour moi, le plus qu'elle le pouvait. Et ça, c'est suffisant. L'amour d'une mère bat la protection maternelle. Mon père ne voulait pas une fille. Il voulait un garçon. Puissant, fort, fier et pour pouvoir continuer la lignée de la grande famille Blackheart. Avec moi, tous ses rêves se sont détruits. Et, je peux vous confirmer à quel point père ne rate jamais une occasion de me faire sentir inférieure, de me dire que j'ai tout gâché. Quelle misérable vie ! Tout à commencer quand j'ai décidé de passer les vacances dans ma ville natale.
FLASHBACK
J'avais toujours pour l'habitude d'aller chez ma cousine, une fille que j'adorais. Mais cette année, je voulais faire ça différemment. Donc, je suis restée au Royaume-Uni. Je passais mes vacances seules. La solitude était un atout réconfortant quand on vivait ce qui se passait chez moi. J'allais dans les cafés du coin et je pouvais rester là, à penser pendant des heures en regardant par la fenêtre, en comptant le nombre de piétons qui passaient en trois heures sur la voie de service. Cette routine me calmait au plus haut point et pendant tout le reste de l'été, je passais mes journées ici. Au point que mes cafés étaient gratuits. Jusqu'au jour où je l'ai vu. J'étais hypnotisée par ses grands yeux bleus, d'une profondeur exquise et d'une douceur absolue. Sa carrure et sa grandeur pouvaient bien le rendre si fier. Sa chevelure d'un brun immaculé avait une texture si soyeuse et lisse à la fois. Ses lèvres pulpeuses et teinté d'un petit côté rosé n'était pas désagréable à regarder. Un petit rire venant de lui pouvait dévoiler son sourire blanc et parfaitement aligné. Il était magnifique, je n'avais jamais vu un aussi bel homme. Il était accompagné de ses deux acolytes. Tout aussi beau que lui, mais je n'avais que des yeux que pour celui du milieu. Sentant un regard derrière son dos, il se retourna et me fixa bien longtemps dans les yeux. J'essayais de détourner le regard le plus possible, mais je n'en était incapable. Il me graphita de l'un de ses plus beaux sourires, passa à côté de moi et déposa un petit bout de parchemin avec un numéro inscrit dessus. Je le regardais incrédule et il n'osa même plus me lancer un petit regard. J'ai pris le petit bout de parchemin dans mes mains quand ... Mais qu'est-ce qu'il faisait avec un bout de parchemin dans ses poches ? On ne retrouve que ce genre de papier au Chemin de Traverse. C'était bizarre, incroyablement bizarre. Mais étonnement surprenant à la fois. Je devais savoir comment savait-il procuré ce parchemin. Je sortis du café en le suivant. Je passais le restant de la journée à le suivre et à me méfier de lui. Je me cachais dans tous les coins possibles dès qu'il daignait lancer un regard en arrière. J'étais intriguée par ce jeune homme, il ne m'avait pas l'air normal. Ne daignant plus regarder l'heure, je devinais seulement qu'il était très tard le soir en regardant le ciel noir et étoilé. Je l'avais perdu pendant déjà une bonne heure et je le cherchais pertinemment mais rien. Apercevant le Chaudron Baveur, j'y entrais et le bruit de la sonnette me fit faire un saut. Je poussais un juron. Je me suis toujours promis que je lancerais un Feudeymon à cette maudite sonnette. Je cherchais un endroit libre pour être seule, je commençais à avoir un peu faim avec toute cette chasse aux fantômes. La seule place libre était à côté d'un homme, que l'on ne voyait d'ailleurs pas son visage, cause de journal levé trop haut. Je m'installais confortablement sur la chaise en face du jeune homme. Tom vint me servir ma bière au beurre. Je le buvais tranquillement, en regardant le bout de parchemin du jeune homme plus tôt dans la soirée. J'étais trop concentrée pour remarquer qu'on me fixait. « Je ne croyais pas les Blackheart comme ça. Je ne croyais pas que c'était dans leurs habitudes de poursuivent les gens toutes une journée entière. » Je me tournais vers le jeune homme, prête à dire quelque chose pour ma défense, mais quand je croisais ses grands yeux bleus, je savais tout de suite de qui on parlait Mon expression faciale pouvait démontrer de l'incompréhension et de la folie à ce moment même. « Ferme la bouche Sephora, tu vas gober une mouche. » En ce moment, ma tête se résuma à un vide complet, je ne savais pas quoi faire. Comment connaissait-il mon nom ? Ma famille ? « J'étais à Serdaigle à Poudlard, et qui ne connaît pas la grande Sephora Alice Blackheart, hein ? » me dit-il avec un regard moqueur et hautain. « Bon, allez viens. Je te raccompagne. » Je le suivais de près, je ne comprenais plus rien. J'étais perdue. Il allait à Poudlard ? Je ne l'avais pourtant jamais vu, enfin, dans mes souvenirs à moi. On parlait de tout et de rien, j'aimais bien ce garçon. Plutôt aimable et gentleman. Il était sacrément drôle. « Traînant avec des moldus, connaissant le coin par coeur, tu dois bien être né-moldus, ai-je raison ? » lui demande-je d'un ton amical. Je le sentais se froidir à cette question. Il ne répondit rien, fronçant tout simplement ses sourcils et regarda droit devant lui, d'un regard vide d'esprit et d'expression. On marchait de cette façon pendant un bon bout de temps, silencieux comme jamais. « Tu sais, je ne te ferais rien. Que tu sois né-moldus ou sang-pur, que veux-tu que ça me fasse ? » lui dis-je d'un ton rassurant. Il riait, un rire vrai. Je ne comprenais pas pourquoi il riait. Ce n'était réellement pas drôle. « La fille de Peter Alastor Blackheart vient de me dire qu'elle se fichait du sang ? Alors, là, je ne l'aurais jamais cru. » me dit-elle sur le ton de la moquerie en lâchant un de ses rires. « Ce n'est pas tout le monde qui n'a pas de coeur. » lui dis-je d'un ton froid et sec qui le fit arrêter de rire. Après cette première rencontre, on se voyait tous les jours. On passait nos journées ensemble, il me faisait découvrir tous les coins secrets du Royaume-Uni. J'aimais sentir sa prestance, je me sentais rassurée avec lui, je savais qu'il n'allait jamais rien m'arriver tant que j'étais à ses côtés.
FIN DU FLASHBACK.
Voilà comment je me retrouve ici, dans les cachots. Mon père l'a bien sur deviner. En repensant à tout ça, j'ai sentis mon coeur se serrer, se détruire, exploser en mille pièces, j'ai sentis mon système nerveux ne plus fonctionner. Ma tête allait exploser comme un ballon d'une minute à l'autre. Je n'avais plus la force à combattre, j'étais trop faible. Je me croyais plus forte, mais j'abandonne. Je ne peux plus. J'ai mal, terriblement mal. Je sens l'odeur métallique du sang qui coule de mes amples blessures. Je veux partir, je suis qu'une bonne à rien. Un traître à son sang. Une imbécile. Oui, une imbécile. C'est ce que je suis.

Les individus de l'espèce Canis lupus appelé communément loups peuvent prendre des aspects très différents selon leur région d'origine. Les loups sont des prédateurs, vivant et chassant en groupes organisés, selon une hiérarchie sociale complexe. Les loups sont d'animaux très protecteurs envers les membres de leurs tribus. « Professeur, comment devenons-nous animagus ? » « Je vous demande pardon Miss Blackheart ? » « Je veux devenir animagus professeur. Apprenez-moi. » « Je ne suis pas sur que ce soit une bonne idée Miss Blackheart, je ... » « Professeur, je vous en supplis, par Merlin. » « D'accord, rendez-vous demain après votre cours de Métarmophosage. »
Les cours d'apprentissages pour devenir animagus étaient difficiles, souffrant et surtout, éprouvant. J'étais fatiguée, je n'en pouvais plus. Je ne croyais pas que devenir animagus serait aussi compliquée. Je perdais connaissance à mainte reprises dans chaque cours. Je pleurais, mais je tenais vraiment à devenir animagus. Je sentais que ma vie allait changer en étant animagus. Tout simplement parce que c'est la liberté d'être un autre, de se laisser aller, de courire librement dans la forêt, d'oublier tous nos problèmes, de s'égarer pendant quelques heures ou même quelques jours, de pouvoir changer d'atmosphère, d'ambiance, de pouvoir se protéger sois-même des coups de couteaux dans le dos. Quelques semaines après le début des cours, je marchais dans la forêt et ses alentours. Dangereux, certes, mais si apaisant. Quand tout d'un coup, je sentis mon corps trembler sous des spasmes de mon système nerveux. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Je sortais de mon cours d'animagus et cela ne c'était jamais produit avant ça. J'avais le besoin de courir, courir très vite. Mon instinct me disait de partir, de m'enfuir le plus vite possible. Je ne sentais plus mes jambes, mon crâne me faisait atrocement mal, sur le point d'exploser. Cependant, ma vision devenait de plus en plus clair, aiguisé même. J'attendais tous les petits bruits que je ne pouvais discerner avant. J'avais une énergie et une force folle. Après quelques minutes de courses en a perdre haleine, je décidais de marcher. Je passais devant une flaque d'eau salubre. C'est à cet instant, que je compris tout ce changement dans mon corps. J'avais de longues oreilles, un long museau, des yeux bleus perçants et une fourrure aussi blanc que neige. J'avais de longues pattes minces et rapides. Ma queue était mince et mi-longue. Alors, c'était ça, se sentir libre, enfin libérer de tout. Se sentir enfin vivre.